HA
~n
longuour
~
den.
l;~es
qui reroient lirée, du grille!
su - deuuus de
In
P:lrI;C
r.manle
&
,.téra'e Cllerne du
jarret,
&
de cene partie r.,II'Ole pcrpendiculaircrnem :;
terreo
Des
qoe les
haN,hes
ront r¿ellerneO! un compore! de
pluficors os unis
p.r
rymphirc . c'en en ignorer
&
en
m~connoitre
lomleme",
b
dirporitioo méc3nique, que
de leur allriboer la fucuhé d'érrc mlle. Le Jeu , ks rer–
{orlS de l'.niere-main dérivenl ellenliellemem de la flé–
xibililé
&
de la mobililé des "crléres lombaires, qui lÍen–
nena
IUUle la liberte de la propre configoration . En P1r–
tant de ceue vérité confhme
&
dom 00 en plcinement
eonvtlinou par
b
feale mfpeaion du mouvemeO! pro–
gretrif de I'auimal, IlUirqu'au mamen nu res piés de der–
riere .vancem rous lui
&
répondcm
a
b
ligne de dlrc–
a ion de fon centre de gravité, la He.ion
&.
b
cnurbu–
re
de fes reins fom tres-.pp.rentes, il en faclle de con–
eevoir que dans la circonance de la dlfiance tr" p Ion–
¡ \le
dO$
p:lrtiC's
qui
limitem
ant~rieurcment
&
pofiérieu–
remem 1e¡rrém'té fupé';.ure dOn! nou, avons p1rlé,
ccs m':mes piés , lars du pli des veflebres
&
des artl–
c ulation des colonnes, o'lIrc·p.(fcront néce(falremellt
dans leurs portées la pina de cellx de dcv'lIf ,
&
con–
fi imeroOl
i\
chaque p1S l'anim. 1 dans un dogre! véritable
d'innabil'té .
&
conféquemment de fo·ble(fe. C ene con–
fi dér.tion
a
fans doute eng. ge ')oleyCel
a
regarder des
chevaux ainr. conformés cOlllllle des chev.u. excellens
d.nsles mont!lgnes. !..'élév.lion du lerrein s'oppofe en
cff"t au port de leurs
~iés
lrop en
.v.OI;
&
la facililé
namrelle qu'i1s 001
iI
s . Ife" ir
.r.
ilram celle de la per–
cutrion , le dev.1lt en eh ,(fé
&
relevé avee véhémenee:
mais autri da"s la defeente,
iI
fam convenir qu' ils fonf–
frem infinim nI, non par la peine qn'ils 001 , pller les
Jarrets , .¡nr. que I'n rolltenu cet auteur,
m.isparee qu'ils
fom achaque inOam prels • s'.cenler.
Du dét'am oppoCé natl l'impollibiliié de baUler le der–
riere, dont la roideur
re
nlontre con0 3mmenr; la canr–
bure des vertehres n'opéranr en quelquc [orle qu'un mou–
vement obfcnr,
&
la lim.tion perpendieul.ire' des
eo-
10,lOes dans leur appui hau(fnnr
&
relevanl roiljours la
croupe ,
L e
chcval en répulé avoir les
hanchu
hames, lorrquo
les ilé 'n. paroi(fent
a
I'extédeur ; il en appellé
co,n",
lorfque la I(r"(fe
&
fon embonpoint ne pellvenr en dé·
rober I'e<treme Caill ie:
iI
el1 dit
Ih3nch¡
ou
Ipoi",I,
dans le c.s
" ti
ces os n'atreignent pas une hameur
é~ale .
V.ya.
E 'I-I ANCHÉ, E'POINTÉ. Si le cheva l feberce
en m.reh IOt, ce qui proviem de l. fo:ble(fe de
Ces
reins,
nous difo", eneore qu'il
a
des
hanchn
Hottames. Apres
un elfon dJOS les '''lOS. le derriere en
~-peille
fulceptÍ'
ble de mouvemc",; I', aion progrellive en d'une lenteur
extrcme ,
&
n', lieu que par l'.aion cies eolonnes; les
hancho
Cont
train:tl1rcs;
le tride,
l'~giFté
la vivacité
des
¡'an,hu,
qu ',Iilés commnnes ,au cliev,l' d'Efpagne,
dépendcnt de
1,
June proportion des parties , de l. vi–
gucur de I'animal, de la f>ree de fes re;os, . inr. que de
eelles des agens qu i meuvent Ic derriere,
1 /Tol,plir,
.
IIJs.úr~r, aff~rm;,., hai/!~r , fair~ pli~,.,
tra·
'l.Jatn~r , aj[UJ~ttlr
le.¡ IMn,hn,
&c. ces cxprcffions ufi
t.!es
d.nsles mané,;es, prifes dans le vér;table fens
&
daos lenr
Ii~ntticat
0 11
propre ~
nc doivcnt done préfcn–
ler
a
I'efprit que l' rdée que lui offriroit "emploi de ccs
mémes
" C
bes régi(f'1II
&
précédant ces mols
le der–
.,iere, rarriere·main
~
Dlt
la croJ4pe.
Cene eurém té dans 1', nill",1 eh.rgél! des principaux
elforrs qui .peuvenl opérer le lI anfport de la ma(fe en–
svant ,
&
foütenir
celUl
de
eCHe
m~lne
marre cn-arriere ,
a Déce(faircrneDt befoin d' ét>c CLllliellée inrenliblerncn t
&
par degré, eomrnc 10Ules les .lItres parties mobiles
de la machinc,
aux mOn
\'etnens dont la
répétirion
&
¡'h.bitnde dO;"cnt lui faciliter les aaions qui lui fOllt per–
mifes: tOUt cheval qui n'en a pas aequis l. liberté
&
I'. i–
fanee, el1 10lalemeOl inc.pable de la dln riblltiClIl propm–
tionnée de fes to rces, du rejel me!i.tré, du 'eolltre-balan–
cemenl exaél du po ids de
1011
corps rur les panies po–
fiéricures,
&
d'une union qui reule peut
le
rendre agréa–
ble
:l
la main, .lIégcr fon
dev.nr,afsl1tcr Ca marche,
&.
Jnaintenir
le derriere dJlls une
tifuatioll
ou
[outes
pcr–
(:u llions s'elfeauenr, pour ainli dirc ,
C~ns
travail
&
lans
peille ,
Voye>:.
UNION,
Obrerver les
hnn,hcs,
faire obferver les
hancha, vo–
ya.
FUIR LES TALONS, E'LARGtR,
H
A
N
e
HE,
(M"in,. )
e'en
la
partÍe du vai(feau qui
p.ro!t en-dehars depuis le grand cabenan jufqu'a I'ar–
calfe; ou bien c'eil l. partie du botdage qui approchc
de I'arc.(fe, au-de(fuus des banfeilles ou galeries qui fonr
{ous les B.ncs .
VQye:r..
PI.
1.
Mari(t(,
un vaiacau
vji
par
I~
c6lé .
(?)
HAN
H ." CHOAN,
r.
m.
( H,'1 ,
...,.)
O'[OlU
de pro!.>
du
B,,~liI ,
qui
par
fon
plu~c:, r~
)trandc:ur
l's
ligu-
re, re(fcrnble be:1U
up su bu(ud,
e~o:epté
qu'l a
\\0
oonde nOlte
2
I'endro't ou le eou fCloint
:l
la t.!1 ,
Les
Portu~a;s
&
les Ind'e'" du B,étil
re~llrdel\t
1
ro-
(fure des o ngles
&
du bec de cet oifeau commc un
des plus e:rcelfens comrc-polfons,
&
ils prt!lendent quu
fes
plum ,fa chair,
&
fes
O
~uéri(fem
bcau"oup d
mlladies.
V oyez.
Redi,
O.foro.
Jllr di
.,fol
rh.¡'r
•
.J–
J,M'~"U
•
H
NG ....RD , H .\NGi\ RS,
f.
m,
(Gr"",,,,, )
e
fon l de longs sppentis avee des toits in
lin~s,
que I'on
établit dan
S
les .."enaul
&
alle!'ers de
con llm~lion,
[ous lefquels on met
a
couVert
&
on rlogc les bois do
connrnalon, les alfilt de canon,
&e,
Les
h"wg4rds
rervent encare de remife pour les
~qui
p'ges;
a
certa;ns artines , d'attelíets lUllovibles;
&
3
une
ionnité d':\ulres
ursges .
• H \NIFITT,
r.
m.
&
f.
(Hifl .
",. J, )
nom d'une
fcae
mahom~lane;
les Turcs s'eo fervcn t pour dt!(jgner
I'orthodox ie ,
• H i\ NLU,
C.
m.
(Hifl.
m.J.)
nom dI! dlx-reptio–
me 1110is des Chinois; il répond
i
notre mo's de N o–
vemore . Le mot
ha"/,,
r.
o
ni6e
Jr.id.r.Jlt:
c'en en
la C.ifon.
H NNEBANE,
(Mat.
m.d. )
V.y.
Ju
Q.UIA\Ir; .
H
\NNETON, f. m.
(f/ifl,
"aJ.
-¡"follo/, )
inr<!éle
de la cla(fe des
fe1r~b~s,
[<arabtur arborem vu/g Irtl •
Mnulf, Rai, c'cn un des grands fc3tabés; il
n
la tCle ,
In puitrin.
&
les enveloppes des .71es de eouleur brWle
roulT; tre; la poitrine en velüc; chacune des enveloppc<
des ,rles a qu.tre nfies; I',"us en poinru
&
re: oucbé
en b.s; le venlre " une couleur bmne avee des t'lch
blooehes Cur les eÓt':s; In levre rupédeure ell obluCe .
Linte;
faul1tJ
fitt,~it4
.
M .
R",Cel, dans fon
Amufomcnt
phyr.'1'J< Jllr
/" ;,,–
{elln,
dlningue deu. rortes de
ha..
nclonl
par la cou–
leur d'une plaque qu'ils 001 rur le eou,
&
qui en rou–
Ile fur les unes
&
naire fur les alltres, '
&
par la poin–
te de la partie poner'eu.. de leur corps, qui en nunce
&
Courte dans les
h"""t/O"1
a
plaqu~
rouge,
Oi:
plus
lonl(ue
&
plus gro(fe dans les Olltres . On recDnnoit ai–
rement le fere de ces infeaes; ils
0 01
une houpe feüil–
let.!e
a
l'eXlrémlté des antennes, '1ui en plus lengue dans
les m11cs que dans les femelles, ils déplieot tOUS celle
houpe,
I()rf~u'jls
prennem Icur elror , L es antennes font
replIC::es fur les yeu. qUl rom n ,irs .
11 Y •
au bas de
I~
bouche deux aUlres .mennes perite,
&
.poinmes; ils ont
rur les eÓlés du
v~ntre
des taches blancltes
triangul~ires ,
qui les
d,nin~eOl
des autres efpece de
h,rnnctolU.
L es
deu, jambes de devao! fom les plus counes; la partie
moyenne en large, forte, t..nchanro,
&
garnie de deul.:
ou
IrO'S
pointes : ceue par!'e leur fert • creulcr dans la
terre, quel ue dUle qu'elle puilfe
e"
e,
Les r.
x
Jambcs
["ot terminécs par deux crochets qui rut\liennent cet in–
reae comre les Corfaces verticales,
L'aeeouplemenr des
h"..
",to11l
dure long-Ielns; des
qoe la femelle en féeondéc, elle creufe un tron en ter–
re,
&
s'y eofnnce
iI
la profondeur d'un dCllli·
p,¿;
elle
y dépofe des ceuts obhlllgs, de cuuleur JallOe e1a;' e, qui
I" nt plaeés les uns
i
c6té des .urres: apteS la ponte,
13 femelle fort de fon IrUU
&
fe nourrit pendant qucl–
que lems de feüllles d',trbres.
M ,
R.,fel prélillne qu'il
n'y a qu'une pome;
iI
en'crma dans de
~rands
vales
oou verts de erepe
&
a
m oitié rem.llis de galo n, un grand
nombre de
halllutolll
qui
veoojellc
de
s·2ccoupler ;
3prcs
quinze jours
iI
trouva pluliems eenraines d'
a.undaos
quclques-uns..¡jes va[es;
iI
mil les .mres dans une Clve
Cans les ouvrir ,
A
la 6n de I'été l'on des vares fu! ouven,
&
iI
s' y
!'rOll
va de pelits vers au líeu d'ceurs; on mit du gaCon
fr.isdaos le
v.fe,&
on le t;m expof6
a
l'air , Ces Ver$
prireOl beaucoup d'aeoroilfemenr pendanl I'automne; au
commencement de l'h;ver on les remit
i
la cavc, on
les
en
retira
.u
mo's de M.i; ils étolcot alors li fans ,
qu'il falloit leur donaer fouyem du gafuo frais,
&.
Lien ,
16t 00 fUI obligé de les metrre fur ces pots ou on avoit
f3il lever des pois , des lentllles,
&
de la laitüe, pour ne
les pos lai(fer manquer de nourr'rure : malgré lomes ces
préeamioDs , il en péril beal\collp peudanr
la
Ceconde
&.
la 3' .noéc:.
A trois ans, ces vers ool .u moios uo poucc
&
de–
mi de loogueur, lor[4u'ils s'étcndent; ordioairemellt ils
[ool un peu reeoquillés; ils ont une couleur blapche jau–
ndarc ; le de(fous du corps en uni,
&
le de(Cus en rond
&
vollt'::, Chacun de ces vers a douLe
[e~mcns ,
Cws
compte, la téle; le dernier, qui en le plus grand, a une
copleur grifc violene, qui vienl de cello de> elcrérnen$
qu'il