E T C U R I E U S E S.
Í
2a
que
ce1le qu'ils
donncnt
a
leurs
papiers '
c'est-ñ..-dire ·, qu'ils
les
imhibenl
d'une mix–
tion d'al un et dé co1le extre1i1ement claire.
Leurs
ouvr<~ges
n'en sont pas moins ineffa.–
~ahles
,
quoi q~' il
n'y
o.i
l
ni
cadou
ni lai
t
de
buffle femelle. Ce
cadou
ne
me parait
do ne
avoir aucune autre
utilité
que celle
de,noi r–
Ól'
ce -premicr trait dont les ·Malabares se
servent
pour
ma1;quer.
d'ahord
leur dess1u
apres en
avoir
tit~é
le poncis. En effet , j'ai
remarqué qüe cette d rog ue
dont
vous
don–
n ez
1'explication
dans l'article troi sicme ,
n'est d'ahord qu'une ea u roussatt'e, chargée
de parties vitrjoliqaes , qui ne devieut n oi re
que lbrsqu 'elle est appliquée sur la prépa–
ratiOU
dll
caduuccúe .
Ainsi la
noix
de gallc
fcra le meme. effet.
4-."
J ·ai
fait
LlllC
:-~utre
expérience'
qui m'
a
téussl.
¡
c'est que nos toiles
d'Eut
1
ope sont
tout
aussi
susceptihl es des
memes
pe intu–
r es
que les
ind ie111ws :
j'ai peint un
mou~
choir
blanc
d'unc
toile
de Bretagne , avec
la
pl'éparation
de bois de
sapan,
lec¡uel fa it
unlwl effet. Jel'áifaitl:wer plusieursfois, et
la
couleur en
est tou jours
ég~d c mfn L
b r illante :
J.e
vous l'e nverrai
afin que
vous ·puissiez
en
J
uger par vos
yeux ;-
J
e
erais
qu' a u
licP.
de
bois de
sapan
,
on
pourrait
se servie
avec
plus
d'avantage
de
la
_teintute de hois
defernanbouc
ou meme de
cochenille:
celle-ei l'emporterait infiniment
sur
tout
ce
que
l'on
peut
faire avec le
hois
P.e
sapan
qui est
absolument •le meme
que
·F 3