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ET CURIEUSE S.

-

28 !}

de sO'n armée couraient

la

campagne,. et mal ...

traita ient toutce qu'1ls rencontraient de

lVIa·.,.

lahares au service des Francais . Ils ne trai–

taient pas mieux les h abita'ns Port ugais de

la ville de Saint- Thomé ni

me

me les :Mis–

si onnaires . Plusieurs d'entr'eux moururent

en prison . Le Capitaine-Commandanteut le

meme sort.

lVI.

Duplei ~

jugea qu'il éta i ta propos

d'ar–

reter ces courses et ces en trepris s des Mores.

Pour cela il tira de

In

~mrnison

de Pondi–

chery 35o hommes

de

t;oupes réglées , roo

matelots et

200

C ipayes, troupes

du

Pays ,

dont 11 donna le commanclement

a

M . Para··

di s

~

I ngénieur en chef de cette Ville, pou r

aller relever

la

garnisón de lVladras , dout

il

n'était pas content. Cette pet ite troupe mar–

chai t

rs

le

lieu de sa destination, lorsque

M.

Paradis apprit que

les Mores , q ui

s'étaicnt aisis de l a ville de Saint-Thomé ,

t ravaillaicn tala fcrmer d'une fortf' palissade.

Sur cette nouvelle , il écrivit

a

M .

Bat

tb e–

lemi , Gouverneu r de

lYJ

adras , pour l ui

donner

a

is de l'heure

a

laquelle

il anivc–

rait en pré rnce des

1\1

ores~

le

pt'Íaut de faire

sortir de sa place un

f01 ·t

détachei w nt,

d 1n

de prendre l'ennem i

C'IJ

qucue , en

.eme–

temps qu'il

l'auaquerait de f ront; -ct

paree

qu'il craignait que sa lettre ne

fút

in tercep–

tée '

illui m :.mda la

meme

chose pa r p1u–

sieurs courriers

qu'il

fit

pa rtj r succcs•'Ívc–

ment.

El}.

con séquence

de 'cct

av is ,

Ni. .

B ;ú~thele~i

coromanda d'abord le

détachement;