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rendit nccomp.é'gné de ses deux Gouvcrneu rs
~
el
du
fils du
Nahah
ele
Cnrapcn,
qui
étuit
~1-
peu-pres du
me
me
~ge.
Le Nabab de Velour
qui, ai1res
avoir
fait
ass<lssiGer son
hcau–
f r;'re., necherci1:1Ít qu'nne occasion favorable
pour
achen~r d'étei~dre
ceue famille , qui
~
par
l'absence de
Chandasacb, érait
ré,duite a·
ce jeunc Prince , et envahir sa succes ion,
crut pouvoir profiter
de cc11. .
-ci.
A
force
de
promcsses el de présens, il gagna douze sol–
dáts Patan es , qui, apres avoir pris du h an–
gue, entreren t dans
l'app<~rlem eut
ou étaient
les Nabnhs, tucrent l es cleux
jcuncs
P1
i
nc cs ,,
de peur de se trom per '
('t
bltsscren
t
a
mortJ
l e Nabab de Carapen. N isarn- -Moulouk,
jnstruit de la mort de e dernier , douna
,.
<le
sa
pro·pre autorité ,
le go uvern emeu t
d'Arcate ct de Maduré
a
Anaverdikam ,
1'lOrY>Jma
1\Iafoushun son fi]s :dné Nabab,
avec droit de survivance , et
fit
Soubdar
le
cadet lVla
hmet-Alikan.
Anaverd ikam
retint
l'a1né anpres de lui , pour l'aider dans le·
gouvernement des aifaires du CarnJte et de·
Tanjaour, ct don na
au
c:1det le cornmande–
rnent de Trichirapali
c t
du
l\Jaduré.
Pl u–
sieurs des Gouverueurs des mcil.lcures ·pJa_.
c;;es du
Pays ,
indi gnés de se voir comman–
dés par ce nouveau
Nabab ,
refuse1·ent de le
reconnaitre , secouerent le joug, et
s'étab1iw
r enten petits
~ou.vera·ius
chacun a·ans
son
Gouvcrne.ment.. En m eme- temps , po ur ne
pas attirer su r eux. la colác de Nisam-Mou–
louk '
i.lslui
eavoyer~tn t
uirectement l-es