1000000041

MED

montt fur l'c!rrit r de

porclere. Charles

dem~n

•qud c!coit ce1 homme?

C'•/1,

rc!pondit Coree?.,

u/Mi '{Mi

t:IOJII

áOII!f/

p/Ms

bats,

'{JU 1101

ptrts

Jlt

fiONI Ollt

/aif•

át

villt1

( D .

'J.)

M E' DE LP DI E,

(G!.g.)

Mult/paJia ,

pr –

.. rnce maruimc de

ode, J'ur le golfé de

>thnle, dan

Scandtn vie ; elle en hc!ritTc!e de m

nl3KOO$ .

r~u,

& en armfc!e de rrols rivlere> , dc10t la plus fepren–

t rion le lo

cr~verfe

dans lOUlC fa

longueur,

appelle

l nJal.

c; ,,~dl"w1ll

en ell la capirale.

e·

D E M 13 L 1C K, (

Glot.)

ville des Provioces–

un!cs dam 1 Wellfrill:,furle Z ••vderft!e .

hin riens

du p•ys onr 3ppellc! celle vil le

MuJe.,./ak,

caufe d'un

h e de ce n m, que traverlbit la riviere H • In . r\ ltinp,

dit que "''""" fignlfic

des

pr•iries

che1. las F rlfons, &

c'<·n-de-11

pcn¡-~11e

que le mot anglois

.,,adow,

une

proirie, rire fo n o rigine .

lac d'>nt on vicn1 de parler, arl prc!!'entement con –

fon.lu

avec le Z uyden.c!e, qui auroit bient6c abforbc! 13

v ille-m

éme, fnns le<

bcll~

foncs digues qui en fbnr

la fOretd . La r'•i,re H i la en apparemmem la Lefc, ruif–

f~u

fou vent confondo avee les oanaux prariquc!<, 111.1is

qui repsro!t enco:e avac

o nom au !Ud de W ogurn,

en tiran ver H·o rn .

Mldo•,b/ick

a • IT1yé fes malheurs, cqrnrne d'aurres

villes; elle lut prilo on rfl7 par le< Gueldrois, qui la

brOioranr ,

incen it!c ou

ffÓ.

Elle a réporc! fes per–

tcs,

a creuíé

ie bea

canaux pour

m~urc

les navi–

re•

couverr . Elle a la (eeon1c ch1tnbre de la com–

pognlc

de~

Indes odentllles, porTe la un peu plus du cin–

q uiemc du rnral du fond

de la oomplgnie entiore,

~nvoie

fes dépurés

3UX

élliS de la province,

elle

d iJ-f<•ptiornc voix. Elle ell fu r la mer avec uo bon ha–

v rc,

licues

d'En~huyícn,

licues & demie de Hoorn,

a utanr d'

lm tar ,

N . O . d'

rn!lerdnrn .

L o!IJII.

u .

28.

lat>

u-1.

p .

47·

( D.

J.)

M E' D E ,

, (

Glo~.

anc. )

anclen nom de la vtlk

aujourd'hui nomm6e

Newp•rl,

dans 1

11e de Vight, fur

c6 r6 d'

nglererre.

M E'D E'N 1 E N

, en latin

Mu{mi,

en grec

M,/,;.

'" , (

Glo

. .,,. )

anden pcople de

friquo propre, fe–

Ion llrolomc!e ,

{;., ,

IV. thap

lii.

lis avo;enr une villc

du tetns de Bdifalre,

11om"'h

Mltitnt

Mid'"',

qui

é roir Otué nux conñns de IR N urnidic

1' Af'riqnc,

non loln de Madaure.

M E' D E' N, (

Glog. a11c. )

nom c,.,mmun

deux

v illos de Grece; l'une. donr parlcnt Homero

'irra–

bon,

~roit

en Béotie ; l'aorre ér it en Phocide, atT,

pr~s

d' nricyrc , daos le gol

Cdlléen, Cene dornior.

1\n déuuite par lo roí Philippe durant la gucrre tacrée.

MEDE'i,

(Gio;r. )

peuples de Médic.

Va .

M >otE

Los onciens ameurs grccs confondenr les noms de

111edtl

& des Pcries,

cau!C que ces peuoles vinrent l

ne compofer proprcrnenr qu'uno narlon qur vivoir fous

le<

m~mes fouve~•im,

feloo les méme, lo's. L e>

rois de Médfo avant Cyrus , perit· ñls d'Achc!mént'<.

c!to1enr vrais

l'rft~Ja;

mais dcpui que cetre race lut c!tcin–

tc, les noms de

M etlt

Mldir

perpétuercor avec

honneur fous les Pcrf(s , o

-\ qhémdnides. Ecbarane ca–

pirale de Médie, éwit auffi-bion que

u1.e,

réfiden,·e

du rol de Pcrfe . 11 patToit

l'ét~

dans la prcmiere,

l' hi–

v~r

daqs !'nutre; ron royaumc pouvnlr done

6~alemenr

' 'appcller Médle ou Perlo,

fu¡et

Perfe< ou

Mt·

tin .

Ces dcrniers

m~.ne

dcpuis

i•>oélinn des deux

monuchies, conlervercnt dam la Grece l't'clat de leur

nom,

la hQute

r~putntion

de lcur arm• , commc on

lo voit dans H c!r dnre,

litJ. V I. (D.

J.)

Jl1EDIIF.,

murMJ,

{

Gl•

. • ,., , )

mur dans 1' '\tTyrie

~nuc

Ti~tre

I'Euphr re, •u-deffus de B1bylune

d'Oplre . Xo!nophon,

l>v.

/ . e

iij.

eo parle ainO dan'

la retraile des dix mili•. On arriva au

m11r

"• /,.

.fl–

tlit ,

qui a quelqucs cent pi.!s de haor, vingt d'épaificur ,

s'c!tcnd ,

ce qu'on dit , au-ddo de vmgt r:eues . 11

en tout

b~ti

de briques lié enfcmble avec du bitume ,

comme les murs de B.lbylone dont 11 n'cll pas fort

l –

loigné. { D .

1. )

M E'O 1

LE:

S, adj. (

Ecrivai11 . )

fe dit dans l'dori-

ture, de crrraiue

leu¡es qui ne fe plsccnr bien effHli–

emem qu'au milieu des mots, commc fsinfi faite,

á,

,. ,

p ,

r:t

lt vol. Ju PI.

tablc de l'ócruu-

Plucbt Jo

mai•[ula

roRIIa .

E ' D 1

N A, (

Gl·~·

""<· )o m d'une ville d'A fie

dans I'Orrhuiine ,

d'une villc c!plfcopale d'A t'rique ,

dans la Maurinmre fitifenfe.

(D.

:J. )

M DI N ,

E, ad¡ .

' "

A11a1omir ,

c'erl ainti qoe

l'on

ppelle un nerf do bnts

une vdne .

e ncrr erl firuc! entre le nerf mufculocrutanl!

lltrf cub ral . 11 n i t de l'union do la fi1 ieme paire cer–

'I'om<

MED

vicale avee

¡.,.

deur pairos prt!ct!dentes,

fcor'c–

me avec la premicre p1ire dorlai<: il Jefcend •vec l'Jr–

rere brachiale 1

Ion~

du bras;

ay1 11

pJtf~

avcc elle

par-detrqus l.'aponévroío da bíceps,

def: eud entre les

mufales fublrme

profond rour le long de la plrt ie ir)–

rcrne de

l:avam-br~s :

¡elle Jans

tra¡er olulieurs

f!–

lers ,

vtcnt enfulle patTcr fous le ligamen! uanfver!':!l

du p01gnet dans la pau1t¡e de 1•. mJin, oil il doonc plu–

lleurs rameaur

p oca, au dor¡;r indct

au duigt du

rniltca , au doigr annulofrc .

La vdne

mtdial1(

e(l

furm~e

pu la rc!union de la co!–

ph llque

e ll

b~Oiique

dans le pli du coude . C< n'ell

pas une veine p•rriculiere , ou une rruifieme veiue du

bra<, oomme croi<nt

qu~lques

aureurs, mals une

nple

br1nohe de la bafiliq oe, lul s'érendanr fur IJ part'e in–

t~rne

du l!oude, s'uuit

cc!ph1ll~ue,

formo une

veina commune, appcllée

,..,¡,.,,,

& par les

ro:,C¡

.,,;,. 11oirt .

oye-¿

nos

'Plancho

A"at.

nuáian<

c~phalique

cll

la bran he la plus

c~urte

dos deut qui s'unilfenr

r, c6phalique vers le pli da

bras.

Voyn

CÉPHIILIQUE.

,.,,dia11e

cé halique dcrcend obllquemcnt vers le

rnilieu du pli do bras fur

los

r~u mens

por-~ellus

tend n du bíceps, oil elle s'unit

une pardlle br3nchc

tordue d• la vcin< t¡aijlique ,

appell~~

, ,dia>u b..Jili'{tlt .

f/oyez

RII SII.tQUE .

MEDIANO HE,

{Gr..,.m. )

terrne qu! nous

vicm d' halie ¡ c'er! un repas qui fe f1ir la ouit , aprcs un

b•l 011 un aurra divcr¡itlcn¡cnt, ao pa(fagc d'oo

ur mai–

gre

un 10ur gru .

M E'D 1A N TE ,

f. {

Mt~/i'{N<. )

en fn mnflqoe,

la corde ou le fon qui

part~gc

en deux

tierccs l'imcr–

vallc de quir* qui re trouve de la tonique

,¡

la domi–

O'lllte. L'uoo

ces ticrccs ofl toujours majeurc, & l 1ou–

tre mineure

quand la tlerce

maj~ure

fe trouve au

gra~

ve, c'etl-ii-dirc

entre la

111/Jiute

& la toniquc 1 le mo–

rle ell

tou¡our~

maJeur; mineur, qoand

tierce majeure

cll

l'aigub& la mln, ure au grava.

Voyt:t

MoDI,

To s tg,lll¡,

0\IISI\ NTE.

(S)

M E D 1 A S T 1

m . '"

Au1omi,,

oO uoe cloi–

fo n formc!c par la renconue des dcnt f•cs qui

c~pilfent

!a poitrine , & fervenr

div1fcr le thorax

les poumons

en deu x parries,

fuutrnir les vifcere<

cmp~cher

l••';¡s ne tombcn¡

d'~n

>llré du tl¡orax

d~ns

l'autre. 1/oy.

fHORII)(,

'.!/c.

11 vicnt du llernum,

tr1Verfant tour droft le milicu

du thorax ¡ufqu'an J ve1rebre< . il plrtage en deux cene

ca viré. Les doul la m < d.>nt il efl cnmoofé, s'écarcent

en bas pour

lo~er

le c<11ur,

p~riC3Cde :

l'rufupha11;e ,

l'aorre

dif!'é rens nerf• pallenr dans cene

doph~atnre ,

ui (emblo letu former <l<s cfp• es de

lo~es

par

l'c!c.r–

rr rnenr

le raoprnchement de fe

•n embranc> en cortain s

endroirs. 11

re~, ,;¡

dos brlnohcs de veioe

d'Jrtcret

les mam rnaires , des d¡aphra matique<

des imerco fh–

l<s

ll:s branches íon t nom·née1

m rdiafl ·ncs:

fes nerfs

vlenn<nt de la huicieme palre & des

dtaphra ~ 1nariques

;

il a auffi quclqu(s vaitfeau t

ly •nphatiques qui re Mchar•

gent dJn

clna\

rhorachi ue .

meáiajltll

divrfc on dtux le

thor~I dan~

fa lon–

gucur .

mcdiafli,

fert

retenIr les lobes du poumon, qui

eroienr tombés l'llO fu r l'antre quaold O'lUS aurions t r\!

conché< fur

les c6rc!s;

la circularlon

refpiration

e•otfen! fouftert tle

cm compreffioo: de plus , il c!to!r

propos que l'ce

oo~age

ne fnr pas

rtaor, & qu'il o•

pOt

~rrc

oomprirné oar le poids des poumnns; la

n~tU•

re artemive a d'nbord r6unt le$ lam • du mc!diarlin pour

enfermar l'norte &

l'ati~os '

onruire elle les a

r~parc!os

pour embrafThr J'a:fophage ; maÍS le Cct!Ur rur•tOU! n'avo•r·

il pas bcloin d'yn lieu qui l'offermir dans

poficion'

qui luí formlt poor ainfi dire uno caitTc qui

l'crnp~chat

de ft ouer & qui foutint uo oea l'elfort des poumons?

Voya:.

Cor:u R , Po

MON

&<.

M E' D 1A S T 1N E ,

A1wom.)

e'en le nom des

arteres

des vcines , qui fe difiribuom au rnc!d120in .

/Ao

t.MfDI

l' I H .

M EJJ 1A ST I"f!C US

ouM

E D 1XTU'ÍICUS,

fubrl. mofa. (

Hifl.

....,. ) c'éroit autrcfoi

le promier ma–

gillnt

Capoue. 11 avnit dans ce te vil le la

m~me

au–

rorfrl! que lo eon!bl

Romc On abolit ceue l!''l:iflr:t–

turc, lorfque Capoue quitra le parti det Romams pour

fe fourneme

Annibal

M E'D 1 A T, adJ. (

Gramm.)

tormo rolatif i. dear

et lromes ·

fe dit de la chofe qoi les fép:ue . r\roli ls

!bbnancc

~11

genre

l'égard de

~'homm~,

msis ce

1dl

le genre

,./Jial .

11 a fur . mot une

~UIIfance

m/J,,u,,

e' en ·

a·

dire que c'e0 de IOt que. la IICDDCO!

COUI

qut

l'eacrcent immc!diatemc:ot for

tnOJ,

Gg ~