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CRA

T..A

IJ

L

Z

ptJllr /a charge deJo m;1!u,

1(;Valle

M.

le

»14-

n/chal

D E

V.A V 8 .A

N,

danr laf{,,,l/e

0>1

trouve 1"

mefltYe

deJ

chambres

011-

fourneaux

des

mineJ

dlter–

minie relalivement

a

/a

'luantitl

de

pOlldre

'1,,'

el/el

doivent contenir,

&

J

la haute/Ir des terres dte. rem–

part

all-d•

./JuJ de<

chambees .

HAUT&UR

PP.,O P OND&U

J\

M E.SUP.,I.

~U A. NTITB·

des remparts

d~s

gaJcrie.s

de" ch:uhbres

e pouJrc

al! ddTus

JuJqu'

:tUl(

~n

pié,

&

pouees

néceCfaire

de.

chambres .

communs.

;\ In charge

chambres .

des mines .

- ----

-----

- ---

-----

PiEs .

Piés.

Pif,.

P. lltU .

L,'tI,,, .

----- -----

- ----

----

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11

4° 3

36

18

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38

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21

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3 22 9

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4

°

3P2

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3

74

4

3

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78

39

4

6

487~

80

40

4

7

flf

(.Q)

C

H A M B

R E

e y

L 1

ND RE, efl aulfi dans le moe–

lier

UD

enfoncemeoe cylindrique, pour mettre la poudre

de fa charge . L es mortiers qui one de ces fortes de

~hambrl!J

font appel1és

d

J'a~cienne

maniere.

L e mon ier a eoeoee des

chambrel (phérif{uel,

poi–

re,

&

eO

cone tronf{,d. Voyez

M

O R T

I

E R.

( Q)

C

H

A

M

n

RE, Ce die,

en Marlchallerie,

du vuide

qu'on pratique daos une Celle de cheval, d'un bar , ou

d'oo eoliee, en relirant un peu de la bourre, lorfque le

eheval efl bleffé ou foulé en quelque endroie, poue em–

pceh_r que la Celle ne porle de(fus .

C

H

AM

B

R

E

OU

B A

N

e,

(Sali11e) voy ez

B A

N

e .

e

H A M B RE,

(Manltfalltt,.e en t oileJ, coton, [oie ,

&e.) c'efl ainfi que les ouvriers appellene

l'

intervalle

vuide compris entre deu! lames quelconques. du peigne,

dans lequel pa(fe un nombre plus ou moios gralld de

Els de chalne , Celon I'étoffe que I'on eravaille .

Voyez

CHAINE .

• C

H

AM

n

RE,

(Verrerie)

ce fone des ouvereures

particulieres praeiquées dans les murailles du foue & au

oiveau des fiéges, pour la commodieé de manreuvree

fur les po

es

,

quand

iI

leur arrive de ea(fer .

I1 Y

a

au–

lalle de

chambrel

que de pots . Elles one eommullémene

fix pouees de largeur Cur huit pouces de haueeue .

Voy .

La GE;

v oyez altJ1i lel Pla11ch" de Vcrrerie,

&

lertr

explicarion .

L a manreuvre qtii fe faie fur les pots,

a

I'aide des

chambrel,

s'appelle.

chambrer. V oy.

l'

articlc

VEllRERJE.

e

HAM

B

RE : les

Vitrierl

appellent ainti le creuK qui

efl dans -la verge de plomb ou ils placell e le verre , lorf–

qu'ils fone des panneaux de vitre.

V oye<:.

V

E

R

G

E

P A NNEAUX ,

VITRE,

&c.

CHAM~RE,

( Cha./Je

&

OEconomie· r'iflirue)

CRA

53

c'efl ain ti qu' on appelle un piége que

l'

on eend aux

loups & aultes

aoimau~

mal-faifans & capables de réti–

lIee :\ I'homme. 011 prend des pieux

a,a,a, b, b,b

de

dou~e

J

quinze pouces de cieconférence,

Planc.' de

Chaffe;

on. en forme une enccime

R,

ti,

b ,

S,

en tes

enfon~ane

for eemene en eerre,

ii

la ditlance de deux ou

erais

pouces. les uns des aurres; on les. fi lIe les uns aux

autres par quelques perches

p p, pp, pp,

qu'on '

y

atra–

che en·tcavers; Olt laicre

a

cerre cl1ceinte de pieux une

efpace vuide, auquel ou adapte une porte folide

&

ca–

pable de fe fermer d'elle - m en;e en fe mouvant libre–

mene fur fes gonds

S , M , N;.

on eiene ceeee porte en–

e('ouveree par

h;

moyen d.'un batonoel7, au m ilieu du–

quel il y a une corde

V,

qui va. fe rendre dans un an–

neau

X

a!taché

a

I'un des pieux qui

forme~e

le fon d

de la

chambre;

on auache la proie

r,

qui doie fervie

d'appas

ii

I'animal,

~

I'extrémieé de cetre carde. L a rf–

que I'animal efl elltré dans la

<hambre,

iI

ne marrque

pas de. fe jeeeer Cur la peoie, de tiree la corde

a

laquel–

le elle efl a!tachée, & d'emporeer le batoonel au m ilieu

duquel la corde eorrefpond . L e ha tonnee emporté, la

porte fe ferme,

&

I'animal Ce erouve enfermé dan,

b

chambre.

P~ur

quc la porte Ce ferme avec plus di: VI–

ee(fe,

011

a c" t'ltume de la chargce par - derriere d' une

groffc pieere

D .

On voil eneore,

r.~ns

qu'il foie beCoin

d'eo avertir, qll'il faut que les pieux ayent une certaine

hauteue, pour que

l'

animal ne pui(fe s' échapper de la

chambre

en l'eCcaladant . On a ro mpu quc lques p;eux

dans la

figt<re

.fin qu'ou pOe voir I'illtécíeur de la

cham–

bre _

• e H

A M D

RED

U

e

E

R

F,

(Ve"e, ie)

fe dit de I'en–

droit au le eerf Ce repo Ce pendant le jour .

e

H

A

M 8

RE,

Cla ) Géog. modo

petite ville de Savoie

au cornté de Maurienne,

fUf

la riviere d' Are

.

C

H AM BR

E'E ,

r.

f.

fe die, Cue-toue

en langage

Militaire,

de l' affemblée de plufiettrs Coldaes dan, le

m eme tieu,

Coie

poue y vivee, [oit pour y CéJournee .

(/oyez

C

H A M B R E R.

(Q)

f!.

e

H A M

n

R E'E,

fe

dit,

dans les carrieru

d'

ardoi–

fe!,

des difIC!reores profondeurs au'quelles la carriore a

éeé pereéc;

&

I'on appelle

bonne cl?ambTI. ,

colle ou

l'aedoife a la dureeé

&

les autres qualieés convenables

aux uCages qu'on faie de ce folfile .

V~y.

I'arhcle

A

R–

DO 1 SE.,

C H

A

M

B

R E

L LAG E,

r.

m. eeeme utieé dans

quelques coueumes , qui fign ific la meme choCe que

chambe/lage.

{/0:i'Z

C

H A M

RE

L LAG

t:: .

(11)

e

H A M I3 R E R ,

fa ire chambrl. ;

c' en

en terme

Militaire,

loger dans. la meme chambre ou la · meme

baraque, ou canonniere .

(Q)

.

e

H

A

}o.'(

n

RE R,

en termu

~

f/errerie.

l/.

e

HA M–

B R E ,

C

H A M B R E

R

lE,

r.

f. éeoit une jullice atrachée

, I'oilice de chambrier de France,

&

a

la m. iroll de

Bourbon qui poOédoie

cee

offiee: el le donnoie le eilte

de pairie. Cene Julliee

&

l' o ilice de chambrie. furene

fupprimés & réullis

la cotlronne par

Frall~ois

1.

eu

1

S4f,

lo,Cque le eonnétable de Bourbon, qui éroie

grand-chambriec du . R oi ,

foeeie

d~

royaume _

V O)'ez

C HAMB R I E R .

C

H

A

M

n

R

E R

lE, efl un offi ce

d.ns

cereaines égli–

fes collégiales, qui eonli(le :\ avoie Coin des eevenus

communs.

C'efl auffi un oilice clauflral dans quelques mannfle–

res ,

ou

le chambrier a

roin

des revenus, des grelliers,

du laboueage, & des provifions, eam pour la bouche

que pou, le velliaire .

En quelques égliCes, la

chambrerie

efl érigée en eitre

de bénéfice.

II Y

en a meme ou c'efl une dig n)lé .

V.

CHAMARJER

&

eHAMBR J ER.

(11)

C H AM BR 1E R

de France ,

(G R A

so)

Hift. modo

Cee

oilicier po(fédoie auerefoi, une des cillq grandes chJr–

ges de la couronne; & il étoie non-Ceulemenl dillingué

du grand-chambellan, mais

iI

lui éeoie en quelque ma–

niere [upérieur pae I'élendue de [an pouvoie. ·

ti

liglloit

les chartes

&

aulres lettres de conféquence . Pelldunt un

long eems, il précéda le coruléeahle,

&

il lugcoie avec

les 'pairs de F rance : ce qui lui fue accordé pae arret de

l'!ln

1224 .

Le

grand-chambricr

avoit la

rurillt~ndallce

de· la chambre du roi, de Ces habillemens,

&-

de (; s

meubles .

11

a.oie

r.~

jurifdiél ion , la eable de m.rbre

du palais , Paris;

&

il lenoit fa chargo

flef

&

hvm–

mage du roi, comme le reconnut le comre

di

Eu en

1270 ,

a

I'égard du roi Cuine L ouis: L es princes de la

mai[on royale de Bourbon de eems Immémori•• ! yoiellt

pOITédé cetre charge ; cOl11me On le «marque lur It-s il1-

fcrípeiaos de leurs tombeaux aUl: Jacabios de Pa{Ís , &

:l

Ja