1000000034

294

CHI

(ois: la premiere édition Frans;oire parut, jo .erois,

Paris en

S7' , Guillemeau les a traduites en L atlll,

les

publiées en

' 582 ,

in-fol.

Elles parurent

Paris en

Frnn~ois

pou r la qllatrieme édition eo r s8r . Elles out

encore paru

F u ncfort en

' S94

r6ro,

in·fol.

E.n–

fin elles out élé Iraduite en Anglois, en H nllando,s,

en Allemand.

Pececttii (Frf111Cifc.) Chimrg;" , &c.

Elle ell dillribuée en qllalre livres théoréliques

pra–

tiql1es. L a premier. édition parul

che~

les Juntes en

, 6t6,

in-fol. Francof.

\ 619,

in·

8°.

vol.

enfi n

Pavie

('Tici,,! )

, 697 ,

in-fol.

M algré louteS ces

é–

ditions, c'ell un ouvrage fort illféricur

cel1X d'ltalic

m~me.

ticcle.

Severi" i (1I-1arc. /l flr .) trimembris Chirttrgia; Franc.

16J3, ¡",L4°·

Se,'erini , llé dans le róyaume de Naples , cultiva

é–

g~leme11t

l' AnatOmie comparée

Cbirttrgie .

N ous

Jui . devons de bons ouvrages dans

I'U11

daos l'au–

tre genre; Itls Coot cellX de la 7.ootomie, des abees,

de la Medeeioe emeace. S.

Chimrgie

a élé réim–

primée pllllieurs I('is; mais I'édilion de L eydc en '725' ,

n-4".

eH pr¿férablo

,outes les préeédenles .

I/efalii (/lndr.) Chimrgia magnll; f/met .

15'69 ,

in-

8° .

daos la eolleéHoII de tes (Ell v,es .

JI faul cOllooÍlre la

Chirttrgie

de VéCale, quand ce

Ceroit

que paree qll'il cll le prince des A oatomilles.

f/igo ' (Joh. de

)

praélien i" arte CbirflrgietÍ, &c.

Jamais liv re de chi,urgiell n'a el! un plus grand nom–

bre d'¿ditioos , ni piliS rapidemeo[. L a premiere pOrll [

Lyon eo lf l 6 ,

in- 4

puis en 1S18

in-4°·

1f34 ,

S4i ,

in-SO.

Fl orenee en 15"2)- ,

in-SO.

Fr,n~ojs

París

~l!

15"3.° ,

in-fol.

L yon eo 15"37,

,,,_8° . en

lta~le,~

VCIlICC en IHg, 15'60 , 15'69,

in -

4°· eo AnglO1s

Londres en

i43 ,

f. l.

1,-86 ,

in-

4°. mi".

en haut Allemand

Nurcmberg en IS77,

in-

4° .

&c.

E n effer eel ouvrage , qui éloil le meil leur de

Con

tems, reoferme de fort bonnes choCes . De Vigo , né

daos l'trat de Gimes , Reuri a oit avee le plus grand

é–

e lal au eommencement du

xvj .

fieele .

fqt res:il do–

éleur en Medoeine,

enteodoit fort bien l'A oatomic

la Pharmaeie . Sa haute r.épulalioo llli valut la pla–

ce de premier ehirurgien du pape J ules

11.

qui mou–

rut le

2 1

Février I j t4,

de Vigo lui (urvéeul.

tVifeman ( R icb.) Chi,."rgieal treatifa; L ond.

1676,

fo l. cd.

' 7 ' 9, 8°.

vol. ed .

sa .

C'ell le Paré des Anglois,

il n'oot point eneo"

re eu ele meÍl leur coms complcr de

Chirurgie

que ee–

' Iu i ele \Vifeman, auq uel il f.u t Joindre le lr3ité de Sharp,

Iraduit en

Fr"n~ois ,

P;\tis 1741,

in·

12.

J e parre (ous filen ce les mdlleurs ouv rages de

Chi–

yu.rgie

unt paru en langue Efpagnolc, tels que ccux

d.e FragoCo , de D . Manin Martinez,

&c.

eo ltalie1l

ceux

]\Ilar ieri, de IIaelli, de Bcoovoli ,

&c.

en H ol–

landois eeuX

S olin!;en, Barbene, Bomekoe.!,

&".

Allemaod cellX de Holder, .I oc l, LeauloL1,

l~otheius ,

&e.

paree que tous ees aUteUFS ne pellVel!t ferv ir qu'iI

1111

pelit nombre de gens qui eOlendent bie o les lao–

gues daos ltfquelle jis om écrit,

q\,e d'.illeurs ils

ne renfennellt les uns

les .utres que ce qu' on trou–

ve origioairement dans nos aUleurs L alios

Fran–

eois.

• Mais il ell

U11

autre genre de liv res Ires - utiles; ce

fom les obCerv,tions chirurgicales qui oor éré dono ées

par un grand oombre d'auteurs. J

vais oommer les

priocipallx, parce qu' il ell bon de les eounoltre pour

les conCulter daas I'oceafioo.

Chaoert,

ohjer'll,,'¡o1J1 de Chi"lIrgie pra!i,!ue;

Paris

724,

in~

Couillard ,

obfervationJ jatro-cbirl,rgit¡ruJ.

Gautier

(r'l.'o;~iJ)

obftrv.

Medico-ebiYltrgic.

Gronin–

glC

1700

;11-4 0 .

Gehema (')a¡ú /lbrah.

,¡)

offer'llationcs

hir ftrgicd! ;

FrarJcof.

1620.

Gherli (Ftd'llio) cen"'ria d'ojJervaziol1i rare di Me–

¿i,ina e

hirlirg;a; in {/enezia

1719,

in-

2..

.Habicor ( ieolas)

prob/<mu medicinf1"x

chi",r–

gtcnux;

París

1617 ,

;n-8

0 ,

Dran ( Henri Fran'Yois)

obfervatio1JJ de Chimrgie;

Pans

3!,

'''- 12.

vol.

111,!ycbe!tis (P"rlll de ) f)'lIoge obfer.'at. lIlJedico-cbi–

rltrg:cat;fl~n

rnr;orttm; PlIta'lJ.

1664, 8° prcnl. édit. en

16/f, edlt. auJ5..'.1l.

lllJukeren

(

job/u f/an .

)

ob(er'~/ationC1

Medico-ehi-

rtlr

te:";

/1m

fiel.

1 6~8;

i1]-So.

1\ .

'o""ch,1] (H",n e.

4 )

obferv. J.lledico.Chi.."rgicd!;

D re[dtl!

1Ó91,

ir.-12.

CHI

lI10yt. (Joh".) Chirurgical memoir<J btnig

Ac–

tJow;t o[ ma".J cXlraordil1ory CTtrn;

f ondo

7?8 ,

In-

1 ~_

Mulltri (Job. M ath.) ob(ervat.

wratton" Ch,–

rnrgiete rortoreJ; Norimb.

1714,

¡n·8°.

. Mu)'f

(

J obn.

)

obf.,vati011llm Chirllrgicarll!" dua.–

des 'I'';'''1"e; Lugd .. Bat.

168j,

in-12. duo

'II}.

VI} .

L ltga. B at.

1690,

111-12.

p"hli"i (Joh"". Nic.) obferv. pYI·1I1ed. Cbimrg.

. HQmb.

1691,

in-4" .

Pezoldi (Carp.) obferv. M,dico-ch,rttrg. Urnttlla'll.

171j,

in-8°.

R ofcii (1I1att.) obr"vat. Medico-eh,mrg1C. Franeof.

16cS,

iu-8" .

Saviard,

nOft'lIetlft.

rceTteil d' obfervations chil"lIrg;(,

Paris 17°2,

in-12. prem. ¿dit.

Sprd!gelii

(

Diéleri~.

)

:,bfervat. Cbirttrgic.c feleélio-

r~J

;

H e/mot.

1 720,

In-4

'Tri"" (Corndii)

obfu~'ationt,m

M ed1Co-chtrllrg1C.

ff1(ci."¡"s; L1Igd. B at.

174i; ;»-4°·

ftg.

'Tulpii (Nic. I.) obfervat. L IIgd. B nt.

1716 , 111- 11.

eu'"

jig. .

Vagret

Obf.,·. lWedico-ehirllrg.

Paris

~18,

i,,-8°.

IFalter" ( Conrad. L1Idov.) obferv,

lW.dt

<o-ch,I"Itrg.

LipJie.

I]'i,

in-8°.

"Vi"ii ( J o.6. ) obfervat. M edico-ehirllrg. /lm/f.lod.

I ()f7,

in- T2 .

tViel ( C.rnel. Sealpart. f/ander.) obfen'at. yarior"

M"di~o-anf1tom.

chiY1lrg. L 1Igd. B nt.

1607 ,

in-8°.

>-.

tomo

Remarque? que daos la plilpart des écrils d' obrer–

vations medicinaks, les ehirurgieales s'y Irouvellt com–

priCes; nouveau foods tres - eonlidérable de livres , oa

'on puiCer. bieo des eonnoiffimces .

Ellon on les éteodra par la leaure de toures les ma–

tieres de

C hirTlrgie

qui

cntrellt

perpé t1lcllcrncnt dans le

recueil des diver!;,s Acndémies de l'Europe,

parti–

culieremen l

dan~

celui de l'Académie des SciclIces,

de I'académie de C hirurgie.

Qualll aux meill eurs traités Cur des Cujels particulicrs

Chimrgie ,

trop nombreux pour que j 'elHre da liS ce

dél,il ,

ell ,blolumellt nécerraire de les Iire

de les

conrulter .

0 0

maoque d'une eCpeee de bibliotheque chirurgica–

le qui indique les bous . ulcurs Cur la

Chirurgie

~é

n.eral,

eo particulicr Cur

ehaqu~ matier~, av~c

UII

pré–

c,s

un Jugement de leurs ée,ltS ,

nI\

I,<u de ces

ti–

Ires

Cees

de livres

d'éditiolls eopiés fur des catnlo–

gues de L ibraires , tels que nous les O'H doollés Mc–

reklin, Alberti, Gocricke, Lippeoius ,

autres. Noos

avoos tam de trailés fur les diftéretltes malndies c1l1rur–

gicales, qU'Ull

commen~ant

qui

Vcut

approfondir Io n

3rl ell obligé de payer

I'élude un immt'nCe tribut de

Ieames illmiles,

COll \'eLl t proprcs

I'égarcr . Avant

que d'" tre en étal de ehoifir Ces guides pour découvrir

11\

vérité , il a déJ' épuifé

Ces

forcos. Ce Ceroit done

uo graod C.rvice de le guider, de I'éelairer, de lui tra–

eer les roUles courtes

Cures, qui lui éparglleroient

lou t cnCemblc un

te.ns

précieux,

des

crr~ur;

dao–

gereules. Mais I'on defirera pem-elfe elleore long-tems

I'ouvragé mile que je propole; il tilut trouver pour I'e–

xécution un m altre de

1'3rt,

qui réuniOc

:1UX

lumieres

au laifir le travail

le goat, ce qui ell rare.

/lre.

IV1.

hevf1licr

A U

e o

U R T •

L '/lcaNmie ro)'ale de

hirurgie,

élablie depuis 173

r ,

eonlirmée par lettres patentes

174S, cn lous la di–

reaion du Cecrélaire d'élat de la maifon du Roi ainfi

que les aUlres aeadémies royales établies

Paris.'

Le premier Chirurgicn du Roi y préfide' les arr.m–

blées Ce liennent dans la ralle du collége de Caint

Có–

me , le .leudi. L e Jeudi

d'apre~

Q¿tafimodo,

elle lieot

une alTemblée publique, dans laquelle l' aeadémie dé–

ciare le mémoire. qui a re'!'porté le prix fondé par feu

M . de la Peyrolllc . Ce

ptlX

ell

une médailie d' Or de

la valeur de Seo liv. ceUe médaille repréCcllIera

daos

quelque tems Que la dillribution s'en falTe, le

b~lle

U 1S L E

B ,

E N - A 1

E' •

CH IRl!R<O!IEN,

(m.

celui qui profeae

e–

xcree la

Ch"urg,~.

V O)" :¿

R U R G 1 E .

L 'c!tat des

Ch1rt1rgre11l

été diftérem (ilivant les

révolutions

dift"érent~s

que la Chirurgie ; éprou vées .

Oo. I'a vOc daos tro,s érats différens,

les feuls qui

étOlelll poffibles poor elle, D e ces Irois états, deux Ollt

été eommuns

toutes les nalions étraogeres,

troí–

(jeme a été particul ier

la. Fraoce.

Le premier élat de la Chirurgie, celui qui 6xe

nos

yeux, comme le plus éclataot, du moios chn les na–

tíoDS érrangeres . ce fut celoí

011

eet

art

trouva apres