IMP
11
I~ r~
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dan, un <lUIre:
Je De
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FU. e'ell
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cifl.l,
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un I:nn ofalS. do
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qoi corri-
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1
'",,"U.,llre
'lD'On I,ml de
1
msuvaife éda–
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de h"mmes
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c'elt prcrqoe la m(!:mc chofe;
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r.TIf
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eJ''''lpr,,''.)
en oppofé:l
pUli.,IIt.
e I '.me nt ,'appllque g=re Gu'en outi..e de
"'it,
Jonl
011
dem nde
fa:.e p.euve , qusnd les fa'ls ne
(001
pas
d~ 112!~,UC:
ere
I mIS; pouc en
ordonnc,( la
prrnve,
on
dlt qu 11. (001
l/I1p"I/I1""
'"
inadmiffibles.
VOJa.
F"'IT$,
Pu TI.·E T
&
PIlE V2.
(11)
1
M
PER
nJ
RBABLE
,1~lP ERTU
RB.'\BILITE'
(~""".)
iI
nc fe dil
g'l..
e que de la mc!moi.e.
e~ prc!~
d,cateu! a une mémo're qoí o:
(e
Irollb'e
,omais
¡""p,r–
trrrbable.
Cepend.OI,
011
oi[ cncOre d'on homm'e
qo'~u
eUlle .ob!céi on n'ébron:e, qu'il en
i"'p"'"rb,,bI.
dan
re<
prroc,,.....; alon
iI
en rela[if
a
la du-pule. e'en par
l'úude, les eonooilfon,e, acquiles, la
rede~ion,
I'inlé–
r~t,
Ir
0!3élcrc,
que noos
"nuS
rcndons
imD~r'"r"abln
~an
11¡,S
r~flr¡mCn~,
no.5 proJets,
nos
réfulórioDs,
é!I,.
11 bUI avo" la
r~,f,n
pour (oi, finan
d'mtjurl"rba~/,
qu'no
é
ir, on dtvicnt
ent2,é
l
opini\tre .
J¡\¡¡Pé TR
BLE,
.dJ.
(Jllrifpllá.)
(e dil de ce qui
(~
peu[ denunder; ce le!mc n'etl guere ufilé qu'en ma–
"ere bénétie.ale . On dll qu'on
b~{1~ñce
eU
v.cam
&
i"'plnabl"
InrCqu'il n'dl pas rempli de fail
0\1
de droil.
VOJa.
13>
N. F'CE,
D.
VOLUT,
V
"CANeE.
(A)
1M P E;'T!t
~
N
T, .adJ .
(]uri{prttá.)
en
I~rmes
ele
eh.necllene, lI¡;n'ñe c<lm qui oblÍ<nI des leJlres du prm–
ce; ecpendanl
dans les
I<II, ~S
iI
o'ell qu.li6é
ql1c
d',x–
l'0fr~l1(,
paree
qll'il
n'en
impltrnnt
qu'3prcs
3.voir obtcnu
les lemes .
f/'J,yr':.
bIPtTP. ...
TJQN .
(A )
IMPE'TRATI O
,r.
f.
(Ju.·ifprtl<f.)
~n
mariere
bé,!éliciale
1
Ce
dil de
I'u~lcncion
que 1'00 faie d'un bé–
n~ficc
en Fuur de Rome; .1 Ce dil auffi en (lyle de chau–
celle,
e,
p
,ur exprimer l'obleOlion de 10Ules (oues de
IcttrC'¡ : celui qui les obúnt
~I\
al'pel1¿ l'
impbrm,r
.
VO)'.
lMI'tTK"'ST.
(A)
IMI' E'TUEUX, IMPETUOS ITE' ,
(Gram.)
rerOle ,elatifs
il
la violen,e <!u muuvemenl. L e vent
eH
im/
J
¿¡It' IIX;
les fioh de la
m~r
fon t
1111pItU~Il~;
le
R hÓllc ell
impllu,,,x.
11
le d'l ou figuré de l. jelUlelfe,
de la ca lere, du eoraélere, du
~<lc,
du l1yle, du di–
(cours,
&
de prelque [OUlCS les qUJIIlés qui pcuvenl pe:–
che, par e,ces. C'ell une affa're p'orv.niCalioll,
¡¡
la–
quelle ni
I'~due.rio" ,
ni l. réflelion, ni les malheurs,
ni
I'a~e
ne remédienr pas tCltlJ" urs. 11 0.'11 dangercux de
s'opp"ícr
a
1
'i"'pll".jid
,
1011
au limpie, [.,il au figurt! .
Un Oraleur
i"'pltH"'x
nons elllrallle
¡
un Qraleur grave
nou, ,c<;lble.
L'implt"ojitl
en
eommunémelll de courte
durée; il faut la l.lilfcr p.rror.
.
IMP IE, adj.
(Gram.)
Celui qui médil d'un D ieu
qu'" adore au fonJ de Con eeeur .
H
nc fl UI pos eon–
fondre I'incrcdu\c
&
I';'"p...
L'iqer~dulc
en un hom:
me
a
plaindre'
I'i"'pi,
cll
un méchant
i\
mépriCcr . L e.
h. éliens qui
r •••
m
que la foi en le plus t;r:!¡nd de
10'1'
les dons, doivem
~tre
pl\ls cireQnfpcd que les aUl..s
h"mmes , dans I'oppliealian de ceue inJurieule épilhete.
lis
lI'i·'noreOl po> qu'elle devlenl une
ce
pece de déoon–
e •• lil1n,
&
qu'on eomprOmel la fortune, Ii: repos , la
libellé ,
&
méme la vie de eelui qu'on le platl
3
Iradui,e
COlntoe un
í""ie.
11
Y a
~eaueoup
de Iivres. hélécodo-
1c , il
Y
I
peu de livres
""'p'u .
On ne doll regarder
comme
i"'pio
que les ouvrages (ld I'autenr
¡'~,onféqueDl
&
hé,érique I>lalphamc contre la rcliJ(ioLl qq'il avoue.
Un homme a les doules ; il les propole au public_ 11
m e fcmble qu'4U lieu de br/licr ton livre,
il
vaudroi\
bcallconp
mil!ux l'envoyer en
Corboone,
pour qu'on en
prépar11 une édilion
oa
I'on verroi[, d'o\, eÓI.! les
oblcélions de I'auteur, de I'autre les r<!ponCcs des d¡¡–
acurs. Que nous .pprenne",
tln~
Cénlure qui proCer",
un Al
r~t
lJllI
condomnc au fou? rien. N e ferOlc-ce pas
le comble de la 1l!llIérilé, que de do.uter qno no haoi–
le
Ih,,(llo.~i<11<
dilperfJacnr cornme 13 pO,\lC!ere 10ures
le> m iCér.lbles fub"lilt< dll méeréant. I1 en (e,oi[ ra–
mené dans le (eín de
l'
Eglile,
&
IOns les /Ídeles édifiés
s'en lortitieroicnt
~ncorc
dans leur foi. Un homme de
~"(\I
al'oll propofé
a
1
'3c.dl'mle fr.m¡;oile une occQpa–
tion bi<n <\igne d'dlc, c'éloil
d~
publier de nos meil–
lturs auteurs, des édil:ons 011 ils (clOarqueroient 10UICS
les '"Ule, de lan'-(ue qui leor auroient éeh, ppcf. rOleroís
l\ropoCcr
1
l. forbonne un proJe, bien
di~ne
d'elle,
~
d'une
t
,Ule
2ntre
importance;
ce
Ceroit de DOUS
donoer
des
c!
ition de no hélérodolcs les plus
c~lebrcs,
avec
une réfut tion , page
a
page.
D'impu
'(n l:.il
,mpilr/.
IMP
493
IMfITOYABLE,
adj.
(Gr-.... )
gui
c/lliaos
p'–
li~.
I".),t;
PITlL
On
do:r rue
í""" . \
"enTen
1
mtclnns, rooleS les io1s que la
COQlm Ii!ra
'on qu'no
nerceroil en",," CUl, lOurDer01 PHI"e les bons.
Ce
n'el1
p:t>
100Jool$ le Juge ,
e'en
la loi qui ell f ,nrde
&
i",pÍl""..
&t~.
00 dil le
1«
i",pil.,••I,
oe pardonooil
i
perfonne; I'enfer
&:
b
mar!
foOl
;"'p".,""I".
~ p~cbcors
"npéoil~n.
uouverOOI d1m le D iC'U de
la
m lerí–
carde qui les a
f.in, '" qQi connoie leor fO'blette, un
.rbirre
imp"at"b1,.
Voili le lcol
as
peul-~tre,
00 la
foi 0005
~mp
che de
pr~ndre
ce mOl
en
m,uI aile:
pan,
IMPLANTER,
ver~
.aif.
(Gr..
m",.
&
A"ol_)
e'en
~voir
(on origine '" fon atrache
rOlondern~nt
m
qoelque codroi[ . Les eheveux fi 'nl
,mplVll1r
(ur la
r~le .
Les
oreilleue5 '" les arteres
s'
,mpl.m",,:
d.nsle
c<ror.
1M
P
LEXE,
:ldJ.
(Líulra")
11
fe di[ des pocmes
épiques, '" des ouvrapcs dram.tiques; c'cn I'oppofé de
limpie _ L'ouvrage en Comple qUAnd il n'y a poi", de
renverfernenr dllos
la
forlune du héros.
Imp"x<
li III
fonune du héros de.ien! mauva'Ce de bonlJe qu'elle
élO'I, ou de mauvaife devienr boone. O" croil que le
fuj~1
i"'pl,x<
en plus proprc
a
c!mouvoir les paffions.
IMPLle lTE, lf>I PL le ITEMENT,
Impltetl',
adj.
tlr""
"¡rl,ol, ,
en le conlraire
d',xpliCt",
/le
Ii–
gnifie
>Ion
.xplíqlllc,
1Ion
dlv,l.pple .
Volonté
imptidu,
foi
Itnplici/~ .
"olunt~
implíeit.
en
c~lI.
qui fe manifeae moiDs par
de, paroks que par des circoullanees
/le
par des filils. Tel–
le c!aule, par exemple, fans
~"e énnncé~
dans UI1 con–
trat, y
en
ccn(éc contenue , paree qu'dle lui, de l. vo–
lomé
ímpli<tll
'"
primilive des eonrraél,ns, laquellc fe
d~rnontrc,
13!!1 par la n.[\lre de
l'aél~,
que par d'autrCi
ebules
~quivalemes ,
'" netlemen! Clprimécs.
Fqi
impli<itr
ea UD acquieC,cmem
g~néral
&
lince–
re
¡¡
10UI ce que l'Egli(c oous propofe , fam que le
ti–
dele porte f. vllc ni Ta foi, fur lel ou lel .rtiele de ero–
yanee, qu'il ign"re le pl"s (ouvenr
La plüparl
deS
homrn
S
n'onl, eomme oU ÍIlil, qu'uoe
foi
irr.plÍ<itt:
trOP
oce"pés 4e Icurs affar,.s
Icm~orclles,
i1s
O'unl ni le [cms , oi le g\Ónie né""lfaire pour aequédr
les coanoilfauces que (uppole une foi expl'c le un peu
élendu". H eureufemcol ils en 001 touJour ' ªlfe? pour
(.ilir le prindpal obíCI de la foi que J. e. nous dem.n e,
je
I'CUI
dire la
f~rlne
confi.nee que nous devon. avoir
en la parole . En effel , le Sau eur n'lOfille pas, e" m–
ine
le
Xhéo!OJ!iens ; .lur une aphélion expre(fe, piS
m~me fur une adhé/ion
implhit.
a
des opinion. conteoyer–
fées dans
l'é~o\c,
'" efoD¡ la
plQ~art
Il'intérelfem ni la
religion, oi les m<rurs.
'
Ca
confinnee" l?, foi invariable en f3 puilfance '" en
fa médialion,
én
prefque le feul ."iele qu"l ex'ge de
1I0US ; '" c'en ce qu'il [émoigne lans équivoque dans
les divers
p~lfag.s
011
iI
parle de la foi; ea voici quel–
que,-uns pris
atl
hafard
&
Caus ehoix, ear
~I>
0111 10US
le meme lens
d.osla bouche du S. uveur.
J élos admiralll l'eJtréme confiance gu Cenreni.. , dit
en m3lquanl (a (urprilc: .. ea vérilé je n'ai poine croo–
" vé une
Ii
grande foi, meme en I(racl ...
M atth.
8.
10.
D an une autre oeeafion, voyane la foi de ceux qui
luí préfcmoie"l un
par3Iity~ue :
.. moa fils, di\-il au ma–
lade, 'yez confiallee, vos péchés voos COOl remis ...
Matth.9.
2.
11 dil de
m~me
il
l'hémorroHfe : " ma tille ayC'l. co.o–
fi:ance, VQue
ti.Jivous a Hmvée. "
Mlltth.
9. 12.
Sainl
Pierr~
m.repane lor les
caO!, '"
paroilf.nlef–
f13Y<!, Jélus lui
,endi~
la
m.in, en lui die,nI : homme
" 4e peu de foi, pourquoi
a\'e~-vOUS
dOUlé ,, ?
1I1atlh.
.. 14· 31.
JI
diE
3
un n . uglo qui demandoi[ (a guérifon a"ec
de 'gr uds eris : " alloz, VOlle foi vous a fauvé" .
111.,.,
" 10.
11.
.
ti
dI! ceore
a
un h!pre\lx qu'il avoil guéri, '" qui lui
rondoil
&l3co'.
genl'lux: ..
leve·I.-~rous ,
allez, vOlre foi
" YOus a faové _,.
Llu,
(y.
19 .
.. D ieu a
I.nlaimé le monde qu'il a donné fOI\
til~
.. unique; afin que 10Ut homlDe qui eeoil en lui lIe pé–
n
riCTt;
point,
mllS
qu'll
ait la vic
étcrncHe ".
J~{m,
3.16.
Qu'(ln examine dans le teXle des
~vangeli:Jes
10US les
palflges 011 il en qucr:'on de
II
foi,
&
(Ion
verra qu'ils
o'elprimenr que I'imime {'<'rlusnon de la divilli[é
du
Sauveur~
que la eonfi.nee en fes mériles in6nis.. Prin–
cipe fondam<lIIal de 1:\ foi l\éce¡faÍl c
;l
10US les hom–
mes, . '"
qui (emblc fe réduire
il
croire l'un'lé d'un D ieu
en
u <);,
perfonncs,
!!<
la divinilé de
J.
C . unie
:l
I'hu–
maollé, pour opér«r le falul da genre humain ; foi effi–
cace'" fruBi6anle , dom le Sauveur raic dépeodrc non–
fealcmeDc Ics guérifoos miraeuleufes
&
les aUlres pro-
diges