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d'uo cor", lumlllnlt q
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Eclaire, O'.l
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d'on ca",!
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Eclair<!;
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fe dit
ao
limpIe
&
la rigur';.
1'.
D
limpie! de
I:l
mlnÍCfe dOD! nos lemples fonl Edai–
r~.
i
Cett2tnl
JOors folemnel.; des lum,e1' ; que le peu–
pIe ctl oblil4E d'munC1l' la noi, far f6 f""étrcs, lorlque
qw:lque E.Enemenl ímport2nt
&
""orcos I'ex;ge;
&
de
cellc:t
donl les
f2Ce>
de. IIn'ldcs nuifons fom décorles,
dans les ..
,nes
circonlt..nces,
00
dan. qoelqocs
f~les
putlcolÍCfeJ.
(X
.nitlu fe fom fouvent
diRin~6
par
le gollt d'M ce ¡¡enre d' ..niñce, qoi conliOc
2
im'ter
des morC.,.'ll d'uchitcdure
&
aotros
ol>¡elS,
por un grand
nombre de lamieres fymmilriquemcm ditlribuén. Au
ñgurE, on a¡>pelloil lutrefois le flcremclII de
b1pl~me
I'W.",j.""•• ,
&
noo. noas fervons de l.
m~me
expref–
/ion. pour de!lign<r e"" infpÍl'alions d'en·haot, 'iue qLel–
ques per(onne. pnvilEflie!es 00! éorouve!e . La loi ell uu
don
&
une
iII.",ill"t,o.
de l'Efpnt-C.int.
h ..
LU " A
TIO~S,
fe
dit
en
Pei1tttl"~
de figures,
00
autres obJets peínn Cur des eorps
tranCou.ns, comme le
verre, la gofe,
le
plpier,
1:1.
enile,
;5<.
de'riere Icfquels
011
met
des
lumieres qu'on
ne
voít poine,
&
qui fanr
.ppercevoir
le,
"blet reprMontEs.
011
'en fen dans les
dl!eoralions de tMi
re,
d;lfls eelles des fere> pllblíques,
&
on en f'ait de 10Ut couleur< .
lLLUMINE' ,
.JJ'
pri (i,bO.
(r¡,IoI,~.)
c'dt le
uom que I'on dOlll1oil 2nciennement don. l'
E~llfe
eeUK
qui 3voiellt r
~u
le bapl ·",e
V O)·,::,
H
PTE-'E .
Ce
n~m
Iwr ven il d'une cére!monie du b:Jpl¿me. qui
conliOolt
i
menre dnru l. mnin dI! néopbiee qui ,'eoait
d'élr. baptiCé, un cierge ¡lIumé, fymbole de l. foi
&
de la gruce qu'il sy"it
re~u
par ce fleremenr.
Voy<z
CATn ~cu
tEME.
DitzlQ"ncJjr~ d~
r ,.IVfJltx.
I
LL Mil' ,
nom d'nne feae d'hérétiques qui s'éle·
ycrenr .en
Efp.~ne,
ver< I'BA
I
f
f,
que les Efp.gnols
.ppello,em
Alambrad .., .
L l!\lrs chef. éloiem
l ean
de Oillapando originair. de
1'11" de
Téné~if,
&
une cmrmélile appell!!e' Ca,herine de
JéCu . 1I avo,eOl belueoup de eompagnon.
&
de diCci·
p!es, dom l. plupart furcO! pri.
par
l' lnquifitloll,
&
pu–
m
de
lOan
a
Cordou.; les aUlccs abjurercnI leu:s er–
r~Ur~
.
Les principales erren" de ces
i/ln"';,,/¡
étoieol que ,
par le
100
yen de I'or.ilbo Cubllme
1
I.quello
ji,
parve–
no~enl,
il emro!ent .daos un élal
Ii
parf.it,qu' U o'a–
YOlene plus beColll n, dc l'
uC.gedes C.cremeo', ni des
bonnes ",uvres;
&
qu'ils pouvoicol
m~me
fe l.iITer 311er
101
aaions les plus infames faos pc!ehcr.
Voy_z
/<
Di-
8itl'''la~,.~
de
Trl'Vllllx.
L . Cea. des
il/"",i,,1I
fllt renouvellée en France, en
. 634,
&
les
G""i"""
diCciples da Pierre Guérin, s'é·
tlnl Joints
i
elll , ne 6rent qu'une Ceule Ceae Cous le
nom
d''¡/uminb;
m.isLouis
X III.
le 61 po,;rCuivre
Ii
vi\'cment, qu'ils furem dérruits en peu de tems.
Les
priocip.leerrcu" de ce,
il/"",i,,1I
Etoicot que
Ditu avoit révélé
a
l'UI1
d'ou ,
Dommé
F,.~re A~'Oi"c
Roe9"'"
une prutique de foi
&
de vic fur-éminente
incl1noue
&
innliré. dan 10Ule Is ehrc!tienlé .
Qu'avc~
celle mélhode on POUVOil pBrvcnir en peu de lcms
2U
m eme delIré de perfeélioo que le, S '.
&
la bienhellrouCc
V ierge, qoi
1
fclo.n
CUX
t
n'avoienr cu qu'une
Vertu
com·
mune. lis lJJou"t!cnr,
<t~c
par cettc voic
0 0
arrivoit
1
nne lelle unioo avee D ieu . qoe toutes
I.{,
naions des
hO!,lOles. el1_
él~iel1r
.déiñées.; qu'élant pJrvenlls
a
cene
umon.,
,1
1111011 la,ITer aglr O ieu fcul en nOIlS, fans
p~odu."e
.ueun.
'é!e.
Que 10US I";S doacors de l' EgliCe
n
~vOle~t
¡Blnals .
¡,.ll
ce que C'61011 que dé. lirIO; que
ftunt Plcrrc
.é(C!,~
\tIl.
homme
fimplc
J
qui u':lvoit rien
enleod~
a
!.
fp"'!u.ltté . non plus que CaiDl Paul; que
eOllle I Eg.ltfc
ét?1l
dan, les ténebres
&
d3n I'igo.".nce
fur la vrOle pronquc du
Cred.;
qu'U éloi, libre de faire
10UI ce que diaoi! la conCcienee ' que O ieu n'.limC'it
.ien '1ue lui-meme; qu'iI folloil
q~e
dao
di~
.os leut
d?a",!e
mI
re..
u~
de 10ut le monde,
&
qu'alors
00
n OUrolt plus befolO de
pr~tres,
de r.ligieul d curés
d'év~'l.ues,!
!,i autres Cupérieurs
eccléfi.lliquc.~ .
poode'.
Viltorlo
.,),,.,.
Les Frer' de
I~
RaCe-Crois ont ouffi été appclh!s
i/l...,i,,/¡ .
(foyet;
Ro
E-CROn.: .
I
L
L.
U S [O N ,
r.
f.
( Gram.
&
Lilflrat. )
e'etl le
menConge des appuclIeCi,
&
[air< i/l"jio»,
e'eíl en gE–
uértll tromper
por
les appareuees .
os Ccns nous foO!
7'.",.
I/Il!.
1 L L
4-
9
,Ollji,••
1
ro
0'í1s
nOll$
moolreDl des oblClS
011
iI
n'y
m a
poi~l;
00
/°'('10'.1
J
m
2,
6:
qD'¡l~
o
les
moa–
fTm!
2uuemeOl
'1
',Is
nc
foo<.
Les
'«Te>
de
l'
'que
0 0 0$
foO!
il/_ji,.
de ecot
tDJo'e1'e!
di:fc!rcol
en
.hE–
nn' l. gnndeur, l.
forme,
la cooJeur
&
1, diltJn–
e .
N(X .,.
,,,n<
nous lOO!
¡U.;;..
lorfqu'elle. ooos
MrabeRl I';"j 'ce des úli\HU
0<1
des fcnúmen qu'el–
les nODS ¡D(pirenl. Alor< l'on er 't plrtt q..e 1'0
cniol.
00
parce
q
e I'on delire:
I'il/./Ü.
so¡¡m
nle e'O
propo~ion
r!
b
ro ree do (eoúment,
lic
de
la
foillleík
de l....ifon; elle déttÍt ou embdlit ores les Jou'lTw–
ces; elle p2J'e ou
lernit
too es Irs
"ertOS : 10
moO"C'ot
oU
00 pcrd 1 ...
iII.¡;•• ,
3
rhbles, on t ombe dln l'iDa–
lie
&
le dé olll.
Y
·.·t·il de I'emhoou rme fou,
,-,¡"ji." .
Toot
ce
qDl nous rn impoCe par fOil éclal,
Con
ami–
quil~,
fa faolTe impottaoee, nou
ñu
i/l.!í.".
En ce
feos,
ce
moode eO un monde
d'íJl.¡;.,1J .
11
o des
i/–
/..!í••,
dooces
&
confobmes, qu'ir feroit cruel d'Ól
r
aur homllDeS . L'.mour-propre ea le pere des
iII"¡;.,,,;
l. oltllnc
a
les (ienoes.
U
ne des plus fortes etl eelle du
pl.ilir momenrtloé, qui expoCe l. f,mme • perdre f. ,·,e
ponr la donnee;
&
eclle qui :>rréle l. main de I'hom–
me malheureux,
&
qui le détttm;ne
i •
ivre .
",,11
le
charme de
l'i/l"Ii."
qui oous avetl le en une
inñnil~
dc
drconOances, for la vakilr du faeri6 c< qu'on e.i¡;e de
nous,
&
Cur 12 frivolilé de la réeompeoCe qu'ol1 y al-
12che. Porret mon
il/,,!í••
1
I'éxuc me,
&
vou engeo·
dreret eo moi I'admiro '00, le ".nfp0rl. l'eolhoolÍaCm,;,
l. fnreur
&
le f.on.lisme. L 'oraleur condo.t la perfua–
(jon;
I'il/I/Ii."
m1rehe
a
COIe! du poete.
L.'
roteur
&
le
pocle
fOn! deut grand magiciens, qlli 10m qucl<¡ue–
fois les premiercs dupes de lcors prcniges.
J
e diru,
BU
p
¡;I~
dramanque:
,'oule~'vou
me foire
i/lujio",
que
vo"e fUJe! Coil limpie .
&
que vos inciden oc fo'em
poim rrop éloignés du cou" nacurel des chore.; ne I.,¡:
liullipli... poim ; qu'i!s s'eneh.loem
&
s'miront ;
m~ñea.·vous des airconll.nees fortoile5 ,
&
Conget Cur rout
.u
~eo .
de leros
&
d'cfpace que leJeore vous aecmde.
ILLUSOIRE, adj. m.
&
f. (
"ri{pn.á.)
Ce dit de
quelque convention ou diCponlioo, qui
.Il
eon~ue
de
man'crc que I'on
peuc
'en 10uer,
c'cI1-3-díre
t'élud('r ,
&
faire qu'elle demcure
C.oseffel . eomme
(j
on !tipu–
loit qu'un homme, notoircment ioColv.blc, poyero
"P'
es
f.
mOr!.
(A)
lLLUSTRIITl,
r.
m. pI.
(Hif/. Iju/c.)
nom d'unq
académie ou fociéré lillórnire, ét1.blie
a
Cal.1 el1 h alie.
Elle
3
pris poor emblcme le foleil
&
13 lune , avec I'ill–
fcription
t
lux
;lId
:fi~;nt.f:
on ignore cependaDt ce que
eelle lumiere • produit.
ILLUSTRE ,
I
L L U'iTRA T I ON, S'ILLU–
STR ER,
(Grnmm.)
un hommc
i/l"flr<
eO eelui qui a
mérité I'enime
&
la eonodérlli"n .¡énérale de fa n3lion,
par quelque qU31ilé o<eellel1le .
011
peul n.'tre d'"nc
m.irot:l
il/'if/r<,
&
n'elre qU'1l1l homme ordinaire ,
&
re!–
eiproquemcnt. PI,"arquc a écrit la vie des hnmmos ;/–
/.jlr<1,
grees
&
rom.ins. La maifon de Bourblln el! la
plus
i/lllf/,.
en Europe. On lit dans le O ia iono.irc de
Trcivoux, C ieeron a (!lé le plus
i/lnjlre
des olOloors de
Coo te
loS ,
V
ir~ile
le plus
j/l"f/r-
des pOdle :
Je
oc Cais
r.
ces deux phrafcs (i,n! d'une /(rande pllrclé; il
en
c<r–
tain que le mot
i/ltrj/,.
ne fe dil pos .ufli·bien en
pa–
reíl
ca
que le mot
gra,,'¡.
Cie"ron a él,! le pl'l ·
g rl1"á
de oruleurs de fon !erm;
V
irgile le plus
grand
dos po
e–
res. Un
peinrfe ~
un
Uatuaire,
un mulicien, peur
5'il/,,–
(lr<r
dans
COII
art.
IIItrj/re
s'.ppliquc IOremen! aUI eho–
res,
&
je n'.ime pa ,le rois d' Egypre
011t
élé eeux
qui 001 laitré de plu'
i/l,,{fra
marques de leur grundcur .
11
Ce prend mujours en bonne par!: un Ceélé'al
u'etl
poiO!
il/"jlu;
iI
ell
fnmtlt)( .
il ell
injig"<.
Les
éarivains
hardis fl: ¡ouent de loules (les petires nuonee .
.
lLLUSTRE, adj.
(Lite/rat.)
eo latin
i/lujlris ,
ti–
Irc .utrerois des plus honorables.
11 Y
.voil daos
In
décadenec de I'emplre tlois eitre
d'honneurs différens, qu'on accordol!
nu.
perfonnes qui
Ce diOinguoiel1l Cur les 3urres
par
leur n.ifi3nce. ou
par
!cms churgos. L e premier étOU
il/uf/ris,
le Ceeond,
cla–
riJ1imus
&
le Iroilieme
[pdla¡úlit
¡
m.isi¡!.'f/ris
mat–
quoit un'e pr6émioence elfeotielle , deCorle qu'il Ce doo–
o"il feule11lent
au~
coofuls,
&
aux gronds officiers de
I'empire .
N os roi
meme
daos la premiere
&
Ceconde f3ee,
fe " ouvoiem honorél du litre
d'i/lll(lris ,
ou
d'i/l~(I<r .
Pormi
ce
grlltld nombre d'.aes aociens que O oublct
a
recueillis dans foo hiOoire de l'Abbaye de Cailll O enis ,
il yen. plulieurs, ou
Oa~oberl
jOiD!
~
l. qu. lité de
ro, de Frmnee, celle de
1Iir jl/t<(I_r.
Chilp6rie , Pépin
lic
Charles 1. Oot ero .jout« un ooovel écl.1 • celui de
roi. par
l'~pithele
d'h0111me
ill'iflrt.
L es maires d? pa-
Mm mz.
13 's,