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AP~

10

=-

70. 000.

- ;>..

62

9

+

7f·

430

Y

=

°

7f·

430

y:=;

2. 62

9.

- - ---

y=

2. 629:

7).

430

:=;

o. °348.

Done

x=

f ·

1+

0.°348=

f.

1340,

&

ain(j de Cuite

a

I'infini. JI ea évident que plus on

réitér~ra

I'opéra–

tion, plus la valeur de

x

approchera de la valeur exa–

élc de la raeine de I'équatiou propoCée.

Cette méthocle pour approcher des racines des équa–

tions Ilumériques, ea due

a

M.

NewlOn . Dans les

mlm. de J'aca". de

1744,

on rrouve un mémoirc de

M .

le marquis de COUrtiVroI1 , ou il perfeélionne

&

/implilie cene méthode . Dans les

me",e! mlmo;rtJ ,

M.

Nicole donne 3Um une méthode pour approcher

des raeines des équations du troilieme degré dans le ca!

irréduélible;

&

M.

Clairaut, dans ros

trlmen! d'Alge–

bre,

eoreigne aum une maniere d'approcher de la raci–

De d'uoe équation du troilieme degré dans ce

m~me

cas.

Voy.

C A S

'R R

E'D U

C TI B LE

d"

troifieme de–

grl .

{a)

.. APPUI, SOUTJEN, SUPPORT.

L'ap–

pui

fortific, le

foúti",

porte) le

["pport

aide;

I'app"i

ea

a

dllé, le

fodtien

dclfous, l'

aide

¡¡

l'un des bOUlS:

une muraillo ea

app"yle,

une voute ea

fu,ttem..

,

un

to!t ea

fupporlé:

ce' qui eft violemmelll poulfé

a

be–

foin

d'apptú;

ce qui eft

~rop

chargé a be[oin de

foll–

eien;

ce qui ea tres-long a beCoin de

frtpport .

Au figuré, l'

app"i

a plus de rapport

a

la force

&

a

l'aulOríté; le

jót2t;e",

au crédit

&

¡¡

I'habileré;

&

le

[uppor',

:l

I'affeélion

&

a

I'amitié.

II

faut

app1lyer

nos amis dans leurs prétentions, les

fodt",ir

dans I'adverliré,

&

les

f1lpporter

dans leurs

momens d'humeur.

ApPUl

011

POINT D'APPVI

d'"n levier,

ea le

point fixe autour duquel lé poids

&

la puilfance rone

en

équilibre daos un levier; aina dans une balance or–

dinaire lo poine de mílieu par lequel on CuCpend la ba–

lance, ell:

le

poi"t d'appui.

Le

point d'app,.i

d'ul1

le~

vier, lorfque la puilfanoe

&

les poids ont des direétions

paralleles, ea toujours chargé d'une quantité égale

:l

la

[omme de la puilrance

&

du poids . Aioli dans une ba–

lance ordlnairc ' bras .égaux, la charge du

poine d'app"¡

ea égale

la Comme des poids qui fom dans les plars

de la balance, c'ea-i-dire au double d'un de ces poids .

00

voir aum par cene raiCon, que

I'app".

ea moins

chargé dans la balance appellée

roma;".

ou

pefo",

que

dans la balance ordinaire; car pour peCer, par CIem–

pie, un poids de (jx livres avec la balance ordinaire,

il faut de I'autre cÓré un poids de

fi x

livres,

&

la

charge de

l'apII"i

ea de dou'l.C livres; au lieu qu'en Ce

fervant du peron, on peut pe[er le poids de

lix

livres

avec un poids d'une livre,

&

la charge de

I'appu;

n'en

:\Iors que fept hvres.

Voyez

PESON, ROMA1NE ,

&c.

(O)

A

p

PUl, ( m .

terme d. TOI<yneur;

c'ea· aina qu'

ils appellellt une longuc piecc de bois qui porte des deux

bouts fUf les bras des deux poupées ,

&

que l'ouvrier

a

devant lui pour routenir

&

;lffermir Con outil . On lui

donnc aum le nom de

barre

ou de

fsppore

du tour.

Vo)'ez

SUPPORT

&

TOUR.

A

P

PUl,

en Ar.hit.aure,

du latin

podi"",

,

Celon

Vitruve; c'ca une balullrade entre deur calonnes ou

entre les deux tableaux ou pi6s' drnirs ,d'une eroi rée ,

dont la hauteur intérieure doit ctre proportionnée

¡¡

la

grandeur humaiue, pour s'y appuyer, c'ell-:i-dire de deuI

piés un quart au moins,

&

de trois piés Ull quart au

plus .

Voyez

B

A L U S

T

R A

DE .

.

On appelle aum

appu;

,1

un pelÍt mur qui répare deux

cours ou un jardin , Cur lequel

011

peur s'appuyer : on

appclle

appui co"t;n",

la retraire qui tiene lieu de pié–

d'eflal :. un ordre d' Architeéture,

&

qui dans I'inter–

valle des enere-colonnemens ou entre-pilaares , Cert

d,'ap–

pui

aux

croiCée~

d'une fac;ade de batimens .

On dit

appni

all.gl

,

lorrque l'

appui

d'une eroiCée

er.

diminué de ¡'épailfeur de l'ébraCemeijt, autane pour

rcgarder par-dehors plus facilemenr, que p.oUf [oulagor

le lintex de celle de delTous.

-

On appolle

appui évidé,

non-Ceulemem les balu(lra,

des , mais aum ceux ornés d'enrre-Iacs percés

:i

Jour,

te\s qu'¡¡ s'en voit un modele au pariayle du Louvre ,

du cÓté de

S.

Germain l'Auxerrois .

On

app~l\e

apptti rampmlt,

celui qui [uit la rampe

d'un eCcalJer, (oit qu'il Coit de pierre, de bois ou de

fer.

Voye>;,

R

A M

I'E.

( P)

_

JI..

PPUl, e'eft,

en

e

harpe.nte~ie,

le nom qu"on don–

Z"ome l.

APP

ne

ame

pi~ces

de bois que I'on met le long de. gale–

nes des eCcaliers

&

aux croÍ!ees.

I/oyez la Jlg.

17.

n·.

31·

&

la fig·

13 ·

n°.

3.

L'uláge des

appuú

eft d'em–

pccher les pa(]ans de tamber .

A

P

PUl,

<1¡

terme de ./I'lanl$e,

eO: le [enrimene ré–

ciproque entre la main du cavaher

&

la bouche dll che–

val, par le moyen de la bride; ou bien, c'el! le [entl–

ment eje I'aélion de la bride dans la main du cavalier.

Voyez

MAIN, FRE I N, MORS, BR ID E ,

&c.

Un

appHi jin

re dit d'un cheval qui

a

la bouche dé–

licare

a

la bride; de maniere qu'imimidé par la rcn(j–

bilité

&

la délicate1Te de fa bouche, il n'oCe trop ap–

puyer rur fon mors, ni bame

ii

la main pour rélilter.

On dit qu'un cheval

a

un

app"i fOllrd, obIU!,

quand

il

a

une bonne bouohe , mais la langue li épailTe que

le mors ne peur agir ni poner Cur les barres, quoique

cer effet provienne quelquefois de l'épaiUeur des levres.

Un cheval n'a poinr

d'appn;,

quund il eraint I'em–

bOllchure qu'il appréhende trop la main,

&

qu'il ne' peut

porter la bride:

&

il en

a

trop, qualld it s'abandonne

Cur le mors'.

La

rene de dedans du ca

Ve~OIl

attachée

courte au pommeau, en Ull cxcellene moyen pour don–

ner un

appui

au cheval , le rendre ferme

ii

la main

&

l'aUarer: €ela eft encore utile pour lui aUouplir les é–

paulcs,; ce qui donlle de

I'appu;

ou il en manque,

&

en /Jte ou il y eo

a

trop.

Si l'on veut donner de l'

app"i

a

un chc'fa!,

&

le

meltrc dans Ca main, il fam le galopper ,

&

le faire

roovenr reculer Le plop érendu eft aum rres-propre

ii

donner de

I'app,,;

a un cheval, parce qu'cn galop–

pant il donne lieu au cavalier de le tenir dan$ la main.

Apptú

plú"e main,

c'eft-a-dire

appui ferme,

("ni

toutdoi; peCer

a

la main,

&

Cans bamc :. la main.

Les chevanx pour I'armée doivent ayoir

l'app"i

a

plei–

ne main_

.!Ippu; ate-d.l" d. la plún. main

00

plu!

",,''¡

plei–

ne main,

c'en-a-dire qui ne force pas la main, mais

qoi peCe pourtant un peu

a

la main: cer

app,ú

ca boa

pour oeux qui, faute ·de cuilTes, fe tiennent

a

la bride .

(f/)

A

p

P U

1- M A 1

N, Cuba. m. baguette que les Peintres

tiennent par le bout avec le petir doigr de la main

guuche,

&

Cur laquelle jls poCent celle donr ils travail–

lem.

JI

Y

a

ordinairement une petite boule de bois ou

de tinge reverue de penu au bout, qui poCe Cur le tablean

pour ne le las écorcher.

( R)

A P P U S E,

r.

ql!

lerme d'AJhonomie,

dir du

mouvemem d'une plal1eté- qui approche dc Ca conlol1-

élion ave,c le rolcH ou une élOile.

f/oyez

C

°

:.¡

1

o

N- ·

e

T

ION. Ain(j on dit l'

apP'''fe d. la Irme

4

""e étoi–

le

jixe,

lorfque la lune approche de cetre éroile ,

&

ea

pr~te

de. nous la caoher.

Voy.

O

e

c

u

L T A

T ION .

(O)

APPl!REMENT

d'u". compte, terme d. Fi.

na",,!

&

de D ro;t,

ea la tranfattion ou le Jugement

qui ell rermine les débats

&

le payement du rel iquat,

nu moycn de quoi le comptable demeure quitte

&

dé –

chargé.

p"y.z.

C

°

M P

TE .

A P

P

U

R

E

M

E N

T

d'n» <ompte,

ea l'approbariQn des

articles qui

y

[om pon és, COntellant décharge pour le

comprable.

L es Anglois appellent

cett~

décharge un

"u;etu! eft,

parce qu'elle Ce termine chn ellXO

par la formule lari–

ne,

abinde

~ece/fi.t ""ietu~

I/oy<:(.

C

°

M P

TE.

(H)

A P P U R E R

I'or. moulu,

"~rme

¡je Dqreur fsr.

métal,

c'en,

apre~

que

I'or en chaux a éré amalgamé

au feu avec le vjf-argenr, le laver dans plufieurs eaux

pour en <'Irer la cra(]e

&

les Ccories .

A P

P

U

Y E',

adj. m.

00

dir,

en ter,,!e de Glomé–

trie ,

que les augles dont le Commer eH dans la circón–

férence de quelque fegmem de cerele, s'

"p/,"yent

ou

COIIt porés Cur I'are de l'autre regment de de/lous . Llinli

(fig·

78.

Glo;,.alt.)

I'angle

ABe,

donr le Commer ea

dans la circonterence du re(l.ment

.!I Be,

eH

dir

"p–

ptl)'é

Cur I'autre fegment

A

U

C.

Vo)'n

S

E

G M

E NT.

(E)

_

-

A

p.

P U

YE R

de!

de,,~,

(Manlge.)

c'ea f,apper

&

enfoncer les deux éperons dans le fianc du chevaI .

Appttyer 01lvertement de¡ deux

,

c'efl qonner le coup

des deux éperol1S de lOute [., force.

IIpp"yer le POil1-

fon,

c'ea faire rentir la pointe dll

poin~on

rur la crou-,

pe du cheval de manége pour le faire rautcr .

Vo)'cz:

POINS;ON.

(1/)

A

P

P

u y

E R

le! chien!, en V énerie,

c'efl [uivre

IOU–

tes leurs opérations,

&

les diriger, les anrmer de la

tromFe

&

de la yoix.

A P P

U

Y

O

1R, f.

m.

pOllf prelfer les feuilles dé

.

Yyy

2.

fer-

/