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26.o·

LE

T T

R.

t

s

É

o

1

F

1

ANTEs

)) nous a fait penser que vous etes ingrnC

>J

envers nous, et que vous eles de nos eu–

»

nemis; c'est ce qui nous a détcrmiúés

a

>}

faire marcher notre armée con

lrc

vo

u .

»

Sur ces entrefaites,

Ap agi-Vitcl ,

ú ls d e

>>

Vitel-Naganada>

un d

e nos anci ens sen i.:..

>>

teurs , que notre

H.oi

ávait pris au trefoi s

>>

a

son service, est ven u me trouver, c t m' a

»

p arlé de vous en bons termes Ce qu'il

)) ;n'en a dit, m'a: fait h eaucoup de plaisir.

»

Souvenez-vous que c'est nous qui vous

)) avons anciennement étahlis dans lo Pays

»

OU VOUS

etes, et ·qui

VOUS aVODS

donnÚ'

>>

Ponclichel'y

>

paree qu' il nous par"issai t

»

que vous étiez une Nation juste , et q ue

»

vous ne manqueriez jamais

a

votre pa role.

>>

Nous avons aussi pensé que vous agiricz

>1

de votre part, pour nous appai se r, eo n –

»

formé·merrt

a

ce que notre ancien ser vi–

>J

teur Vitel- Naganada réglera <tvec vous.

»

Ces considérations nous ont cngagé

a

di f–

»

férer de quelques jours

le

départ de notre

)) arrnée' et

a

comrn.,ander

a

tous nos

e

i–

)) midars de ne point vous attaqucr jusqu'a

)) nouvel ordre.

n

est né'cessaire que vous–

)) vous fassiez informer de tout ce que nous

»

vous avons écrit, et que vous nous en–

~

voyiC'z au plutót votre réponse. Il faut

>l

aussi que , sans délai et

s~ns

le moin clrc

»

retardement, vous réfléchissiczsur la fa co tr

)) dont il vous convient d'en u cr pour r; ·re

>>

amitié avec nous , de mnniere que nous

>>'

puissions vous regarder comme

stables.

J'ai