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E -T CURIEUSES.

>)

moi , je vous prie, de me servir

de

l'en-

_, »

tremise d' Apagi

Vitd - Nag;-m<H]~,

qui ne

)) chcrche qu'il vo us trahir ' - et

a

trompe e

>>

votre

Seigneurie.

J

e prie le Tout-Puis–

}) sant

de

vous cómblcr

de

ses faveurs,

et

>J

de

vous donner la _victoire sur tous vos

>>

en~emjs.

»

A

Pondichery, le

2

r

J

anvier

qf,_I.

-Ces lettres furent suivies de quelques au–

tres.

Il

y

en

e-ut

une oú

l~

meme

Hagogi–

Boussonla insistait beaucoup sur ce que les

Frélu~~is,

disai

t-

il , n'avai

ent

été

au

Lrefoi&

étáblis dans l'Inde par l e grand Maharaja ,

Roí des Marattes_, qu'a condition de' lui

payer

chaque année un Lribut, ce qu'ils n'avaient

point encore exécuté. Illeur reprochait aussi

1'

asile qu'ils avai ent donné

a

la veuve dq.

_N

a

bah d'A

reate

e

t.

a

sa

famille , apres la

p:alheureuse journée du

~anamay

, et de·

mnntlait

qú'ils lui livrassent la femme

de

üh:mdasaeb avec tous ses trésors , ses

pier~ .

reries et

s~s

effe ts , rnenayant, s'jls

s'y

rt:fu–

séiient , de ]es en

·r end1 e

r esponsa bles .

Cette ,

l ett1;e fu t re<;ue

a

Pondi chery

le r3

Février,

_

~t

le

27

du

pH~m e

mois le

Gouve rn rur

y

ré–

pondit en rep résent;m t_a u

Gén<?ral Ma t atte

qu'il était

inou'i que ses

pré~éc('ss·tu rs fu~·scnt convenus de

p~yer

le trihut

dont

il par–

lait;

que jamais il n'en avait

été

fe

it men–

tion;

qu'on

ne l';:1vait

j <~majs

den

éH

dé,

u'il

ét.ait

impossi h

e d'en

rrp1ésen te r

au~uns

ti–

tres,

e t

qu ' il

€tait contre -la justi ce de ,-ou loir

~xigcr il~

hli

une chqseqpi jusques-la

p'ava~t