CIR
anin de troupes pour I'aborder de toure pare .
/llIa'1/u
des plaeeJ , par
M .
Leblood.
(Q)
el
R
e
o
N
V
o
1S 1 N,
adj . on dir,
C11
Fhyfi'l"e,
les corps
cireo11'voifim ,
pOllr défigner les corps qui
,11
environnem un :nn,e , ou qui en foO! proches.
( O)
e l
R
e
o
N
V
o
L
U
T
ION,
r.
f.
I'"aion de cour–
l1er aUlour,
du Lntin
,ircum'lJolv~re,
tourner
a
l'
en–
tb ur .
11
fe dir,
en
Arehite{lm:
,
de
h
ligne fpirale de
Id
volure ionique.
V</.y.
VOLUTE
&
eO L O NNE.
(P )
*
el
R
e
u
1
T,
r.
m .
( Gram. )
fe dir dans
I 'uf~ge
ordinaire, par oppoli¡ion au chelllin le
pi
us COUrl d' un
¡¡eu daus un aUlre, de [OUle alHee maniere d'y areiver ,
que par la ligne droire . Ce rerme
a
éré rraafpon é par
méraphore du phylique au moral.
e l R
e o
r T, c'en l'enceinre, le contour, ou le pé–
rimerre d'nne figure ou d'un corps .
/foye-z
P
E'R f
~1
E–
T
RE .
(E)
e f
R
C
U
f T, '"
Dfoi~.
en
un~
procédure loague
&
compliquée, qui poueroi¡ erre fu ppléée par une plus
fJmplc; comme li dans le cas ou il y
a
lieu :\ la eom –
penfa rion enrre deux perfonnes qui font refpeéli vement
débireurs
&
créancjers l'un de l'ilUrre, on
conimen~oir
par condamner cclui qui a éré aé(ionné le prem[er.,
&
par
¡'aire exécuter la condam narion ,v:tur de faire aroir
[ur la demande incidente qu'il forme pour fa défenfe ,
taudis qu' on peur par
UD
feul
&
meme jugemenr , fla –
tuer fur les demandes refpeaives des deux pan ies.
(H )
e l
R
C
U
f T, (
Hift.
modo
d'
Angl. )
on enrend par
ce mor, en Anglererre , les diverfés pro vinces ou les
j uges vom [endre la juflice au peuple deux fois par an–
llée.
C'en vers I'an
11
7í
que H enri
JI.
ce prince qui ne
fur Ja¡;nais ra(falié de biens ni d'amour,
&
qui rravail–
loir cClntinuellemenr
ii
eorrompre le beau fexe
&
ii
é–
relldre fes érars , parragea l'A nglerer.e en
fix
parties ou
cirmitJ,
qui forem a/lignés
~
auranr de juges , pour y
al ler en certains tems renir les a/lifes , e 'efl-' ·dire, ren–
dre la jullice au peuple. c'en ce qui fe pralique enco'
re aujourd'hui.
l mmédjatemenr OpTeS le terme de
S.
Hilaire
&
de
la Triniré. le ehanee ier eovoye dou7.e Juges dans les
diverfes pro l'inees ou
cirmitJ
qui leur OIH été amgnés ,
p our
y
rendre la jufliee. Ces douze j uges vonr aUX
eir–
e/litf
d.eux
a
deux, d'on les amres qui ne fonr tenues
que deux fois I'an , rOD! appellées
a.ffif~s
de earime
&
aJlifn de
l'Iré.
V e)'ez
Rapin, Tindal,
&
r,-.
/lrticl~
de
111.
le
e
hevalier
DE
J
A U C
o
U R T .
e l
R
e
u
LA
1RE ,
adj.
( Glom. Aftron. N av ig .
_&
e.
)
fe dit en général d,e rour ce qui apparrient au
cerc1e ou qui y a rapporr : aino on appelle
mOft'Veme11t
ciTmlaire,
le mouvemenr d' un corps dam la cireonfé–
rencc d'un cercle ;
are , irctdaire
1
un are ou portion
de .1:1 cireonférenee d'on eercle.
Voy,z
e
E R
C LE,
A RC,&C.
L es
A
Ilronomes modernes om prouvé que les eorps
célelle ne fe mou voien¡ pas d' un mouvemenr
cirw-
14ir~ ,
1I1ais elliprique.
Voyez
O R
B
f TE,
P
L
A
N E TE,
& e.
N ombres eirm laires:
ce font cc;ux dont les poi(f3ll–
ce fi l1ilfcnr par le earnaere ftl'Cme qui marque la raci–
ne ,
eomme einq, dom le qoarré en
2í ,
&
le cube
l'2 f·
I/oy .
N
o
M D
R E .
CbamberJ .
Na.'igation eirmlaire:
e'efl eelle qui fe rair daos un
arc de grand cerde.
VOJez
N
A
v
f
G
A T IO N.
La navigarion
cirmlalr~
efl la plus eourte de tou–
tes ;
&
eepenctam il y a ram d'aurres avamages
a
nOl'i–
ger
fuiv~nr
les rhumbs, qu'on préfere généralemeur eer–
te derluere .
Voyez
R H U
M
B .
f/ite/Je eireulaire,
en Aflronom ie , lignifie la v,re{fe
dlune planele ou d'un corps qui rourne, laquello fe me–
[ure par un are de cercle; par exemple par l'are
A B
.
( 'Tab. aftr. n.
fik.
10.) Merir du c elllre
S ,
aurour du–
que l le eorps en rupporé rouener de fOl:re que la vi-
te(fe
eir",laire
ell d'auraO! plus g'rande , que l'nrc
A B
parcouru dnns un rems donné par
la
planore ; efl plus
grand ou eonrienr un plus grand nombre de degrés ;
ou ( ce qui efl encore plus exaa) que l'angle
}l.
S B
di plUS grand . ear eomme les ploneres ne décnve n;
p3S réellement des cercles, elles ne parcourenr pos , a
proprem,.enr parter, des ares de cercle rels que
n
B,
m. is elles pareourenr ou déerivenr les angles
A S B
merurés par ces :lres, de force que
renr
\
'ite.fecit'a¡lal ~
re
pourroir fe nommer :l\'ee plus de jullelfe,
71ít~/Je
.
(mg"lair~ .
(O)
L .ltr< eir"dair.,
ell une lem e adre(f¿e
T ome" lll.
plufieurs
CI.R
perfannés qui ont inré,,!r daos une mc!me affaire , eom–
me.
pOUf
une convoc:u ion
d'afiemblée ,
&c:.
• e l
R
e
u
L A T I a
T
r.
f.
( Grilm. )
fe di¡ en
.général de tou r mouvemem périodiq ue uu non , qui
111>
fe fair poinr en ligne droire : on dir que le
fa1Jg eirCJ<-
1<,
que
I'cIPece circule , &e.
•
e IR CU ¡' AT10 N D U
SANG,
( P hy/iol.)
L a
eir–
eldation d" f a?lg
ell un n)ou vemem narurel du fang
dans un animal vivnn!
J
par lequel eeHe IH\lncOr elt
al–
¡ernali vemenr portée
dU
eceur • roures les oarrics du
corps par les an eres ,
&
rapponée de ces me mcs par–
rie~
par les veines.
V oy.z
S
A
N G •
L e principal organe de eetre f¡maion virale en le
cceur,
qt.liefl uu .m ufcIe creox au, eavirés doqoel toU–
tes les veines viennent aboudr
~
&
tomes les arteres
pr~n
nenr leur nsilla nce ,
&
qoi a en meme rcm. un aaion
de dilaration ou de diallole ,
&
de eonteaa ion ou de
li flole.
Voy.
e
<lE
u
R,
S
r
S
T a LE,
&
DJ
A
5
T o
L
O r I'effer narurel de ce mouvemeo t
al ternarif~
e'eCl
que le eceur
re~oil'e
&
cha{fe le long a lrerAativement :
le
f.~ng
cha(fé du ventrieule droir doir erre poné par
I'anere pulmo naire qui
en
forr dans le poumons , d'ou
il doit erre rapporté par les veines pulmonaire • I'oreil –
lerre gauche ,
&
de-l. au venrricule gauche : apre,
y
a–
voir éré rapporté , il 'ell pou (fé , par la conrraaion de
ce ventrieule, daus I'aorte qui le dillril¡uc dan, r
ut
le /
refle du corps , d'on il en ramené e nruire dans I'or<il–
Jete droite par la "cinc cave qui
achtve
la
cirCtIJlJtioil.
V oye;:;
' 1
A I
S S E
A U
X
PUL
M.o
NA I
R
E
S,
V
t:
1
NE
CAVE ,
&
AO R TE.
On a :m rihué généralcmenr la déeol1verte de la
&ir–
cr:&ztirf}l
d" fang
¡¡
H arve)' medeein Anglois,
&
on en
place l'invention en r628.
11
y a eependan t des aureurs
qui la lui dlfputenr. ] an(fon d' A lrridol'een, dall$ un
traité def inv cntioJJJ
ITOrl.1J~lIeJ ,
imprimé en
1684 ,
rap–
porre plu(iell rs endroirs d'H ippoerare , pour IUIHller qu'il
I'a eonnue . "\Valleus,
epift. ad B Rrth.
prélend qu'dle
n'a pas éré fenl emenr eonnue
d'Hippoeral~ ,
mais en–
core de P (aton
&
d' Ariflore.
011
dir eoeor
qu~
les
medeeins ehiogis l'enfeignoiem guarre eeni s all avanr
qu'on en
parl~ r
en Eorope .
11
en efl qu i remOnteO! Juf–
qu'a Salomon , c,royanr en Houver d s venige; dan
s
le
ehap.
""ij .
fje
l'
écelefiaft .
Bernardin Genga, dan, un·
traje6 ¿'/lnat.
en
Italien ,
rapporre
~es
palTages de R éal–
dus e olu mbos
&
d' flndre
Cér.~lpin,
par lerqoels il pré–
tend montrer qu'ils admeuoient la
(i;YGrdl1ti()n
long-[cms
.vam Harvey.
11
aJou re que
1',a- P3010
Sarpi , ce
ta–
meux
Vénirien~
ayant ex.aemem
eonlid~é
la ¡In,tr ure
des valvoles daos les vcines , a jnféré dans ce, doruiers
rems la
cirerdneion,
de leur conllrua'!lO
&
de plulieurs
aUfLes expérienees .
Voy.
A
R 1 S
T
O
T
l!
L
1
S ~1
E, V A
L–
VU L"E
&
V E 1NE .
L éonieeus aJoure que F ra-Paolo n' o fa point publier
[:1
découverte de peur de I'inqoilirion,
&
qu'il eom–
m uniqua feulemenr fIlO feerer
3
Aqo'apendente , qui a–
pres fa mort mit le Jivre qo'il en nvoit com oré dans
In bibliorheque de
S.
Mare,
ou
iI
fu r
lon~- rem,
caché ,
&
que Aquapendenre déeouvrir ce feerer a
Harv~y ,
qui
érudioit foos lui
a
l'adoue , lequel le públia é ranr
de
re–
toUr en A nglererre., pays
d~
liberté,
&
'en a!tribua la
g loire ; mais la plilpart de ces prétenrions font autant
de fables .
M .
G eorg.
Enr
a fair voir yue le
P.
Palll
regur la ¡¡remiere notion qu'il avoit
<k
la
rirm lntion
d" fallg,
qu livre que H arvey avoir fair fu r ce IUJer,
leqoel fu.t apporté '. Venili: par
1
'ambafiadeur
~' Angk
rerre en eerre républtque,
&
montré pa le memo am–
balfadeur
a
F ra-Paolo ; que celui-ci en ay.lnt fait quel –
ques enrair qui parvinrel1t apre f., m rt entre
1",
l11.ins
de fes héririers, cela ti t eroire
3
pl ufieuc> Jl,erfonll:" que
In déeouverre dont on rrouvoir
l'
hilloire aans le pa–
piers lui appanenoi¡ .
{<oy .
Dougla
, bibfi-ogr. nnat
/1"<–
p.
2).7 .
Mit .
1734.
&
le tr.
de
ea!/tl" de
111.
Sellae .
Vo)'c:::.
A
'A T O M 1E •
•
.L a
eirw/ati. n d" / aJlg
fo prouve por les obreryatl? nS
fUlVantcs . 1° ,
Si I'on
Qu\'re
u ne des grande!>
artereS
d
un
animal vivanr, tou t le
f.'\llg
.)'en va bien·rl>t ,
&
n"e~
beaueoup de force, plr In b!cfrure, ,eomIne on le V01t
aux boueheries ,
& e.
i1
s'en lult de-la. que le
f.~l1g
a un
pa(fage de ehaque parrie <lu corps all1mal d. ns choque
arrere ,
&
que
Ii
route
la.
rualre da fa?g fe
m<~r
dalls
cerre
oce~lion ,
iI
fau r éVldemment qo elle rc mur aum
:\llparaV:l1H .
20. L a gr nde qu.ntiré de f.1n.g que le ctrur pou(fc
dans
l~s
arreres
ii
ehaque pulfaBon; puifqu e ram rel a
i1
fuudroir laPlmrer
dan~
:e eorps
de
I '~omme
uue h, n.'_
e up plus
~rande qo~nt1te ~c: ran~
.qu
a~lCU tle
o
rt:'T \'3_
lion ou aueune expérlenee n
y
en lalt VOIr.
1/.
.,
~
G.
Cee
2.
3~·
1-