ET_ C ·U RJE USES .
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t outes les terres des enviro ns. L ' Offic1er
Maratte fut si eífrayé de l' effe t de ces fou –
gasses qu'il retourna joindre son détache–
ment
~
tres -persu adé que tous les
delwrs
de Pondichery .étajrnt mi nés
~
et que s'ils
.entrcprenaient de l' assíéger , ils ne poor–
raient en ap procher snns voir sauter
en l'<l ir
tou te leur cavalerie . Cepeudant sur
l
s avis
que
re~ut
le G ouverneur de l'arrivée de
quelques partis enncmis
qui pilla iC'nt
Oul–
gare tet Ar ian-Co upan, Villages
<'~ppa rte n an t
a la cornpagn je ' distans d'env iron une dcmi –
lieue de Pondicbery , il fl t sor lir p om· les
charger un déta chement de deux cens gre–
n adiers e t de qu elques volon taires, commau–
.clés
par le meme
1\J .
de Cossigni.
IVIais les
1\larattes les ayant aper<,;us,
ct le
fo.rtd'
Ariau–
Coupan leur ayant tiré r1uelques vo Jées de
canon, ils se rctirerent. En meme- temps leu r
dé tachc:mC'nt s'éloigna
et
all a campera cinq
licues
a
l'ouest de Pondichery. Q udques
joul's
apd~s
ils tombercnt sur_ Conimer et
.Sadras , ou les Hollandais ont des .établis–
semens, qu'ils pillercnt.
Cependan t
Trjchir::~pali
était réduit aux
derni cres extrémüés. LC's Mara ttes ava_ient
formé de
a
nt
cette
Ville q
atre .
:.~ttaques
.qu'ils pousserent
a
]a sape et avec des galc–
ri es parfa itement bien construites, et quo i.
que le siége fu t
l us loog qu'ils nc l' avaicnt
imaginé d'abord' on jugea] t
a
lf'urs mouve–
mens et a toutes leurs dispositions ' qu'ils
.étaieut résolus de ne ,point partir de
la,
qu'ils
:M
.z.