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ET CURU:U
1
SES.
25g
absolument de paille., d'huile, de beurre, et
meme de poudre. L es cavaliers demandai ent
meme
a
sorlir de' la place
1
p;lrce que tous .
leurs chevaux
n~ou
raient; ensorte que le 5
Janvier, on ne comptait pas qu'elle
put
en....
core te
ni:'
plus de dix jours.
Ce
fut
au
commencemen t de ce siége
que
les
IVlarattcs
ayant appris
(1 ue
la
femme ct
les enfans de
Chandasaeb
étaient
a
Pondi–
<-'-llery;
informés d'ailleurs
c1uc
l es
Fran~ais
avaient d onné rctraite
cLms
leur
Vi11e
a
tous
les OfiJ.ciers
lVIogo1s qoi :waient échappé'
a
la
défai
te
du
Cana.may ,
et que
ceux-ci
y
avai ent transporté de grandes richesses, for•
·merent l e dessein
de
se rendre mailres
de ce u e
pla ce apres
la·
réduction de
Trz:chi!'apali
,
qui ne
l eur paraissa it pas devoi,retre fortéloi...–
gnée. Cette
résolution fut suivie de plusieurs
lcttres pleines de r ep roches et
de
menaces,
qu
'ils envoyerent
a
M.
Dumas , alors Gou–
verneur
de
Pondichery. Voici la premiet'e–
que Ragogi-Boussoula , leur Général , écri_,
'vit
a
M.
Dumas.
R agogi-Bous.wula-Senasaeb-Souba,
a
M.
le Gouverneur .de Pondichery : Ram
Ram.
«
Je suis en bonne santé;
il
faut m'écrire
»
l 'éta t de
la votre. Depuis
que
no.us s.om–»
mes venus dans ce Pays, nous vous avons·
»
écrit plusieurs lettres , sans
que
vous
y
'>
aycz
fait
aucune réponse. Ce procéd@,