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Jetliye
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r'1lellr. Cdle·ci e
11
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noilT.n~e
de l'O)1e!; l. p'emkre en
l'
jel coonn.
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iilt 'bGoor I' one
&
I'. aue
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prem;ere ,
&
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premiere el dei
:u.tri~
buu dreruiel.;
P/.UJJII"",
reconie
ell
~
attrj1,(us acc
i-
den"," .
11
c inolile de ,'llcodre Cur ee rmuge voide
de
CCflS .
INTP.. TIO
EL. a:ll.
(M¡
e.pb.)
iI
JI'.
lieo
que din celle phraCe; ef¡>ec".
i"',,,,i.~,,rllu ,
ou ,t s'op–
poCe
i
e(puu
exr'/ftl.
Ce COOI de pr6teodus limo la–
e res qui Ce délacnem des o!>¡elS ,
&
vieonem fr1ppcr no,
CeJlo.
lNTER· ... RTICUL\IRE. arlJ.
(l,
AlldlO",í.,
Ce
dit d'oll e.nill.¡:e dJ r..,
'11
din
t'1rlielltanoo du carpe
&YJ:e t'l\v20l-b,. .
W,,,,I#w.
INTERC \ DAN
r .•
dj.
(Gra",,,,.)
qoi 10mb. en·
trC·dCUl;
que fcra
·VOIIS
pea
i'lnl les jQurs
;1f/~rca"mlS?
1I
Ce
dit aum d'uo poul, G9i
Ce
foit Cemir
&
qoi diCpa–
eoh • ternativ&tJ}CJlt. on pouh
i"t<r(ad~IIt;
des putCa–
tinas
;Jfltr~_Jn"'tl. L~
rD
JU Vem.!lli
;II'trca.;ÚJIs
de I'hu–
meur; t'éco tement
i"t,rI"J""e
d'un fhide.
INrERC.\.L IRE ••d,.
(Chro". I.
&
H ifl.)
jmu
inurcJlI,,¡rt,
ell e lui qu' o 11 !lte
:1J
rn-,is
de
F~vrier
dam te,
ann~e'
bilfc'lIi1e, ce qui relld ce m i de
~9
jnurs.
V.ye:.
Bl~ E)CT'L~.
Ce
mOt vient du talin
i ../,, –
c.laru,
ft:
rmé de:
('l/o,
~ala,~,
qui
lÍ~ni6oÍl aoci~nnc:melll
flPptl/..
'"
hflll/fq/lt
/a
v.ix.
Un jour
¡",..
&a/ai–
re
étOlt che'!. tes R lmalns ua juur qu'r>n illCéroit entre
deux anlrt!s ; ce que les
pr~tre
publioient
3
h'Qte voit.
te devoir de leur> charges tes obligeant
3
faire de tems
en ter1)S ces rortes d'
i"ur;al"tio"s
ou additions de Jours.
a
cauCe du peu d',ccnrd de t',nnée r n,illc avee I'an–
née Coblre . La
né~ligence
qu'ils apportercnt :. ce<
i"'~r."/"1¡911$.
obllge, Céf31 de réformer le c,tcndrier .
V.y.
AN
&
CALENDRlEP..
011
.ppetle autfi
¡,.,/,."I,,¡ro,
par uoe raiCon Cembla–
b1c, te m ,is emb" lifmiqoe, dans 'es anllée' luuaires.
V"yet.
E\I"oLI~"'Q u E.
(O)
INTERCEDER. v. neutre; e'efl protéger une per–
Cnnne
allpre~
d'.,ne autre; c'en fupptier poue etle, t'ex–
eYf~-.
dem.nder <::race.
INTERCEPTI!R, v. 3él.
(Gr-amm.)
c'eR filrpren–
dre une ehoCe en all,OI
i\
Ca denillarion . O ll
¡ntrrupee
ttne
I~([re ,
un couríer, une nou
velle. un ou
vrngc .
•
INTERCES~EUR
f.
m.
(Gra",,,,.)
cetui qui
pric
pour
un flurre . Les
fa.i
tS
Cont
UD)
illltJrfrj[CIIYJ
3U–
pre, de D ieu.
VOJez.
INTERCE
10>1 .
INTERCES SEUR
011
INTERvENrEI1R.
C.
m.
(Hifl.
,,<I.f.)
nom qu'on donnoit allciem,emcnt pu honlleur
dlllls
l'é~tiCe
d' Afrique
a
qoelques
él'~qnes ,
auxquets on
eon60il te CQtn de quclque
év~cné
v3cant
jufqu'~
ce
que te ficgc filt rempli" C'élOil le primO! qui nommoit
ces
;.'~r'Crr~Nrl,
tane pour
gOllverncr
le diocerc, que
pour procurer l'éleé}ion d'un nQuvel é\'€que. Cette pré–
e,ulion lléanmoins ay30! donné lieu
3
deux .bus, te pre"
mier que ces
¡/fterrrJT,"rt
proñloieot de teur commif–
tion pour ga mer la filveur du peuptc, t'aUlre de parrer
• I'éveché v'can! s'í! ét,);t plm rkne ou ptus honora,
ble; le cinquleme coneile de Carthage y remédia, en
fl3tuant r". que l'office
d'¡Huru/feur
ne pourroit
~tre
eonñé plus d'un an de fillle
~
ta
m~ me
pcrConna,
&
qu'
on en nomltlcrnit un
3utre,
fi
daos I'année
iJ
n'avoit
pourvll
~
I'éleé}ion d',," "nouvet éyequc.
l°.
Que nul
¡HltrujJtur ,
qn.ndmeme it auroit p ur tui les
V~IIX
du peuple, nc pnurrnit
~tre
éle,'é
BU
fiége épiCeopat,
dollt
011
lui aVI,it confié l'admininrJlioo pend'll! 13 vo–
eallce. B in¡¡h3m,
Orig. urlljiafl.
'.>11.
l .
/i.,.
/l.
cbap.
xv.
~.
1.
~
&
3.
I NrERC ESSIO,
(l1;fl. rom.)
ce lerme t3t1n mérite
ici
d'~rre e~ptiqué,
non-Ceute" l. nt p1rce qu'on te Irou–
ve COl1 vent
d~~
tes liinoriens eje Rome ,
ma;~
encore
parce qu'il
défi~ne
précifément le contraire de nOI,e mN
f..o"ois
¡IIltrrtffi." .
f,,:rret/Jio
ohelo tes Romains ligniñoit
I'.ppojil¡on .
que
tout magillr31 ayoil droit de faire. pour
arr~ter
s'it étoil
po(fibte tes propolitions de
Ces
collegues nu de fes infé '
ríeurs; mais tes tribuns du peuvle ¡oUlrroient Ceuls dn pri–
vilelle d'empech« réellemeOI par tcur oppotitioll .
I'dr~l
des propofilions de. tOU! m.giflral quelconque, úns qu'
aucun d'eux \ exeeplé un membrc de tenr corps, pOt
mettre oppoti,ion
3
lout ce '1u'ils jugeroient
3
propos de
propoCer
3
ta républlque .
Le pouyoir
&
la prérogative des lribuns du peuple,
&
m~me
d'utl fenl tribup, contillo;t en
c~ 1~\It
mot
tI.I.,
Je
l'ell1p~ehe,
qu'ils mCltOiellt au bilS des
decret~
du t1!nat. 10Ules
&
qualllcs fois qu'il leur plairoit. Ce
.,tI.
étoil Ii pUllfllllt dam la booehe
clf
c~
1l1.)\iltms
1 N T
671
P él>€icns , 'loe
úns
ér.reobli~és
de
mOli.erJet
n if.
n~
de tcor oppofirion ,
;./rruQi.411
, il (ulli r. t pour
ar:~tct
é~t1e
neO!
J..
r(!CoJu '005 dI (éo>!,
,,<
1..
propolitiOD
d",
autres lCib
lOS.
V.",,"
1'dt"o'!, .f
r. ""," (,>O.lIt.
1
TERCE5
10
,f.
i.
(JI ,rJI, . )
eo tuin
¡."r·
t~ffltl,
c'erl-l-dirc
mlJi"úoll
1
entTemTe.
L'i"te'~e:Ji
••
ell une detru1/lde,
une
'priere f:litt en ravenr de quclqu'
UD aVe( iothnc<
&
'''CC
emprelTement, pour 1 i oble–
n;r q\lelque gnee. qoetque
av.nt3~e.
&
ptus commu·
némCJlI eo,eore. te pordnn ou 1'.douófTtmem d. quelque
peine. C'ell le
Clra
ere 'une
b~lh:
ame
d.'J"/rr~¡rI(r
for–
tcmeal
&
généreure'llellt pour tes fJutes de
I'humanil~.
L'hinoiee ecet<!li.nique .11 rem tie
d'¡nterre/Ji••
t
d "
év~q~es
GUpreS des
ml~illrar$
pour tes chrttiell 3ccurés
e
cnme~.
00
.eeJbté de dertes . On f: 'I ;1
ce
CUlet,
I'.ñel qu'eorent eeltes de Ftavieo aupros de T béodoli:.
10rCqlle 1", Jnbitan, d'Anti che
Ce
révoltereDl,
&
ab'lli–
renl tes n2lues de I'empereur
&
de l'impératrice Placit–
le. Théod",Ce Ulremement Irrité alloit détru;re Antio–
che, Cans les
;"ur" fIi,n,
du prétat qui , par rOIl diCcours
par
Ce;
larm", obriut te falut de
fu
viii.
&
colui de
ro
n !TOUPC2U. L. hllan:;ue de Ft3vien
i
Thé.)dofe
m~rite
t.~
plus grands étoges; elle etl de la m.;1I de Caint
ChryCorlome qui, daas le m!m tetlls.
,'oy~nl
le uou–
pe.', dc Con ami junement allarmé, lacha de
le
eonfo–
ter pu
de~
hométies que I'on ne peut lite f30S en
~lre
Cenfibtemenr tOllché.
L3 le!Jr. que Caint
Au~uRin
écrivit
i
Mae~donius .
en non-Ceulemeot une p;ece illlleuaive de l'.neien
uú~e
de
I·;/lteru/Ji."
des éyeques. en f.veur de eeux qui
<!Ioieol expoCées
:i
t3 rigueur de ta
j~lliee,
mai. e'en
un des meilteurs morceaux qu'it ait faÍt. M.eédonius
lui ayan! témoigné que c'<!toit approuver le crime que
de s'uppoCer
i
la puniti n . Saiot I\ugull;o tui répondit
entre aulres enoCes: .. Je mets une grande dilli!rence en–
" [re celui qui défeod
&
celui qui
inter(eJe;
Pun nc
.. Irayame qu'. cacher l. faUle. I'autre dem.n de grace
" Oll
UDe modératioll de
t~
peine; c'ell un de.uir du
chriftianiCme. JeCus-Chrin tui-meme a
il1ltrclJI
."–
.. p,e. des homlllc:5. pour
emp~eher
qll'on ne
bpid~t
la
" femme adullere . N ous Commes bien étoignés d'ap–
.. pr uyer les péchel\rs, puiCque nous exilleons qu'i1s
Ce
u
corrigenr pour éviter teur cond3mnation
:i
venir; mais
en délenaDt le erime, nous deyons avoir pidé des
criminels. La charir,;
v~U[
que
nous
3imions
les im–
" pies, que
DOUS
Icur
famon~
du bien, qlJe naus prion
" D ieu pour
eu~,
&
que nous lftehi
liS
de les rame–
n ner
a
leo, deyoir, Don par des Cuppli¡:es , mais par
., nos
~x~mples.
par nos eor¡reits, par nos elhortalio
liS,
n
&r.
..
Je n'examineni poílll
ti
la condu!te de Caint
Augunin a toujnurs répondu
a
eelle morate ehrétienne,
it me Cü!1jt de dire que rten n'ell peut dérruíre I'exeel–
leoee
&
la Colidilé . (
D.
J )
INTERCI DuNE
C.
f.
(Myeho/.)
déerre des champ ,
qui prélidoil
:1
ta COnreryation des fernmC$ grolTes. EI–
te veilloit Cur elles 3v<e Pilumnus
&
Dévetra,
&
teur
Coin eommun étoit de tes garantir de Jout ptril,
&
Cur–
tOUt des intilltes de, Cyt vai!)s .
INTERCOSTAL ,adj, '"
""al~",¡e,
re dit des nerfs ,
des muCcles
&
des alltres
vairreau~
qui COJI! IiIUés elltre
les cÓles.
VO)" :t.
C6TES.
Les deux !Jerfs
i"e<rfOnallx,
ou
t~s ~rands
nerfs Cym–
pathiques comme!Jcent ehacun p3r un fitel de la lixieme
paire de ta moelle allongée,
&
par deux 61en de la cin–
quieme. lis aceompagncnt la corotide dans le canal
oC–
Cenx de t'apophyCe
p;~rreuCe
de I'os des tempes .
Ces nerfs COO! "Iués tuUt te lons des parties
lall~ra
les du corps de tOUtes les yertebres,
a
la ..cine de leurs
ap"phyCes trallrverfes. Des qu'ils rOIl! Cortis du erane,
ils forment un gallgtion, qui en
"lité
10Ut le long des
parlles tat<irales des trois premieres vertebres; it ell fon
adl¡érellt nu tronc de ta huitle 'Tle pairo pa, pltllieurs
fi–
tets de cQnlnlunication. 115 eOlTlmuniquellt 3Um avec la
neuvieme
&
la dixicme paire de la moclle
3I1orl~éc .
avge
I~
premiere. la reconqe
&
ta troilieme des paires
cervicales,
&
m~me
avce ta branehc que ta huitieme
p~ire
envoie all larinx . Ce
gan~lion
Ce termine por un
cordon fort menu, qui deCc.'ld Cur les murcies fléchiC–
ti:prs do eot,
&
iI
en envcloppé dan uoe efpece de
gaYne eommllne avec la jugulai,e, enrerme I'.rtere ca–
rotld~
f,¡
ta huitieme paire de nerCs. D ans ce trajet ce
cordon commuq;qne aycc ta Iwi"cme, la qualrieme, la
cinqqieme
&
ta "xieme pairc cervlcate.
Le cordon
étant
y'S-l-Y;
I~
derluere yerlebre du eot ,
forme un
g~nglion,
nommé /,
J<r"i,r
"."g/i."
(<rvi –
(al
ou
(tMJ/(flf ¡n¡tri'Hr.
It Qn quclquefo,s double, .pres
quoi le cordon Ce détourae de
ded.osen dchols vers ta
cacine de 13 premiere córc, ou il forme le premier. gan-
ghon