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CIN

le~

deu! batailloDs ou eCcadrons efes ailes pour la b3-

lallle,

&

celui du milicu fai, 1'2rriere-garde. L afontai–

De '.

do¿1ri,,~

m jljtaire.

(

~)

.C IN Q UAN TEN I E R, f. m.

(Polje<)

olli–

cler qui eAécute les ordres de la ville qu'il re,oir du

ql1art!u!er, pour les. faire ravoÍe au. bourgeois . Chaque

qU3~tll11~r

:1

fous

IUJ

d~ux ~int¡f(anttnit:rJ.

I1 Y

a dal1s

PartS COlX ante-qu. ,re

otn'l"a"tenjers

.

VOJez. le Trí'IJ-.

&

le

trajtl de la· P olre. de

L ama re.

. e l.1':lQ U !\NT I EME,

f.

m. ('}"ri{pr.)efl une

Impolttlon qUI a é,é levée dans certains tems pour les

btl" ins de ('¿,ar .

, En . I

~?6 ,

Philippe-le-Bel le,:" le

'¡"'l"antjeme

Cur les

eccléltaUlques, pour la conqu",e de la Guienne

&

la

guerre contre les Flamaods. Duhaillao,

tomo l . pago

1')2.

Me~efay

,

tomo

l .

pago

677.

V D)'';,.

la ¡uo"de des

¡"tro ¡ur le clergé

(

lIe repugna

te ),

p.

J

p.

JI paroit que nos FOis om levé eo divers tems Cur

leurs lilJers une impofition, qui élOir tantÓr du cemie-

111e ,

&.

tantOt du

&i"9"antieme.

En efle t , on. voir dans

des lemes du roi Joan du moi de N ovel"bre ' 31'0 ,

p~rtant ~onfi rmatioo

des priviléges que Ph ilippe-de- Va–

IOtS

av,:)\[ accordés en .' 337, allx géuerau>: mairres des

monnoles

&

3UX ouvners

du rerment de Franee,

qu' i1s

é roiem eXt'mpts

de

touS

droits de

centitme

1

c;nqfUm.–

t itme,

&

3utres impofitions.

Par unc dée .aration du

l'

J uin 1721' , regiflrée le

8

du meme mois , le R oi ordonoa la levée du

ej"1"a,,–

ti,me

des reveous de l'étal

C~r

touS fes rujetS la'tes ou

eec létialliques pendan t douze années ,

a

eolt!menccr du

promi« Ao(h de

la

m<':me- année.

11

ne fu t cependant

pas pero;u en

t

721', paree que la réeolre- élOit trOP in–

liante; 00 oc cornmen,a

a

le percevoir qU'CD 1726.

JI

devoit etre pcro;u eo nature de fruits; mnis par

une déclaratioo

d...

21

J

uio ' 726 ,

iI

fu r cooveni en ar–

¡¡em;

&

par une autre déclaralion du 7 ) ulllot ' 727 ,

11 fu r revoq<Jé

&

fupprimé ,

a

compter du premier Jan–

vier 17"8..

( 11 )

e

I N

Q

u

1E M E ,

f.

m. (

Juri{pr.

)

en une im–

p ofi tion qui a élé per,lle en ditléremes oeeafions pour

les befoins de l'étar.

N ou, lilons dans la G enere,

ch.

xl'/Jjj.

'/J.

26. que

1'on p3}'oir

le

Ijnqflj~m~

en

Egypte.

Philippe-le-Bel ,

[ui.am

des lcures patentes du ' o

0 -

élobre l 30.:f, k va une double décime ou le

~;nqlti~mt:

f ur [cutes les

é~lires

de. fon royaume.

l/oyeZo

Parru

,

mimo fllr

I~.r

aJ/embUeJ du

d~~g/ ,

arto

3.

Les

letJrN

De repugnate ,

¡u. lett . pog.

208.

.

.

L e

cinf{/lieme

eO

3Um

en quelqucs endro

1

ls

un drOlt

de ChaInl'3n agrier ou rerrage , qui re per,uit au pro–

til du rdgneur fur les fruits en oatu re; quelquefois e'dl

un droie de mutalion qui fe paye pour un héritage,

foie eo fief ou en roture; ce qu i dépeod de la coutu –

m e

&

des titres . En matiere de ticfs , ce droit s'ap–

pelle ordillairemenr

'{ui",

ou

droít de ,/"j"t. Voy.

D

E'–

elidE, CUAMPART,

Loo s

E T VENTES, QUINT.

(11 )

p ..

d

' D '

e I N T

H [ A ,

nom que les ocle

onnent a la-

ne, du mont e ilHhies dans l' lsle de D élos , ou elle

avoir un remple .

e

~

N T

RE ,

r.

In. (

IIrehjt elt.

&

eOHpe des pier–

res

)

on a donné dans le tome préeédcnt de cero ou–

vrage , la défi nilion

&

dillinélion du

ú ntre

en f3\r de

eharpenrerie

&

eoupe des pierres .

V oy""

e

E

I

N T

!'

E.

L es curieux qui voudront approfond ir eeue matlere ,

&

Cavoir eommenr 0\1 peor eonooine

&

calculer la for–

ce des

,illeres

&

meme de tour ouvrage de eharpen–

re, reeourrom

~u

mémoire géométrique de M. PilOt,

qui en

dans

les

mbn. de r acad. del Scienccs, annéo

I726.

pago

216.

&

dOn! voici l'extrair par M. de Foo–

renelle.

L e

cintr~

que les

lt31iens

nornmcot

armntru"(J ,

en

uo alTemblage de eharpeme propre :\ Cou[enir [OUI le

poids de la ma,onnerie d'noe vollte, avanr que

la

cié

foie porée .

On Cenr par-la que rien n'en plus imponant en fair

de connruélion de graodes voOtes, dÓmes, poms de

pierre, que de faire des

cilltres

alTez forts pour porter

tout le fardeau de la

ma~onnerie;

&

qu'on doir admi–

rer dans

ces

grands ouvrages hardis, les

(jvtra

don~

on s'eCl Cervi pour les eonflruire : car li malheurell re–

m em ils Ce trouvenr trop foibles , on voit daos un mo,

m em périr rour l'ouvrage,

&

quelquefois plulieurs mal–

hcureux ou vriers .

N ous n'emreprendrons pas la dereription des

,jntres,

&

d'aut3nt moins qu'on les eonClruie de mille

f~~oos

dilféreme , Celoo le gcíoie ou les habitudes des artllks.

T ome

¡Il.

CIP

379

M athurin JoufTe en donne rrois defTeins: la plupart des

architcétes

~n

ane

voulu inventer de particuJit:r:t; mais

quelques-uns Conr 10mb s daos des détout. rri;,-dange–

rcuX . JI paroit que M . Blondel o'a rien voulu propo–

fer du fien' Cur ceue mOliere ; il s'efl eOl1temé de don.–

ner dans Io n cours d'Arehitcélure les delldns d'Al1to–

nio Satlgallo, dont M ichcl-Angc s'en rervi pour eon–

flruire

la

voll te de CaiD[ Pierre de R ome.

Mais r.,ns em..r dans l' e>amen de la forme fa plus

parf:'\ite qU'f)!] puilfe

donner

aUN:

cjntrcs ,

ni

dans le dé–

tail de l'alTemblage des eharpemes <¡ui les comPOrttle,

nous naus contenterons de dire en g-énéral , que ce

foat des picees de bois qui ayanr

a

ro utenir le poids de

la voOre donr elles

Com

prelT~es

&

poullées en -embas,

doivent etre difporées entre elles de fa,oll qu'elles s'ap–

pUlenr les unes Irs aUlres, fe eontr butem,

&

tle puif–

Cent eé'der : cela dépctld de la force abC"lue des bois ,

&

de la pofilÍon des pieees.

U ne pieee de bois étant pofée venicalement, fi on

3tlaehe

it

Con bour inférieur un poids dont l'etler rh a

de tirer

Ces

fibres en-embas,

&

de tendre

:l

les (epareo

les unes des autres , de fa,on que la pieee rompe, elie

foutietldra un tres-grand poids avam que ce! eifct ar–

rive . L a

)ongueuF

de la piece n'y

faie

rien; il n'y a

qOe Ca grofTeur ou baCe. M. Pitol a éprollvé que le

bois de ehéue CoulÍeor envirou Coixanle ¡ivres p.l< li–

gne quarrée de la baCe;

&

e'dl le bois de

eh~ne

done

on

fe Cen le plus Couvenc dans la eharpente. M . de

Bulfoo a poullé ces expérienees beaueoup plus loin _

L es pieces dom un

,j,,¡re

ell compare , n'onr pO

a

foutenir un eRorr qui les lire de haut en·ba , mais au

eontraire un eifort qui lrs poulTe de haut en-bas ,

&

tend

ii

les éeraCer ou

a

les faire plier.

1\11.

Pitot

a

trOll–

vé qu'elles font elleore une réliflanee Ull peu plus gran–

de

3

ce fecond ctlo rt,

&

ne prcnd les dcux réMlao–

ces que pour ég,les , car il vaD t roílJours mieu x Ce trom–

per eo Cuppofanr trop peu de force au

cintre.

Qnam

:l

la pOlitioo des pieees , donr la pluparr font

née.lTairemem ioclioées, ce qui modifie

&

attoiblir leur

réflflanee abrolue Celon que les angles d'inelinaiCon 10m

différens; M . P¡tot en fail le ealcul par la Ihéurie des

mou vemeos eompoCés , ou ce qui efl la mome chole,

par les diagonales de M .

V

36gnon. ees diagonales rom

en nombre d'aueane plus grand ,

&

Co>

compliqucnt d'all–

tout plus les unes avec les nutres, qu' il

y

:l

plus

de

pieces dans le

cinlre

.

Au moyen de

ceHe

théorie , 13

pef.1ntcu f

de la voihe

é(ant

loOJours

connue ,

de plus '

les groffcurs

&

les po fit ions des picces du

cintre,

c'dl:-

3-dire

Ii

13

E::on(lruéHon du

cintr~,

ou

P' Ü(Ól

le

('i1Jtr~

tn~mc

en

douné,

00

rrouvera le rapport de.!

fa

force

:l

eelle de la vOli,e;

&

eeln taoc pour la \'oOre d<mi-eir–

cu laire, que pour la CurbnirTée .

V o)'e:<.

S

e

1\

o

A'

~'Jl.

L e leélcur verra par le mémoire m"me

&

l' extraio

enti.r de M . de FonreneIle, combieo la ce

n i

ude

&

la

pr¿cifioll que

M. Pirol

a mis

dans

ccne m:ltierC'

l'~m_

porrem fur des limpies

ur.~ges,

tooJours ioeert.ins,

&

rOu\lent f3UX qui foivent

les tJt) vriers ,

&

mc2mc

I~s

mai ..

tres .

IIrt. de fol. le Ch.

J)E }AUCOURT.

e I

N T

RE,

( D ieorot. tUatr.)

on donne ce 110m

¡¡

la portie du plsnchcr de la r.llle de l'opéra qui eil

Cur

I'orcheflre . L a panie du

Úllfre

qui eH la plus pres du

lhénne, n'ef! compoCéc que de planches qui lÍenne\\[ l'u–

ne

:l

1':1Utre par

des ch:trnieres :

OH la leve pour :1ider

le pa(Jage des vols <¡ui fe fom du milieu du Ihé.tre ou

de Ca partie

In

plus éjoignée ,

&

qui vooe 1" p rdre dans

le

&intre.

U l1e baluflrade de bois amovible Cépare eeHe

partie de l'autre: on

y

place de gros lampiolls pour é–

clairer le premier plafond . e 'en

CUf

le

ci"erc

que

[om

les grallds treuils avee leCquels on fail les vofS , la de–

Ceente des chars.

Voye;,. ces mots.

On y a pratiqué quatre petires loges , deux

d~

eha–

que clHé ,

qui

fe

louent

3

l'nnnée ;

ell es

U'Oll[

vue

qU,e

fur le lhéatre en plongeanr ,

&

n'om aueulle commuuJ–

eation

~vec

In

r.,lle.

La lOile qui ferme le thé31re, Ce pe.d dans le

ej,!lrt

lorrqu'on la leve.

V OJez

T

o I

L

~.

(B)

.

e I N

X 1

A,

( Myeh.)

Curnon~ qu~.

les

Ro~nalns

don–

noieO[

ii

J uoon,

&

Cou, lequel ,lis 1\I1voqu?lenr

el~

fa–

veur des jeunes Inariées ,

10rCq~

Oll leur OIOlt la

celllt~r~

de virginité, la premiecc?

nUH

de

ICUF nÓce.

C,n:na

Vlcm

de

C illgo,

e

1

o

T

A

T, (CloK.' "',od:)

ville marítime de p rao–

ce eu Provenee viguerte d IX.

L ong.

23· '

j./at.

-13. 10.

e l P PE,

r.

m.

( H ift· an•. )

parmi les amiquaires

c'en une petite eolonne peu haute qu' on éle voir dalls

les graods

ch~ll1.ins

ou

~i1leu~s ,

&

rur la9uelle, on

me"

tOil des illCertptlons, [Olt qu elle fu r dellmée a nppren-

B bb

~

.tra