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ANTEs
)) nous a fait penser que vous etes ingrnC
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envers nous, et que vous eles de nos eu–
»
nemis; c'est ce qui nous a détcrmiúés
a
>}
faire marcher notre armée con
lrc
vo
u .
»
Sur ces entrefaites,
Ap agi-Vitcl ,
ú ls d e
>>
Vitel-Naganada>
un de nos anci ens sen i.:..
>>
teurs , que notre
H.oiávait pris au trefoi s
>>
a
son service, est ven u me trouver, c t m' a
»
p arlé de vous en bons termes Ce qu'il
)) ;n'en a dit, m'a: fait h eaucoup de plaisir.
»
Souvenez-vous que c'est nous qui vous
)) avons anciennement étahlis dans lo Pays
»
OU VOUS
etes, et ·qui
VOUS aVODS
donnÚ'
>>
Ponclichel'y
>
paree qu' il nous par"issai t
»
que vous étiez une Nation juste , et q ue
»
vous ne manqueriez jamais
a
votre pa role.
>>
Nous avons aussi pensé que vous agiricz
>1
de votre part, pour nous appai se r, eo n –
»
formé·merrt
a
ce que notre ancien ser vi–
>J
teur Vitel- Naganada réglera <tvec vous.
»
Ces considérations nous ont cngagé
a
di f–
»
férer de quelques jours
le
départ de notre
)) arrnée' et
a
comrn.,ander
a
tous nos
e
i–
)) midars de ne point vous attaqucr jusqu'a
)) nouvel ordre.
n
est né'cessaire que vous–
)) vous fassiez informer de tout ce que nous
»
vous avons écrit, et que vous nous en–
~
voyiC'z au plutót votre réponse. Il faut
>l
aussi que , sans délai et
s~ns
le moin clrc
»
retardement, vous réfléchissiczsur la fa co tr
)) dont il vous convient d'en u cr pour r; ·re
>>
amitié avec nous , de mnniere que nous
>>'
puissions vous regarder comme
stables.
J'ai