1000000039

princip.1 de fes ou"':1g.!s \atios en Ion rceüeil des aoonr –

mes

des pfcudonymes,

H a",b.

ilJ_~o.

prm'¡ue

Iditi." ,

qui

cnfuile C::lé réimpnmé plus eompk t

M2lhi3.S D reyer en 1

70S ,

ia-fol.

Rolfinek

(G,urner ) ,

en lalin

Ro/jiHei:ts,

élevé plt

Sehelbamcr fon oncle, fot un médocin de répulmion;

mais cnlIe beaueoop

d'ouvra~es

qu'il a fa;ts ,

doOl

L ippenius ou Mangel ont donné la line, \es feuls qu'on

2chcte encare,

Com

fes

diJ/~rla:iollu

tl"atomiciC ,

ori·

~ergd! ,

16f6

in-4° .

mourul

Jéne en

16~3,

.gé de

,-4

:lOS,

lailIa pluüeurs écrils for la M édecine qui

out

le jaur .

Wower

( J ean)

en .uteur d'un ouvra$e pldn d'cru–

dilion, intilulé

de po!J.mathid traOatio,

a B. lle, lOO,!,

;" -4°.

a .uffi pobhé avee des nores, Pétrone, Apu–

Iée, Sidonius Apollinaris,

iinUlius Felix.

mou–

r UI

gouv:r~eur

de G O\lorp en 1011, agé de

aus; il

fau l le dlnmguer de Jean \Vower, fon parent, ami de

L ipfe, qui mourUl :l Anvers en o63f

Ó9

. ns.

J.)

M BU,

(hifl. "at. botan.)

arhre du Japon, de

gr3ndeur du p.lmier, done les feüilles fnm verte'

10UI~ I'anné~,

les Beurs jallnes fans odeur,

rayées

l'imérieur de bandes

purpurioe~;

la graine <l' un jaune

lirant fUt le gris

velüe ,

lo.. rameaux cendrés . L es

ehevres

les brebis

m.n~ellt

les feüilles avce •

idilé ;

le bois n'en bon qu'a brlller.

Ephemerides natur</!

CIt–

riofor.

du.

l/. amt.

obfer'D. xxxv;. page

li A M E

(Glo~. )

affemblage de quelques mai–

fons Cans églife Di jutifdiélion locate; le

hamea"

dé–

p'end

ces deux égards d'uo village ou d'un bnurg;

1I viem de

~m.lI

"s,

terme dont fe Com fervi les .u·

leurs de la balre latinité,

qui en un diminulif de

ham.

C e mot de

114m,

qui fignifie

mai[OII, h"bitatio,,!

fe Ir0l!

en forme de lermioaiCon daos UD grand nombre de

noms propres géographiques, Cur-tout en Angleterre, 00

l'on voil Buokinghsm, Nottingham·, Grandham

&c.

quoique plufieurs de ces noms apparliennenl aUJourd'

hui

des bourgs ,

des villes ,

des provinces, cela

n'empeche pas que Icur premiere origine n':¡il été un

harnea,,;

de meme en A lIemagne , cette fyllabe en chan–

g~e ordinair~l1lenl

heim,

comme

d.ns

iYIanheim ,

G ermersheim , H ildelheilll,

&c.

quelquefois en

hain .

Ce nom

ham

en reconnoi(hble noo-Ceulemem daos le

m ot franc;:ois

ha11uau,

mais

encore dans plufieurs nóms ,

e OIl\me

Ef!rcharn

vient

d' Oiflrlham

pour

l,¡Teflerhdm,

qui veut dtre

á~m~ure

occidentale;

nom

qUl

marque la

limation de ce

líen,

qui en .u eouchant de I'embou·

chure de l'O rne : en N ormandie

chsnge' commnné–

mem la Cyllabe

IJam

hom,

eomme le Hommct, R o–

behomme, !3relhomme; ces deux deroiers s'appellcnr en

bltn

R qberti villa, E rilonica villa;

tel !ieu 'lui l)'étoit

qu'uo limpie

hameau,

ell deveou bnurg ou ville, fans

changer de nom . Enfin, 10us les grands empires om

e ommencé par des

harnea"x,

les puilTances maritt–

mes par des barques de pecheu\-s.

(D .

']. )

H AME<;ON , f. m.

( Péch•. ) voyez

HA IN.

H AME90N, (

7'."r.)

e'en I'inflrumem plus eonnu

fous le nom

d'ari/for ,

H \ M hPES, f

(Manu¡')

toile de CotOn blan–

che , e1atre

& .

fine, de fei>.e aunes de long , nlr trois

quarts

cinq lixiemes de large. Elle viem de Ben!:"le .

• H A M E 'E ,

(Art. m ilit.)

c'en le manche du

griffon ou de I'écouvillon .

V oyez

HAMPE .

H :\ME IDE,

Urm.

((,

Elafin ,

fafce de trois

pieces 1.Iairées qui ne lonchem poim les bords de I'eau .

H ameid",

Celon le· pere Menétrier, fom trois cl¡antiers

ou longues pieces de bois en forme de falces alaifées

q ui

melte!)t fous les tonneaux qu'on nomme

hames

aux pays-bas; ce qui a fait le mot

d'bameides;

une fa–

mille' de F landres qui porte ces chantieo s ponr armoiries

par allulion ií fon oom, en ayam imroduit I'ufage dans

le BlaCon .

ajoute

qu'hameidc

ell encore nne barriere

dan. ce pays-Ia , 00 les maifons de bois traverCées Ce

nomment

h.ames,

d"ou vient le llom de

bameau,

a cau–

fe des maifons de

villa~e

baties de eeue ·forte,

des

barrieres 'dout les chemms fom fcrmés en Suilfe

A lfemagpe fur les avenues de ces hameaux . D'autres

eroyent

qu'h" m.ide

vicm de la maiCon de ce nom en

Anglcter,e , Gui porte pour armes une étoffe découpée

en trois pieces en forme de fuCce, qui en · I.iffe voir une

autre par fes ouverlures , qui en d'une couleur diff¿–

rente

milI! au-delfous. O n dit aoffi

hamade

ha–

",aiá~.

D iéliol1l1.'

Trl 1Joltx .

H AME L BOU RG,

H ame/hllrgum, ( Glol. )

ville

Allemagne

Franconie, dans I'élat de I abbé de

Fulde, folr la Saale,

dix lieües S. E. de Fulde,

trois m illes de Schweinfurt; on

fuit la R eligion ca–

tholique .

L ONg •

•

7. 36.

IR/.

fO.

10.

H_"~,"r

en la palrie de I n F robcn . qui

'<!u–

blil

B:tlle, 00

fe lit une

~rand.

r p'uclIion , r

U1é

I'eu itude de

é.llt

n. ou

pJrk–

roos

atl m'.1

hIPRI'IEl: R.

( D .

J .)

H i\IE

L ,

(Glo. r.)

"ille fol

:\ lIem3gne ,

d.ns

la balre- at e

duché de Cak m rg , :.

r.:nr':mi,·

da duché de i3runfwick, dom elle el1 une

a:,:réablemcnt tituée au c,>ntluem de

rh"crc de I-J..-

mel avec le

Werer,

ncut 1

eüc ~

d~H:l11U" ~i

feiu

. E . de P3derborn, d;¡ · Ccpt . O . de

ullf,,'ieh .

En I

) 'p

ellé embralfa la coati:tlloll d' Au b

"trI: ;

c'ell

un mllle de c..

ville que font leS caux de Pyrmon .

L"'g.

27. 10.

laeit.

f1..

13.

(D.

J. )

HAMER,

Hammar,a, (Glo . )

pelile\·i1le de Or–

wege,

gou\'ernemeot· d'

erhus . E lle élo·t

autr~fois é pifcopale fOlls la métropole de Dronthollll, mli,

ron évéehé a élé uni

celui

d' ·\

0110 ; .:lIe

lieües

E. d' n(Jo .

L o"g .

2 •

40.

I.w.

6::>. :;-".

( D. J . )

H .'\NÍILTON,

(GI.~.)

ville de l'Ecorl¡' méridio–

nale, I'une des plus contidérables de 11\ prov inee de

Chvdsdal \ avec litre de duché, palais

parc . Elle

el!

trois

Iieú

s S. O . de Glatcow,

dout~

O d'Edin–

bOllrg , cenl-vingt N . O . de Landres .

Longit.

13·

·U .

I,ui, .

fr.

11.

( D .

']. )

Z-M

E'i' A G A

(Glog. )

yille d' ¡\fr:–

que dans la Barbarie, au roy.ume de FLt,

r<lllnrqu~ble par fes jardins oú I'on n lurrit des vers a

Coie . L oni·

'3.

48.

lat.

33. 36

(D.

;J. )

HAMLE',

111.

(hill. d'Etbiop... )

nnm de I'on –

-¿ienlc lnois

des

Elhlop1cns ;

jours COlnlne tOU$

les

:tUteCS;

car ltanné...

éliopiennc

ln~nlC'

que IJé_

gyplienne, comporée de doute mois , qui to nt

' 60

jon

s ,

de cinq épngolllenes on jonrs, qui S"Joílt

apre

les douze mois dans les années communes ,

dan. les

bitTcxtilles,

011

en ajOllle fix; le muis

ham!1

commen–

ce le

de JUiLl.

(D . J .)

HAMM,

(Glog.)

ville d'Allemagne en W eflpha–

lie, dans le

comt~ '

de la M arck, li¡r la L jppe.

HAMMA, (

tof. )

rivicre d'Allemagne; elle a fa

Couree ·dans

balfe-Saxe, au ducl\l! de L uncbourg,

dnos les bruyeres de ,>oltow; e\le arroCe une li(icre de

la principaulé de F erdeo , quelques endroils dll

duch~

Bremen ;

apres

s'e"e

grome de divers ruilfeaux,

elle fe

~écharl\e

dans le W"/er .

(D.

J.)

liAMMA,

( Glog. )

yille d' Afoique au royaume de

T unis en Barbarie .

HAMME LBOU RG ,

(Glag.)

ville d'Allemagne

Fran~onie

dépelldame de la prinl:ipaUlé de Fulde,

fur la Sala , .

H i\ MM ITE,

(Hifl.

nat.)

pierrc,

v'yez

AMMIT!:

011

AMMONJTE.

HAMMON:

(Belles- L ettrts . )

furnom donné

Jupi!er, qui. fous ce titre élo't princ;ipalemcnt

.a~oré

Lyble , ou II :1\'oit

temple magmtJque . y Olp ce que

Quime·Curce·!lu

livre '1ltlJtrieme

fOil

hijlo,re,

nOU$

apprend de

figure fOlls laquelle Jupiter y

~Ioit

re'p r."–

Centé. " L e dieu qu'on adore dans ce temple, dll-II,

" en fa;t d'émeraudes ·

d'autres pierr.s pré<ieufcs;

.. lIepuis la

I~le

juCqu'au nombril,

reff<mble

un bé–

" lier. Quand on Veut le cnnCul ler ,

ell porté par

" quatre-vin¡¡t prélres dans une erpece de gondot. d'or ,

" d'oo pendenl de< co.lpes d'argent; i! ell !uivi d'un

" gralld nombre de femmes

de filies qUI chament

" aes hvmnes en Iangue du

p.ys;

le dleu porté par

" fes prerres les condqi¡ en leur marquam par quelqucs

mouvemens oa

vcue

nl1cr ".

Seraban

d,[ <¡u'i'1 ren–

doit ainti (es réponC<s par des li/(nes, c'ell-i-tlire Dar

'luelques muuvemens que les

pr~tres

faifoi"m faire

C:1

flatue ; mais ces prétres expliquoient auffi

verb~lemellt

la voloneé du dieu, eomme

arriva 10rCqu'Alcxandrc

alla lui-meme le eonCulter . " e ar ce prillce 'élant avan–

" cé dans le lemple, dit fon hifloroen, le plus ancie'l

" des facrificateurs I'appella

Con

51s, en J'.alTo.rant que

" Jupitcr fon pere loi donnoil ce n" m,

qu'il lui pro–

" meltoit I'empire du monde". C'éloir bien de quoi

Balter la vaoité

I'.mbition de ce eon·quérant; malS il

penfa galer toul le mynere par une c'tourderie ; car ou–

bliant lout-ií-coup Ca

divin~

origine,

s'avifa ae deman–

der

I'oracle, li les meurtriers de ron pere

voient élé

punis; le

pr~lre

tira

habilem<ne de cet embarras.

Ces

facrificateurs avoient été pour lors corrompus par

les

largeffes d'

le~andre

pour ajnfler Icurs réponres

Ct!S

delirs; mais i1s avoient témoigné plus d'il1légrité dans

une autre occ3lion ou i1s éloiem venos fe pl3indrc

Sparte comre L yfandre, qui

force de pré!ens avoit

voulu tirer d'eu! des réponfes nvorables al! dcffein qu'il

m~ditoit

de chaoger I'ordee de la fucceffion royale;

Can.