1000000034

C O M

.Cpec~

de droguels croiCt!'6, drap6, qui Ce fabriquent

eu Trcuil-barrer , la

h.fi

~igneraye,

él,.

qui doiv oc

voir -; aune de large Cur 40 de long , apprelt!'s; ou

de large Cur

.¡!

de long en loile , au fOtlir du mt!'–

tice.

ch. ioe eo efi de

pontes all moios,

cha–

q ue punt!'e de r6 61s.

V oy,z.

rlg"m. da M"lfll["B.

10m.

/1/.

p"g.

• e

M P E S,

m. (

Hift.

tln,.

)

cCpeee de

ch.uf

–

fUI< des R omains.

Voya,

/'II"id,

H A U S U R E.

e'éloit aum une Cone d'en"!lves de fer

fo~t

lourdes;

on les conf.croit

Salurne, quand

en étoil deliyré.

L es .Cclaves qui en t!'loienr chargts, méme en u a ail–

Iaor

13 culture des lerr.. , s'.ppelloienr

, omp,diti, al–

li$oli.

C·t!'loir encare une maniere de doooer la que–

lbun aUI crimioels, qui confilloit

leur meme les jam–

bes

daos des planches percées de trOUS circul. iees , qu'

0 0

Cerroa avcc des coins.

e o M P ET E

CE, f. f. (

'Jllrifpr.

) efi le droil

qui appanienr

un Juge de pr<t¡dre conooierance d'une

aftaire.

L e principe Ilént!'ral, en m.liere de

compitm« ,

ell

que

aBur [,,{,utllr [orm" rei,

e'ell-a-dire que le dé–

fendeur doi t erre aUigné deyant le juge de

Con

domi–

cile.

a ot!'.nmoins pl ufieurs caufes qu i peuveoc rcndre

un aurre Juge compélent , pour coonolue de I'aflaiee ;

favoir,

l°.

L e privilégc du demandeur ou du défcndeur : par

.,,,emple, fi le Mfendeur ell ecclt!'fiallique,

qu'¡¡ s'a–

giere d'une maliere perfonnelle, il peul demander fon

renvoi dev31ll le Juge d'ég life; de memc li le demao–

deur a deoi! de

commi,.imlls ,

il peut amgoer devant le

juge de fon priYilége; ou

e'ell le défendeur qu i

droi!, il peOl demaodee fon renvoi .

2.0.

L 'allribu!ion géné"rale qui ell faile

un juge de

eerlaines ma!ieres, le rend feul compé"reor pour en eon–

noirre: ainli les éleéHons

les eours des nides eon–

DOitrem (euls des !ail/e ; le. juges des caux

fOr~lS

counoilTenl feu ls d.. maliere d'enu¡

for€15 , fauf I'ap–

p~1

nu parlemenl .

~o.

Un JII¡¡e peul

~rre

eompé!ent en vertu d'uoe at–

tribulion partlculiere qui lui en fuite d'une (eule aflai–

re, ou de eercaines affaires qui onr rapport les unes aUI

2.utres .

4°. En yertu d' une évoealion ordoooée pour cauCe

de conllexit¿ 00 JiliCpendancc, un juge peut deveoir

compélenr, qooiqu'¡¡ ne foi l pas le juge do domieile du

défcndeur .

rO.

En maliere eriminelle, l. eonnoilfanee du délil

app'rlienr

Juge du Jieu ou

a élé eommis , fauf le

priy ilége des eedéfialliques, des genrilshommes,

eerla ins officiers qui peuvenl demander d'':rre renvoyés

dCV30l le Juge de leur privilé"ge.

Tous jug s Conl eompé«ns pour informer d'u!! dé–

Jil; ce qui a élé ainfi élabli pour empceher

dépérif–

femem de la preuve .

U n Juge qu i Ceroit

eomp~lenr

peut erre pré"venu pae

un 3Utre Juge qui n deoil de prévenlioo fur lui.

V o>" e

R E' V E " T I 01<.

L s pre,'OIS des maréehaux

les

Iieolen.os

eriOli–

m inels ne peuvenl juger en dernier relfort uu aeeufé,

q u'ils n'ayeo! p,,!allblemenr

f.it

Juger leur

compiten<,

par le prélidial; fi le préfidial a préveou,

cll lui–

meme Juge de

1".

,o"'pllm<.;

fi I'aeeufé a(laque le

j ugem nl de

,.mpltena

par la voie de la ealfarion, e'cll

ao grand-confeil qu'il doil fe pourvoir.

L 'ordoonanee eriminelle,

tito

ordoone que

COIn–

piuna

Cera

JIl~ée

au pré6dial dans le rCerOrt duque! 1"

caplure a élé lahe, dans rrois Jours au plus t3rd, en–

eore que I'aeeufé n' il poinl propoCt de deelioaloire.

Q ue les jugamens de

,ompitena

oc pourroO! etre

rendus qoe por iepl Juges au moins, qui (igneeoor la mi–

Dute.

Que la

,o",pi ,,,,,,

ne poona erre jogt!'e , que I'ae–

curé n'ait élé oüi en la ehambre en préCence de 10US

Jos Jogcs; qo'il en feea fuit mennou d o, le Jugemeol ,

'ufi que do morif de la

compbellu .

Q ue le Jugemenl de

co"

'plu.re

fera proooueé

(i –

gnifié fur I cbamp

¡j

I'aeeufé.

le pre,'Or d.. mart!'ehaux ell declart!' ioeom–

pétt"" l'aeeufé ra lr:lOsft!'ré dws deox JOUr1 au plus

prifoos du lieu do dc!Jil.

E060, que le prevOr qui aora élé déC!lIt!' eompt -

tellt,

lenu e pro édcr io

ffi

mmeot

b e ofe-

CO M

~ion

du proces nee fon Q{Jelreur, finon 3Vee un ron–

feiller du útge ou il den. éu e Jugé .

L es appels comme de Joge incompt!'!enl , taor ou ci–

yil qu'au crimioe!, fe relevent au parl mem

",iff.

""–

di•.

Ea mllieee civile, 10US juges fom eom)'éltnS pour

reeonnolrr. une promelre ' c' II-'-dire . que quoiqu'il

ait Jicu de renvoyer le

nd devam le Juge d' m i uriun

ou du pri,'ilége, né.nmoins

Juge qui

d i

(aili de 1'.11"–

f.ire, peul donner aae de

IJ¡

reconooillaoee u di!né–

galÍun d'une promelfe.

Sur In

compl..""

des juges,

voyn, ,i-. pr.

e o

M–

PE'TENeE, J ueE "'ATTR I B

Tr ON, J el!:

D'E'c L

l E ,

E l'

R r v r L

E'C E,

E DI!:

E I CSEUR,

él

TI CE

E I CNE R r A L E

R E V

A R E'c HA" .

R E' r D I A L,

P RO

R I

!rol

1 N EL;

¡JiOÍtu,1JII;r,

á~

Jro;/,

mOl

compitm",

& "

Ir.ill d, la compltelf«

1"–

gil e1l

mal;tr~

crimi"cllt ;

aUI

át crltlllts ,

lllce

d. [oro romp,'enli. ( A )

O M

E'T E T,

.,oye:; ci-d

,v.nt

M P E'–

T E N CI!.

e O M P I E

E, (

Glog. m.d. )

ville de Fran-

ce) da,! I'ile de France.

L ong.

2nd.

2.9'.4 1'. 1111.

-f!ld.

~4·

f9·

OMP IL A TE U R ,

( B eIlCI- L mra)

t!'–

erivain qui ne compofe rien de génie, mnis qui fe con–

lL'1l1e de recucillir

de ré petor ce que les 3UtreS 00l

éerir . LB

plOp.rr

dos L cxieographes ne (Olll que des

, 0mpilolellrI.

L es qualilés les plus néeelfaire. " eeUI

qui fonr des compilalions , fOil! l'exaailUdc

le di–

¡cern.meol , pour ne peéCcDlcr 3U lea cur que des cho–

Ces digne, de fon ",!ention. Autrcfoi. le nom de

t om–

pilotettr

Ce prenoir en m.uvaife parr

équh aloil

pl,,–

giairc .

Horace a dil en ce fens

l. ño de f3 premie–

ee f.!yre:

m, Crifpilfi [crilfia lippi

Compilaffi p"us .

Quelqucs-uns font venir les mOls

comEila,io"

,om–

pila/tltr

Gr~c

"""'IIJ,

qui

lÍ~nifie rt.D~rrtr

UII,J'lI–

[er;

p.ree que les voleurs. dlfenl-il., relferreol leur

larcin en plus peli! volume qu'ib peuvelll otin de I'em–

pOrler plus aifémen l . L es ancien. La!iru en avoiem (oe–

mé

pilare , compilare ,

d·ou

naus :lVons

faÍl

compila-

licn

compillltrllr. Vo ez.

A l R

•

(G)

eo lP I L.'\T I O

,1: f.

( B ,II. L m.)

reeucil

formé de mOrceaus pris

r;a

1 dan! le

m~me

ou dans

divers aUleors. Pluficurs ouyroges des Mod<rnes ne COOl

que des

,ompilatio"s

de eeu" des Anciens. 11

a des

compila/io",

cllimables: celles, par c¡ emple , ou les

leHCS de divers

~uleurs

donl le llyle u'ell ptI! unifor–

lIJe, fOn! li bien fondus qu'i1s paroiercnr Erre forris de

m':me plume; relle ell I'hifioire ancienue de M. R ol –

liu : d'nulres nc COOl que des copie Ceches ou informes

de lamb UI mal eou(us; on peut les eomparer

~mas

m31~riaux

brurs,

les autres

un t!'ditice ;

eelks-oi demaodenl du goO!; les autres ne fuppofenc

que du lems, des reeh.rcbes,

la palienee infaligable

de coyicr mot

mOl .

VO)" ::'

A n

e'e

E'.

(G)

• e

O M P 1TA L E

,r.

f. (

My,bol.)

féles infii–

lué.. en I'honneur des dieux

I~rcs

ou perutes. On les

eélébroit daos les carrefours,

p,r comp"o .

Les 3ffmn–

chis

les efdaves en t!'loicm les miO/Ore

les 1'r':–

tres; c'",oil no !ems de libent!' pour ceS derniers. Sous

les rois 00

Cacri60il des enfaos; m.i. Brulos, aprh

l'elPulliou des T>rqu:lls. Cublli!ua .UI léles humaines

que les oraeles 3voicII! demandé...s,

qui devoieol lom–

ber dau. ks

..mpitalu,

des leleS d' il

de p.VOI.

avoil daus les earrerours des poreaux é e' s: on pla–

~Oil

fUf ces potC2UI de, ima¡¡es

d.s 6gures d'hom–

mes

de Cemmes. Les figuee¡ repréfenloient les dieux

lare ,

nvoit .UIQO! d'

im.ge

. que de perfonoos

libres daos 13 f.mille.

Les

com¡ilala

n'~roíent

que

poor les ciclaves . lI.s furem il/Ouut!'es par srqoin le

premier ou par erviDS Tullius; elles Ce célébroieO! peu

apri:, les

¡;

lurnales; les JOUIS n'en éloieO!

piS

61e;s;

e'érolt ccpendanr 100JOUrs en Janvier; le pré"lCor en

ID–

diquoi! le Jour. 00

Caerilioit uOe lruíe. L es erclaves

oíiroiem ác Inlles de laine.

O M P L Al G N A T, IdJ. pris Cobfi. (

'JNri–

[,n,d.)

figoi6e la méme chofe qoe

pla,s""n,

"UN–

fa".'

011

'cre criminelle;

r.OI

coofondre

, .mplolg1111111

av~c

á~maIfJ~II'

tll

,.mpl"i"/~,

foir

prof.". ou

bt!'n~6ci.l.,;

eelui-ci fcmbleroit de oir cae

p _lié

compla;,lIalll

UbOt que l' (Ce,

C'1ufe qo'ij

ÍD-