1000000039

•

32.0

HYL

n~e

m~.ne ~t~t.

Too.

e.:<

inntumeos

ot done fuo–

n~,

00 doit preodre gsrde qu'i1s oe ¡enem dans I'cr–

reur.

M uffeh.

EjJd;

ti,

Ph)/i¡. ( U )

H VGROlolETRE,

(1I1Id.)

les différens inRrumens

pro–

• meCueer les dcgt<!s de "humi ilé de I'm, plus 00

m' .ins eonrodérables, foOl employés fort oolemem

les méJecill$, qoi 001 le téle aoOi looable, que laba–

rieal, de foire des eeeherches fur les induences de cet

élemcnl

de lout cc qui y o rappon, • l'6gard de

)'éeooomie :mimal.,

de reeueilhe des obf.r.atioo,

fue les maladies qoi rey,nent dlns les diffé,eoles flifons

de I'année, felon la différellte lempérat1lre; parcc qu

' 01

des eonféquences

trcs-im~""ntes

tice, des ehsngc–

mens qoi fe fom dans I'almorphere, eu tan! qu'ils peu–

vel\[ bC3oeoup eontribuer • ét1lblir des caufes mo,bi6·

ques , ou

faice v.rief les fympt6mC!,

termiDaifoll

des mnladies. qui 001 d'aUlres principes .

C'eR

cene eonfiMranoo qu'Hofman, daos' foo

Hygicoe

(.ptr.

to".. l .

H~.

JI.

'''p,

;ij.)

rceommando

fOrl

bon ufoge des

hyp-om'Ir'J,

eomme celul des thee–

mom~tres.

des

barom~tres ,

pour

ager des différcos dé–

:lrés de chlleor

del,fanteur e l'atmoCphere : paree

<¡u'¡¡ y • un trcs-gron aVluroge' retirer de< obfen'l–

nons météorologiques.

UDI

pour f.rvir

déterminer l.

nature des mol.dies quj domineot plus daos uoe Caifan,

doos un pays, que dans d's"tres; que pour lequlrir des

connoilf.llees ,

la faveur

defquelt~

on peOl en pré·

"oir , pour ainr. di«, la fUlOrition conon"eme,

I~chcr

d'en préf.n'.r par les correaifs de l'!tir, ou par le régi–

me .

Poy«.

METEOROLQG IQUE OBSERVATlOS.

L'br

~ro"',Ir.

ell la meme chofe qu: l'hygrofcope.

HYGR.OPHOBlE ,

(1I11d.)

ce terme gree li·

gni6e

"v.rfio"

ti"

l;qll;<I'J;

eo ¡;éoéral

eR cmployd

pour déligner un des priocipauI fymplomes de la

ra.~e

que I'on rail

~Ire

appellée IUOi

hydropbobi,;

paree que

cett~

aver60n eU plus particulierement marquéc

I'¿–

Rard de I'eau, ce

~u'eIprime

ce mor;

'f/oyn

RAGE,

HVD RONIOB1E.

HYGROSCOPE,

(Ph:t!)

en un mol que

('on emploic

commun~ment

dans le

m~one

fens qu'by–

t.ro

",ctr<.

Poy"'-

HYGR O~IETRE .

Ce mor

<11

eompof~

.>ru'

.,WJjt/ill,

".'71.,

vidtD,

fp~l1o ,

je vois,

je confidere .

Vlol6us

n~nnmoins

fuif3nt atleOlion

l'élymologie

de ce mot, Oler quelque différenee enlte

l'bygrof<op.

)'hYllroonerre. Le premicr, rU'ylnt lui, ne rerl qu'. mon–

lTer les alteranoos de l',ir par topport

I'humidilé

& •

la réchcrclro , .u lieu que l'óygromelre rert

les meCu·

rer . L'¡'

:p.ro

¡'opc, lelon lui,

done un inllcumem beau–

coup mOlns eud que I'hy¡(rometre . Cependam oq paur–

roit dire que l'hygromelre ne mefure r ropremcol ks al–

lérations de I':¡ir, qu'eo indiqoaut ces allérations, c'eR·

a-dire, eu les IT)nntraOl,

en ce fens I'bygromctre

l'Irur.(c.',

ront

meme chofe.

(O)

HYLEG •• HYLECH, ,"",•

• 'Ajlro¡ogi<,

par le–

qllel 00 dillitlgue chel les Arabt.-s la plancte ou le poin¡

du ci

qui domine au Ploment de la na'Oince d' uo hom–

tm:\

qui iollue fur toute

"ic.

Poy.~

t-fATIV'TÉ.

CA,

(Glog.

___. )

llc -u martis de Grece

d~QS

la Ph cid",

('orient méridional du lae Copais,

au ud

rommuni'lue

psr

une coupure . Wbéler le de!–

crit eu fument

<fans

D \'''yoge; il dit qu'it

puoir

pss

que

lo.r:~e,

qu'n s plus

dcul: licues de

tra–

"erre

<¡u' n l' ppelte :mJourd'bnj le

tic

'Lh/bU,

~,~ . (D.J. )

HfI.LIS,

GtIo~.-.)

prefqu'kle qu'oo 2ppdle &DOi

tD.>U

D:OlMd~,

Clpitalc:

b. .

Libamie

f\J~

mer

Adri>oqu~.

N'tger

dit

que: c'dl

pré~

C'9" Cilfa.

( D .

J.L

HYLOBlE

,If¡Mil,

HZ,/I.

P IñI.[.)

foot

ck$

p.\ilopI!or..s

indi<m

qui

le<

Gmes

douoc2mt

lOe

D!>ItI,

f<Iltt

qu'ls

lUiÍ1oicol

cbm

les

furm

poar

~Q'er

plos

cmnm~m_:i

COlltrmpbtion de:

na–

ce,

mot

CO-mi'l>ll;

ele _

...m~

•

.!le

qai

bJIÚ-

fie

-m

1nJis.

f-m

.!le

c-.

Y-:¡a.

BltAc.J.a–

li<ES

G1'3otSQ

qI'BJ$TE •

HYL.QPATHIA ' ISME,

In.

en;;-

J¿l.

P/,y:

~.)

eif¡¡>OCe

C!I

~mr;

'~.

q.;

CCIllIIi -

<iffiiI<e

l<JlII!

(Ji!

.'iI

cb:M

I''''';''cs o' ..,..,

l!iIIIlItiictt ...

qml'il!&

(Ir

"":oae_

Lts

~ _.t:~!

:855

a..,.,

cmn:

.;:ai

<lIIII!

tníri

DI1?v~.

ar:n

<&:

lb¡

lIIlIIÓc!e

!lime

&!rlim:I _

.La

<qlI"]

:a~

m]¡,

c'dI

<Ijf.IIl:

C<I!IIt,.¡p

~<d

.....

.oe

D~ ~

rmr.-oimxt

i'!IW'cáfl!t¡1lIm

""1llCI!tJI$~

lT.lii.fm!

&sJ!lbáll>–

:mJmIl$;

lIian

<;;=

•

lli:.llCrwmiicm

iñar–

mIOS«

'llmiflt!&; ·rnnn"

IIIS

\le

itna.i!

«:'&ciir

lDnt

~~ cif'.aibSfme~~

fii1rm

(If~

lfor..,

HYL

mes ;

l'OD peat nomm<r I uns IIb&

.1;:¡miR~ ,

3Utre$

H)/.pJtbi,..

ur les dillin uer. ntlote: li't Tila·

lés soteor de

cene

oplnron;

m.h

de bons

i\""'US

repré·

fenle:m les (enrimens de Th lés d'uue

.Ulte

mllliere ,

o!c

dircnt fOrmettemenl qu'il sdmetto't

u n~

di init.! 'lui ..0'1

tiré IOUICS eh fos

la m.liere HuiJe,

qu'i1

ero

oit

l'ame immonetle:.

Cemble que l'on n'. rapporté

di–

nrCement le CenUmenl de Thalc!s, que: parCC qu'il n'.–

voit l.ilré lueuns écriu;

cae

Anuimandre e cclui qui

• le premi", e!ctil fur les m.tieres de: philoroph'C . 'e:R

plul61

eelui-ci qo'i

Thal~,

qu'jt I

'o.Ut

imputer l'ori–

gioe de 1"lhélGne des

Ir¡/t¡plllh;cou.

difoil que

ma–

liere premiere éroil je lIe flli qaoi d'in6ni , qui recevoit

tOotes forres de rmes

de qUttitis, fans reconno!.re

aucun autre principe qoi la gourven!t .

fUI fU;"i de:

qo.nrilé d'31bées, enlr'AUlres d'HYDpon furllommé

l'~thée, jufqu'. ce que Ana13gore arrtu ce: 10rlent

d:3th~i(me dlns la r.ae 'ionique, e:n éllbhlr,¡nt une imelhgence

pour príncipe: de l'unil'ers .

Pour

Thal~s

it en ¡uRifie! pu Cíeeron,

Dlo~ene Ll~r

ce, Clément d'Ale13odrie. AriO",e

loi-m~me,

diOS

(i>tl

Ir.il

de l'ame, dit que T halés a erU que: 10ut éloir

plein de dleuI .

11 Y

a done lome ap¡>arence qu'il

n'.

parlé de Th31és eorume du chef des I lhies

h)/.patbi••

que puce

q~e

(es

dirciples l'étnicnt en eff.l,

qu'it

ju~é

f~ntlment

de ce phitorophe par ceUI de res fe–

aareurs . C'el!

qui cn fouvem «tri..é

qui I full

tOrl

m~m')ire

des fondateurs

des

Ceaes qui onl

eu de meilteurs fentimens que teors difcipks . On devoit

penrer que les philoCophas ne fe

g~noient

piS

forl,

qu'ils ne

rech~rchaffe:1lI

qu'il . oe: foutinlrent tUlle: choCe

que les fon¡imens de leurs mlteres,

qu'ol

y:lJ

utoienl

[ouvenl du leur, foit que cela Ce nt par

V010

d'cxpllcotion

ou de Gonféquenee, ou mtme de nouvelle& de!couver–

tes qu'its

m~loiem

.\'ee ltS opioions de Icor pre!déeef–

feun. On a fuir elleore plm de 10.1 auX rcaes ancie:n·

nes , eo .¡tribulm

touS eCUI d'une Ceae les femirllens

de chlcun des particuliers qui f.¡roient profeOion de II

fuivre: . Q ui peut nc!anmoins douter que, dans une feéle

un peu nombreuCe,

ne p\it

avoir g.ande diverfite!

de temimcns, qoand méme on fuppoferoit que

toUS

les

membres

s'~ceordoient

l'ég1lrd des príncipes

gén~raUI?

O " en ure de méme , pour le dlre en paCran!, dans des

recncrchos de plus grande cooréquence qoe celle des

opinion dus philoCophes payens ; par exe:mple:, quand nn

trouye dsns <leuI ou Irois mbbllls

eab~tlnes

quelque:

propofiliom que I'on ero't avoir

im6r~t

de fOUlenir ,

on dir, en termes

g~nérauI,

que e'en·a l',"eie""e c.–

bale

méme les [emimens de IOute l'églire ¡udarque,

qui n'en avoit 'pparemmem

jam.is

oui parler.

Qu.nd

deuI ou rro;s pe,.s 001 d'l quelqo<: chofe, on routienl

hardimem que e'ell-l:\ ropioion de rom leur fiecJe, du–

quel 11 ne nous relle

peut·~tre

que ces Ceuls écrivains -l a,

do!}t on De lait poim fi les ouvrages

re~ureot

I'.pplaud/r–

C~mcol

de lout le monde, ou s'ils fureot for! connus,

Ceroit

fouh.iter qu'on porl1t moins affi rmllivemonl,

fln–

tOol des poiuts partoeuliers

de.. cooféquenccs 610ignées\

qu'on ne les attribul! dircaemcm qU'3 ceux datu

les écrits defquels on les

I~ouve .

J'avouu que I'hilloire

des femimens de l'.miquité n'cn parofrroil pas r. eom–

plene,

~o'il

f.udroir palier e:o doutaot , beaueoup plus

louvtnt qu

De le f"ir eommunémeot; mals

conduirant auuemeOl, on s'elPoCe

dangor de pre:n–

dre des eoo¡eélures faulros

incena/nes pour des

\'c!–

rilés rceoooues

indubilables . L e commun des ge:ns

de lenres ne s'aceommode pas des .lpreOions fúlpen–

dues , Don plus que le: peu?le. lis . iment les affiema–

lions géoe!ralcs

univerCel\es,

le tOIl hardi d'nn do–

Beor fait dans leur efprit le

me effel

qu~

I'évidenee:.

lteocoons de cette disreOion .

ell ceruin que le vul–

gaire s [Qujours été un lar! mauvais Juge de ces mi–

eres,

qu'it a eondamné eomme alhées des geos qui

croyoi<Dt

nO"

divinité, fculemeO! (Y.Iree qu'ils

n'~pprou·

"oían

p1S

ccreaines opioions ou quelques fuperRillou,

V>tolo¡;ie popula"e. Par elemple, quoique Ana–

%'Jg"''''

de C lnomene fat opres Thal6s le premier de

la OO. iooiqtlc, qui re:eollnílt, pour prineipe de l'uni–

,.~,

efpril infini " oeoornoills 00 le uaitoit cOlOmu–

Démmr

d'2Ihe!c, parcc qu'il diCoil que: le foleil n'éloit.

qa'

" 0)<:

de reu,

In luoe qu'une terre:, c'eR-a–

diR:,

¡mroe

c¡u'il oioit qu'il y eat des intetligeoees al–

cm aOres,

par cooCéqueO! que ce fulrent

-di~ .

accuf. de

meme

Socrate d'alhéirme,

"lI"'!'Ó9,U' "'

Ifem:r.epril,

dan le prod:s qu'oo lui 61, de

!fIRi1II.....

.BIIIJ.c:

dilo'fe COnlre lui, fioon qo'il croyolt que

11m

dimn:

'9S"cm

",ioroit

Athcoes n'étoiem

pas

de ve!–

!l..o~ ~

ocn pour cela eocore que l'oo Iroitoil

:aibe",

llIli

<d!Jl; -

pendant les premie" fieeleí, paree

qu'lls