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;

DU .U

-remédier qlr'en répelanr

I~opération.

V ous ne nous,

itl- ,

di

,l.uo

·¿,

me

diru-t-on p,Ul1H!tre, qu'une cur,e

p.ll

ager~:

jc

réponos qu' il .,,'

Y,

"'1

u

poim

d:

autre ,

&

q\\' a'pres

' Iout <;we

mélh9de',~ur&tive

a l' aValltagé. d'

"t~c

lacI!e

&

cen u:ne .

.

11

efl vrai qu'on voil fréqtlqn ment dans

¡es

grandés

vi lks paroitre

9~s, t~~rla t<lns

,qui le

val1leo~

d'empo¡'ter

,Ioore) ron,es ,.de

,41t"Jlo",

fa ns,

rero~ r ;

m.a.s 'Je lal

qu~

ce [ont de

f~uiles prOmel(c~

dqnt

bi~n des",g~p>

(ol,¡t

fu ccell. vcmeot

I~s_

c¡j(}pes. ll'expérience du parí" t,e cor–

rige point les homm

s "

&

cela fera' td¡ours .

/lrncl,

d.

/rl.

le C hevllliu

D-I!

J

A U

e o

U R T,

D

U

R Y-A G

R

A,

(Comm,)

toi-\c

d~

.c<;>ton rayéc,

blcoc,

&

!¡Ianche. , .qoi vien l

d.es

1ndes

J

lOri<lnra lcs:

D

U

S C

H

1\

L,

f.

m . (

H iJl, mo{1

)

c'd1 une f.queur

dont 0\1 fail. urage en Per[e; elle

ref(~ tnb'ie"a

du Cyr<;p,

·donr ell e a ' llI con liflance; -fe-fail avee

¡l11

mo at de Vln,

que l' on ·faie .bouillir .JuJq l1 'a ce qu' il dev iennc épais:

qud~ l1efoi s

on I'évapore JuCqu'iI

li~cl¡é,

afin dI; pou–

voir le \tranfporlec. Ql13qd';uFl

\le~ ~n.

raire

u[a~e ,

on–

le fail diOoudre · d311S d'<;·

j'

cau mélée avec un' peu de

yiQaigre ;

c~

qui, rn, dil-OO, tres - prop5 c 11

appai.ler la

foif, [ur-tout da1is un pays ou l' u[agc du v il! ell

d~fendo .

V oyez ,¿iélionn. de H ubmr..

D

U

S 1 E N S,

r.

m. pI.

(Div Í!/atio,,)

tlOm que les

'G aulois doonoieo e

a

certains . <lém(lllS que

le '

L3tins

,Ilommoiem

iJJeubi

00

Iam,;,

&

que les Dt!monogra–

phes appellént communément

inclIbes. VoyC;¡;

j 'N G U-

DES .

I

"

'. .

.

. Sain l A ug,unj¡¡ .,

dan~

fo!l ,ouvrage

de la

C~Ii'de

Dieu,

.Ii·v. XV. eh .

x 'fij,

f.lTttre qu'

il

Y

avoit

d~

,c.cs

[unes'

d'eCpri¡s qui preflaol la fi gure d"hommes, fe .endoient

fort importuns aux femmes , domo.ils a)JQloiem quelque–

fóis., N ous enminerons fous le

m/Jt

1

N

~

u

/l

E,

ce qu'

iI

f.111t penfer de leur ex i(lence . .

(G).

D

U

S S

¡;

L

D

Q

R

f,

(.GJog .. mod. ,)

v,He du cercle

de

W

c(lphnlie, capieal\: du duché de );lerg e11 Allem'l–

gQe; elle efl [ur un, ,ouilJe!1u prc's du Rhin.

L o"g. 24..

2.8. lal,

fI.

l2., ;

.'

.

D

U

S ,L I

N G,E.,

D

U

S

LI

N

G E.N,

(Géog. mod.)

ville de la S oijabe e11 A Ilemagne; elle e(l fur le Da-

nube .

Lo"g"

,2.6,

27.

1('1 .

48. 8.

-

. D

U

T G E N ,

1:

in.

(Comm.)

petite monnoie cou–

rante en D an emark, qui vall'j: cmre quatre qu cinq

Cous

de notre argenl .,

IV,

ti

V 'E

T,

r.

m . .;'en la. plu me menue qni eouvre

lout le corps dé I'oifeau. C' ell le

gcrf~u!

qui. fournit

le tin du"et qu'on nomme

édredon;.

il

"el1 lre1- leger

&

tres-chaud: on le lire du cou, du vemre,

&

de de[-

f ou, les aile! . .

.

,

.

Celui d'au-t,rucne , qu'on

~ ppelle

autreOient

laíne-ploc

ou

poil d' llutYuche,

&

p3r <orruption

lah,. d' AMri–

che,

di de deux lorres ;yone gu'on nomme fimplem"ll t

fi"

d'atJt,ltch¡,

&

-qui len dans la fabriq ue des cha:–

peaux commulls; l'aurre :rppcJlée

groI d'"ulruc,he,

dont

dn fait des liIicres des drnps fins, bluocs, qu' on delli–

.116

a

elre teint! en noir.

Le~

PIu,lllnGiers nommellt aum

dtlvel,

les petites

. plumes , eelles, de de llous ,

le

rebur d,es plumes de I'au–

Huehe qu'ils friCenr avec le coutean,

&

qu' ils cmplo–

yen l

a

garn ir des 'bonnqs, 11 faire des p31atines

&

an–

.tres o uvrngos de cerre nature .

D

U

V E T E

U

X, f, m . (

F"ueo"".)

Ce dit des oi–

feaus qui om beaucoup de pl ume s molles

&

délic31es

proehe 13 chair. Ce mOl vient de

d"ve~ ;

&

l' on .dit,

cee vi!eall cft bien duvrte"x.

.

, D

U U M

V 1 R, f. m. (

Ht'ft. an<.

)

no m général

que les andens Rpmains donnoienr aux magiijrats, aUK

con)miíJaires ,

&

aux officiers, quand

íl

y en avoit deux

pour la

m~me

fonétion ; de Corte qu'ils aVOlent autane

de

iltt1lmvirr

qu'it ·y avoit de comm iffions dans leur

gouvernemeht, remplies

~ar

deux officiers. •

.' .

11 Y

avojt des

drmmvt'TJ

avec in[peétion fur la con–

(lrué[¡on , la réparaeion,

&

la confécraeion des temples

&

des autels.; des

dll,m/vi" capital/X

qui connoi,lfoient

des crimes ,

&

qui condamnoieur a mOr!; des

dtmm–

'lJ,IrI

de la

m~rine

ou des vailfeaux,

&e.

mais

I~s

plus

c;mfidérables des

du'ttmvirs,

&

ceUI que 'r ou appelloit

310n

par excellenee é loient les

.

D ,!umvirI

des

ch~[es

[acrées ,

dltumvi~i

faerorum

,

furent cr,éés pay Tarquin pour faire' ItS facritices ,

&

pour

In garde , de s hvres des Sibyiles.

00

les ehoililfoit par.m i

la

~oblelfe

&

les patrieiens: leur offiee étoit

i<

vie; ils

~IOJent

exempts du [erviee militaire,

&

des charges

ImpoCées aux autres elloyen

S : 011

ne pOl1 voit fans cu x'

cohCu

l.te,

r les

o~acles

des , Sibylles ..

Vo)'e::.

SI

BY

L LE.

Cerre commJiIlon [ublJfla Ju[qu'en I'anllée de R ome

\

DYD-

;5!lS ;

alors, " la

rcqu~¡e,

de

~.<

L icinius,

&

L .

S cx–

tius les tribulls dil peuple

furen~

changés en

dec~m:virs'

c'cfl-~-dire'

qu'au liGU de deux perConnes) iI 'lui '

r on'

con fioi l l'adm ini(lra¡iSJIJ du bien publico on en, oré,¡

dix, m oirié parriciens ffi<'1:tié plebeiens.

Vo)'e:<-

D

é-

eE MV tR S .

.

,

Sylb

I~s UU~lenta

de cinq " ce qui les. fit

.appell~(

,

.

'Ilúlldccimvirs .

Leurs eorps s ",ccrue

conh dér~bleme.)t

..

d,n's la liJile .

&

monta Ju (qu,',a 60; néanm010s eeu ,

qui le

comp~[oicut

cOIl (;'rvereo t 10uJours le nom de

'liPi/1d~gjmvJr.1 .

Voyez

Q

u

1

~

}J,f:

e II'! VI

R .

:

:

lis

furenr

en ~iercmeJ1t

abol.s Cqus , I empcreur Thc!o-

doCe . avec toutos les aUHes Ct

1

pcrllitions payem11!s.

.

L;s

capiMlc1

. d,,"m~'iTi.'

dl,:,m."iri .p":due/lio,,is.,

duulllvir>

Cilpll~U" ,

duul)1vfrs <¡UI connoJIColeQt des er!–

~es

de le[e-majcflé, n'ér0icnl pas des magi(lrals ordi–

naires : on ne les créoit que dans cerraines circonflao –

ces. ·1:es. ¡:.retnicrs de ",'erre 'eCpee. rurcnl noinmé s–

pour juger Horace, qui fun¿cue 11 [es (Ieres, apr.i:s a.,

\'oir vainct1 les

CiJ ri

~c.es

&

lué

¡;~

Cceur.

,

JI

Y

avoit au·ffi

d.es

¿:Imwvirs

dans les colonies Ro–

maines , qui avoient dans leu,s Gt'llonies le' tneme rang

' &

la meme autoricé que les (wnfuls

J

Romc. On les

prenoil du corps des décurions: ils poi loienr la pelEl"-

xte ou' la robe bordé e de pourpre .

·

.

.

L'hi(h'li~e

parle encore de duumvirs münicipaux

dltum–

vir;

rmmi<ip"ler,

que Vigcnece compare

~ux

fúhérifs

d' A ngleterre, ou pliltllt aux maices de ville . Ces

dl/'

t<>I1'lJirs

Ce faifeient précécler par deu! huiffiers porlant

des ' b3guettes,

&

q?elques - uns

me~7

s' arrogereru. le

dr0i! ':!"'alvoir duu x 1'I(:t&rs 'armés de

t3lfeeau~

. Leur au–

tor·ieé ne <!I'ór0it que cinq ans.

Voye"

le

diéliolJnair",·d.

T r/'lJlJJbX.

&

ChamberJ. (G)

D ,"(J

V

M

V

J

R A T,

f.

m . .(

HiJI. afie.)

la mas i–

il rature; la charge ou_la dignité de duumvir.

Vo)'.:t

D o·u

M

(r

t

R .

,

Le

{i1tum'lJirat

fabfifl'a ju[qu'en I'année de R ome

388,

qu'il', fo~

changé en decemvirat.

'Voyez

DECE

M

V

1 R .

V o:Lez' día-, de Trlv.

&

ChamberI .

(e;;)

D W 1 N A (

t.

A ),

Géog.

modl

riviere de Ruffi'e :

die re forme des <:iux de la 8uchina

&

de l' Fuga a

O uflioog',

I'i:

fe' pera dans, la mer bla.lche.

C'ef~

aulfi

une ¡novrMe, dotlt Archangd . efl la: capita-le .' Elle

elt

bornée' au fiptcmrion par la mer Blaoche

&

la

J

ugo–

,de

,'-3

i'o';~n t

par ,la Zirane, a.u, Illidi par

l'

Oufl it9ug ,

&

a

I'occident par les pro" inces d'e. Vaga

&.

d'Op.ega .

D '.u'YT;

C,

m.

( Comi-Il<rú)

re prononce

der<tt¿,

monno:;' dee t uivre, d'u[age en H.011ande

&

dans

fe

re–

(Je ges

Pays-~as;

elle vaut

env~fon, u~

¡

¡a.rd

'

a~gent

de

Franc€ : '

,

,

D Y

'(

D Y C

K -

G R A V E S,

(H;ft. mod.)

c'efl le nom

¡¡O'OO

dO'nne, ell H olbÍrle,

¡¡ .

ceux gui f0nt chargés

du Coin

de~

digues & écl uCcs d" un cerrain di(Jri&, &

qui fOllt

obligé~ ~

en fafre la vilite ell certains tems

marqués .

• ,D Y DI M

E,

r.

fIl.

(G¡og. modo

.&

Divination )

]jeu célebre

d~ns

I'ile de

M ilet,

p'ar un orade d' A–

pollon, que L h:inius . conCuha, dit-on, fur le Cucces de

la gllerre qu'il Fe pCClpÓf(lil de recommencer conere Con–

Hant-in ,.

&

q~i

lui répondit en deux vers d' H o m<re :

lf1alh",retlx

\

ne t"al/l/qTlé point

J

de james gens, toi

'I,/e leI foreu o"e

abar.do"

,,! ,

&

'I,ti

es

"((tibié

fO¡1I

le j'aix des a""les.

00

ajo!"e <jue l'empereur Julicn,

qui n'étoi.l pas \1n

pe¡ i~

génic ,

lit-.

ce qu'il put pOllr re–

m enee cet oruele en honQeur,

&

qu' il prit lui - meme

le tilte de prophc re de rorad e de

D)'dime

.

lV1ais il ne

faut pas dOllner dans ces COntes d'úraclcs . Q uellc que

(oir !'autorité qui les appuie, elle ne fuppl ée pmais en–

tierement

il

la vraiíJenlblance qui leur manque par Ieur

natare . 11 faul s' en tenir fermcmellt

il

I'expériencé, <¡ni

leur

en

col/tmire dix m ille fois, pour ' une feul e Oll

el–

les ne les autoriCe ni ' ne les comredi t . 1I falle bien k

gardcr [m-tout . de oonfondre ces faits, aV eC les f.lirs

n~lurels

&

hiflotiques . Ceux-ci acquierent dé plus en

plus da la cen'tu de

avec.le

tems; les autres en perdc.'H

toOjours de plus en plus. Le témoignage de b trad i–

lion

&

de l'hi(loirc r.n par rappmt au"

ins

&

aux an -

. tres, comme I'e lémoignall.e d',un homme 'que nous. Cur'

prendrions en menfonge Illt

UII

certain genre de laits

tolleeS les fois que ,¡¡OUS !é:riO!IS

il

porr6e de les vér¡fier'

&

qui nous -diro;e cOllflamrn'ellt 13 vérité .Cur \111

3utr~

g.enre de faies. N'y

~uro¡ l-il.

pas beaueoup d' apparence

que cct homme aurolt ·m entl , meme dans les oecaliolls

o u

,