E T C U R I EUSE S.
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fo rt satisfait de
la
N ation , ramena nt avec
l ui
sa
mere'
sa
fem.meet
ses enfans. Il laissa
sculeinent dans
la Ville
sa sreur , femme de
Chandasaeb ,
qui aYait
refu.séd''accéder au
traité fait avec les Marattes ,
e t
qu i , l oin
d'évacuer la ville de Trichirapali, s'y était
Pcnfermé avec une nom brcuse garnison , ré–
solu
de
la cléfenclrc
jusqu'a la derniere
extrémité. Plusienrs Dames etSeigneurs 1\'Jo....
gols de son partí resterent aussi
a
Pondi–
ehery.
Cependant les Marattes,
apd~s
avoi'r re'<_;u
de Sabder-Alikan une partie de
la
sornme
dont ·ils étaient convenus, s'étaien t retirés
a
dix ou douze journées d'Arcate , attendant
le
reste du paiement , et l'exécution des
autr s articles du traité. Les deux Seign eurs
:Nlogols se mettaicn t peu en devo ir d 'y satis..
faire .
Chandasaeb
refu sa it cOn$tarnmen t de- .
r endrc la ville et les terres de
Trichira-'
pali,
e t
S abder-A likan
son h eau-frere, dont
l e Pays éta i t ruiné e t l es
financ~es
ép uisées,
était
d<ms
l' impuissance
el'
achever de rernplir
l es cng:1gemens qu'il avait pris avec emt.
E rr
vaia ils mena<_;aient
de
revenir
a·
l a ch'arge ,
ct
de rcntre r dans le Carnate .
Le Nabah ,
hors d'ét·1t de les co nten ter , tral-nait les cho–
~·es
en longu<>ur , espérant du temps
quel qu~·
r-évolutiou qu i le d éli vra t d e leur· pou rsu i te .
a n nom de M. Dumas , dout sa fam ille
jouit
encore ,
et·
cl.e TindouvauataiiY•í
en
dat e d u .28 A od t et·
12
Septen~-lne
1·74~><