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LET'f.RES ÉDIFI AN-TES
tout-a-fait d etTie re , escortées. d'un
détaclle–
rnent considérable de cavalerie -, et
~Hes
chantaient les louanges de
~nsam.
Son arrivée rétahlit la tranquillité dans le
Caru::~te.
Il avait commencé
par
le
siége
de
Trichirapali ,
qu'il
avait inv estie le
~
Aoút
1743 ' et qui hú
fut r endue
le
25
du m
eme
Jnois. Coja Abdouhkan, ami inti me de
Ct}
Cénéral, fut
~hargé
d e la
coudllite
de ce
siége , _auquel on
n'employ<~
que des
troures
de
la
Province. Apres avoir re liré
ed i L:
plac~
d es mains d es fvlarattes ,
eL
en avoir
ainst
purgé le Pays, N isam
ne
pensa plus quJau
retour. Avantson départ,
il
eonflrma
le
go u..
vernement
d'Arca
te
et de Mad ut
é
a u fils
el
u:
Nabab Sabder-AÚkan, n eveu de Chanda–
S3eb. lVlais comme il n'était alors
t1 gé
que ele
h uit
a
neuf ans, il llOln"ma pour régcn t pc n–
clant la minorité du jeune Prin ce, u n Soub–
clar de sa su itc,
aprelé·
Ana verdika:n ,
q ui
avait été gouverncur de s-on
fil s
N:l zerzingue.
Nisam
lui
recornmanda
fortem.ent
l'éducatien–
tlu
jeuneNahab, qu'il alxmdonna
a
ses soins–
et
a
ceux du Na bab d e Ca rapen .
Auss it6t qu' A.nave rd ikítm se vit en posscs–
sion
d e.; Etats- qui
venfiient
de
Jui
e tre
con–
fi.és,
il pcnsa moi
ns
a
les·
go nvern er
avcc
é(I uit.é,
q1út les piHcr ct
a
s'enrichit'; son
~ avarice
était
1nsati:ihlc ,
n
paraissa i
t
d 'ailJeurs
en user fort bi en avec
Je
jc·une Nahah
~
(1 u'it
trnitait avec tont le r .espec t possibfe . Sur ces–
entrefait(;s, ce jc unc P rince
ny an-L
élé prié aux.
noces
d' un Seigncur
l\vlore de se& p arcos ,.s·'y-