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ET_ C ·U RJE USES .

267

t outes les terres des enviro ns. L ' Offic1er

Maratte fut si eífrayé de l' effe t de ces fou –

gasses qu'il retourna joindre son détache–

ment

~

tres -persu adé que tous les

delwrs

de Pondichery .étajrnt mi nés

~

et que s'ils

.entrcprenaient de l' assíéger , ils ne poor–

raient en ap procher snns voir sauter

en l'<l ir

tou te leur cavalerie . Cepeudant sur

l

s avis

que

re~ut

le G ouverneur de l'arrivée de

quelques partis enncmis

qui pilla iC'nt

Oul–

gare tet Ar ian-Co upan, Villages

<'~ppa rte n an t

a la cornpagn je ' distans d'env iron une dcmi –

lieue de Pondicbery , il fl t sor lir p om· les

charger un déta chement de deux cens gre–

n adiers e t de qu elques volon taires, commau–

.clés

par le meme

1\J .

de Cossigni.

IVIais les

1\larattes les ayant aper<,;us,

ct le

fo.rtd'

Ariau–

Coupan leur ayant tiré r1uelques vo Jées de

canon, ils se rctirerent. En meme- temps leu r

dé tachc:mC'nt s'éloigna

et

all a campera cinq

licues

a

l'ouest de Pondichery. Q udques

joul's

apd~s

ils tombercnt sur_ Conimer et

.Sadras , ou les Hollandais ont des .établis–

semens, qu'ils pillercnt.

Cependan t

Trjchir::~pali

était réduit aux

derni cres extrémüés. LC's Mara ttes ava_ient

formé de

a

nt

cette

Ville q

atre .

:.~ttaques

.qu'ils pousserent

a

]a sape et avec des galc–

ri es parfa itement bien construites, et quo i.

que le siége fu t

l us loog qu'ils nc l' avaicnt

imaginé d'abord' on jugea] t

a

lf'urs mouve–

mens et a toutes leurs dispositions ' qu'ils

.étaieut résolus de ne ,point partir de

la,

qu'ils

:M

.z.