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CHI

C HIN O N,

(G/og.)

ville

d~

rrance dans la Tou–

raioe, dans un pays appellé

le Vaijon . L ong.

17· 47.

lat.

47.

12.

C HIN T,

f.

m.

( e omme".)

toiles des Indes pro–

pees

3

21ee peio[es.

l1 Y

eo a de plulieurs eCpeces, qui

fe dillingoeD! pae les noms des lieux oii elles Ce fabri–

quen! .

fl

paeoil qu'elles foo[ blanches poor la phlpar!

&

[oo[es de coton .

Voyez. le diB. d"

e•

.m"".

'

C H

1

N TAL,

f.

m.

( e omm.)

Cone

de

peíds dOn!

les POClugais fe ferven[ a G oa.

11

ell ele ceO! cinq

Ii–

vres de Paris,

¡¡

hui[ onces fix gros la livre, poids de

macc .

V.yez.

In

dil!o

¿..

e omm.

&

de Trlv.

C H IN T

1

N

G ,

(Glog.)

ville confidérablc de la

Chine, de la peovioce de Pekin.

L al.

38. 40 .

C HIN

1,

(G¿o~.)

petite villc

&

com[é des Pays–

Eas , au duché de Luxembourg, Cur la riviere de Se–

rnoi.

L ong.

23.

8.

lat.

49. 38.

CH IOHAD AR ,

01<

T CHOHA.D AR - A–

G

A,

( Hift. mod.)

Ce nom dérigne un offieier de la

COor du grand fe igneor, dOn! I'unique fonélion ell de

poner daus un fae le manteau du ful[an, 10rfqu'iI viem

3 fOCli, pour prendre l'air.

C HlONS D E MARTICLE.S,

(M.arine)

voXez.

M

A Il TIC LE

5,.

e H

1

o

R M E,

011

C H I

o

U R M E,

f.

f.

(Ma–

r;ne)

C'efl la [roupe des for,a[s

&

des bonavoglies ou

volontaires qui t,ieent la rame dans une galere .

(2)

CI;l I04ZA ,.1< C HIOGGI A,

( Glog. )

ville

d'!talie dans

~'ét.[

de VeniCe , dans une 11e pees de

L angunes.

L ong .

29· 58.

lat.

45. 17.

GB l

O U RL I C ,

( Glog.)

viIIe de la Turquie eo

Europe, daos la R omanie, fur la riviere de lu2me

nom .

L ong.

45·

22.

la(.

41. 18.

C H

1

P

P

A G E,

f.

m.

termc

d~

T 411»<"",

e'ell un

apprec que les T anoeues donnem

a

de ceClailles peaux .

Voycz

C

H I P PE Il .

e

1-1

I P PE',

bafan>1C chipple,

e'ell eelle , laquelle

le Tanneue a dOllné un app'r4t partieu)ier appellé le

chippage ,

qui la diflingue

d~s

autres forles de baf.noes .

V01.ez

B

A S A N N E •

eH

1P P

E R

JeI

peal/x, temze de T an"."r ,

qui fi–

gnifie leue

do.mer

l'

apprie ,

le

chippage.

Maniere de

ehippee

les peallx.

Apres que les peaux

de bélier, de mouton , ou dq brebis, om eeflé environ

Ji x

Cemaines dans le

pl~in,

&

qu' un en a

f~it

tomper.

la laiue avec la ehau!, le Tanneur les met dans une

cuve remplie d'eau ehaude, melée de ta!1, qui el! uoe

cfpeee de eoudeemem:

&

quand elles y ont rellé quel–

que tems, on les en retire, on les coud

[Out·autour

a–

vee de la petite iieelle,

&

on en fOrme une maoiere

de f3 c, le eÓté de la chair en-dedans . On remplit ce

L1e de [an,

&

de l'eau de la cuve eneore ehaude, qu'

on

y

fait cntrer avec un entonooir; enCuite on en bou–

che l'entrée.

00

les peend par les

de.ux

boucs, que l'on

remue fortemenl eour y faire pénécrer le tan. Cene

0-

pérotioo

s'appell~ chi"~er

les peaux,

&

e'ell

de-la qu'

ell venu

¡\

ces baCannes le nom de

ba(annes

ehipp/~s

.

Cela fai[,

0 11

les rejetee dans la euve, d'oii

0 11

les ee–

tire enfuite poue les déeoudre,

&

les faire feeher a l'aie .

D e cene maniere, une bafanne peut ccre paef.icement

apprecée en moins de deux mois.

Vo)'cz le diBion"aire

dI<

e om>l'l.

C H

l P

PE,

f.

f.

terme de P iche,

ufité dans le ref–

forl de I'amieauté de Saint - Malo ; e' ell une forte de

petit bateau en ufage daqs la riviere de Raoeé.

~ HIPPEN.HAM,

(Glog.)

viUe d' Aogleterre

dans le Wiltshiee, fue l'Avon.

L ong .

1.5.38.

lat.

51.

2)".

C1-I IPPING-NORTON,

(GI.g. )

viJIed'An–

gleterre dans la provinee d'Oxford..

CH l p.P IN G-S O DBU RI,

(Glog.)

ville d'An–

gleterre dans la Peovinee de Gloeeller.

CHIPP ING-WITCOMB,

( Glog.)

ville

d' A ngleterre dans le Bueks.

CH I P ROVAS,

( Glog. )

ville de la Turquie en

Europe, dans la Hulgarie , lur la eiviere d' Ogefl, qui

fe Jene dans le D aoube .

C

1-1

l

Q

U E,

f.

f.

(Hift. nat.)

infeae des pays

ohauds de l'Amérique, fautam eomme la puee , dom il

a a-peu-pres la figure

&

la

eouleur, mais henueoup plus

petit.

Cet infeéle fe eeneontre ordinairement dans les liel>x

fees

&

poudreux ; jJ efl forl incommode, ·s' infinuaol

dans les piés,

&

quelquefois fous les ongles , entre

cuir

&

ehair, oii il oceafionoe uoe euiCante demaogeai-.

foo.

Si on néglige de. le tiree de

I'~ndeoit

oii ,'cfr

fixé,

T ome

111:

CHI

il ceoit , s' étend,

&

produit biemÓ[ une prodrgieufe

quanti[é d'ceufs geos eomme des lentes, d' ou Con en

foet

peu de tcms une multitude de petiles

,bi'i"es,

qui

fe eépandeot aut environs,

&

fom IOmbee en poureitu–

ee les panies qui en COOI infcélées.

CeuI qui om foio de fe laver fouyenl,

&

de fe

maimenir propeemem, oe eraignem poim cene taeheufe

ineommodité.

On

a

expéri menté que l'eau dans laquelle on a fait

iofufer des feuilles feches de cabae, étoi[ un bOIl pré–

fervalÍf eontre les

ebif{l/es,

&

meme

que les feuilles de

tabae humeélées

&

appliquées fur

l~s

parties

at~aqu~es

par l'infeéle, I'en eha{foieot

&

le falfOleot moam trcs–

promptemem .

e

et qrtid. eft de M.

D E

S

A I N T -

R OMAIN.

• C

H I

Q

U E,

f.

m.

(M",,1I!a¿f. en foie

)

en h alien

cochelto,

mauvais eoeon de foie, dans lequel le ver efl

mor! ou fondu,

&

qu'jJ cll ordonoé pac les réglemens

de Piémol1t, loes du tirage , de féparee des bons

eo–

eons.

Voyez. I'"rtide

SO l

E .

CH lQUET E R ,

v.

3.

terme de e crdeTIr,

e'ea

déehirer la laine,

&

la

dém~ler

en l'allongeam,

&

en

la rompam

a

plufieues fois différentes. • .

.

eH I Q

u

E TER,

c'cfl,

chez les P atiffiers,

fatre .u–

ne forte d'ornement autour! d'un g3teaU

1

ou autre

pIC–

ce de pácilferie , en y Ira,am des rayons avee un eou–

teau.

C H

l

Q

U I·T O S,

( 5 10g.)

peuple de l' Amérique

méridionale, dans le gouvernemene de

~anta

-

Cr~z

de

la Sierra.

11

regne

par.mi

cux des

~aladles

coma¡;,euCes

tres-frequentes . Pour y rémedier , ,ls fom moum une

fcmme, paree qu'il, Cone perfuadés que les. femmes

font

13

c:lUfe

de

taus nos mallX .

U

De

pante de

ces

peu¡¡les

cfl

Co·amire aux Erpagnols.

C

H

~R

A ,

(Glog . )

lIe de l' Amé,ique

fepteneriona~

le dans la nouvelle ECpagne, Cur la mee au fud.

eH

IRA G RE ,

r.

f.

(Medec i"e)

goune aux mains.

V O)'C"G

G

ou

T TE.

Ce mOl vient de

%"1 ,

main,

&

de

",..tllt ,

Je prenI.

La

chiragre

a f€ln fiége dans le carpe ou le poignet,

dans les artieulatioos des doigts ,

&

daos leues

difféeeo~

tes phalanges .

Ce terme n'cll guere d'ufage qu'm

Hallco"nerie;

la

chiragre

efl une maladie qui caufe des pecits nodus aux

joincures des mains des oiCeaux, qui en empéehenr le

libre mouvemcnr, de fone que les oifeaux oe

peuvent

avillonner le gibier . O n eonnoil qu'ils fonl a[Jaqués de

ce mal quand ils s'appuicnt camÓI Cur un pié

&

tamÓt

fll r uo

"mee ,

~

qu'ils. one les doigcs enfiés. Pour les

guérir , il

toU[

les leur fronee avee du vinaigre

&

de

l'eau,

011

I'on aura Mlayé du blanc d'ceuf ballu

aupa~

ravanc. Au l¡eu

d'cau naturellc,

00

pene fe fcrvir d'eau–

rofe,

&

ajoGcer quatee drag mes de poudre d'aeaeia , a–

vee autam de poudre de eire d'ECpagne.

*

C HIR A MAXIUM,

(Hifl. anc.)

petite voi–

ture dom la eonflruélion noos ell ineonnue:

a

en jugen

fur l'é,ymologie du mot, ce pouvoit étre une de eel–

les qu'on pouffoit avec la 1113in,

&

qui re(femblent

ii

nos broüetces.

C

H

IR

B l,

(Glog.)

e'ell le oom de quatre lIes d

la mee

M

éditeeeanée, tituées

encr~

la Sicile.

&

la

COI

d'Aftique.

C H IR

1M

OY A

~

f.

m.

(Rifo·

n.at.

)

fruit du Pé–

rou de l'efpeee qu'on nomme daus les tles Fran,oifes

pom'me de canelle

.

Mais eelui du ·Pérou efl beaucoup

plus agréable,

&

on lui donne eommunément la pré–

férenee fur l'ananas. L e goilt en ell fueeé

&

vineuK, .

la figure approche

~e

celle d'une pomme, elle

.Ce

tee,

mine. un peu en polllle; fa grolfeur varle depUls eelle

d'uue pomme médiocee, juCqu'a celle des pommes les

plus geofTes que nous connoi{fons en Europe . La pea

u

en efl. d'uo v·erd [e(/le, eouleur d'arciehaut. . Elle el!:

eomme beodée de eompartimens en forme d'écailles.

Sa ehair efl blanche, molla{fe, eompofée. de 'plufieurs

veines adhérentcs les unes aux autres , ma" qUJ peuvent

fe décQeher . Le nombre des pepins varie benueoup ; ils

fom oblongs,

&

un peu applatis de einq a lix

Iigl~es

de

long ,.fu, trois

quatre de large. Leur peau efl hITe

&

noire . Ce fruit ceoít fue uo arbre hauc

&

touffu; fa

fleue ·a quatre pétales >

eJ.le

cll d'un verd brun

&

d'une

odeur tees-agréable.

Arucle

~de

M.

DEL A

C

qN D

1\.–

MINE .

C H

l

R

l

S O N D A,

( Glog.)

ville de la Turquie

en Afie dans la Natolie, fur la eÓce de la mer noiee,

dans la provinee d'

A

malÍe .

• C H

1

RO D O T A,

f.

f.

(Hift. anc.)

C 'étoie

che"/. les Grees un velement avec des manches , qui ré..

00,

poo.