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-

45

8

APO

cleux parlies 19a1es, le diviCoieut iDc!galement de . pln–

lieurs manieres.

(l/oye>:.

lNTERVALLE.) D e I'une de

ces

divifiuns inventée par Pythagore, ou plutÓt par Phi–

lolaüs fon diCciple, rérultoit le diefe ou limma d'un

có–

té,

&

de l'aUlre

I'apotome,

dom la raiCon ell l048

a

:2.187. I/oytz

L

1 M M A.

La géllératiuo de

I'apotome

Ce rrouve

a

la feprieme

quinte,

ue diefe,

en commell<¡anr par

ut;

car alors la

quantité dont cet

Ht diefe

furpaífe

l'ue

nalUrel, ert pré–

c if¿ment le rapport que nous venons d'établir.

(S)

L es anciens appelloient

apotome mal ""

un petit in–

¡ervalle formé de deux fons, en raifon de 12f

a

128,

c'ell ce que M . Rameau appelle

'["are de ton enhar–

m oni,!,,,

dans fa

D lm.1If1r. du prln'. de I'harmonie,

Paris 17fo.

lis appelloient

apotome mineur

I'intervalle de deux

fons , en railon de 20 2f

ii

2048, imervalle encore moius

fenlible

a

l'oreille que le précédent . (

O )

A PO T R E,

r.

m.

(Thlologie.) apojloluJ,

du g,rec

.....(".AOf,

compofé

d'

c•• ,

&

de

~b..A.,

l

en'lJoie :

ce

lnot

a

été employé par H érodOte

&

d'autres auteurs pro–

fanes, pour ex primer diverfes fortes de délégués: mais

daos le N ouveau Tefbment

il

ell le nom donoé par

excel lence aux douze difciples de Jefus-C hnfl, choifis

par lui-meme pour precher fo n Evaogile,

&

le répan–

dre dans toutes les panies du monde.

Q uelques faux prédicateurs contellerent

a

S . Paul fa

qualiré

d'apótre,

parce qll'a les entendre,

00

ne pou–

y oit fe dire envoyé de jefus-Chrifl fans l'avoir vu,

&

fans avoir été témoin de feS aéliolls. Pour répondre

:1

ces foph illes qui avoient féduit les églifes de Gala–

tie, il commence par ces mo:s l'épltre auX Galates :

P artl apótrt!

n011

des

h9mmes

ni par

leI

hoyameJ ,

YAais

par ']_fI!J-Chrift

&

Di", le Pe,,;

leur

f"ir.~nt

aioli

connoltre qu'il avoit fa mimon immédiatement de D ieu.

Son éleélion efl clairement cxprimée dans ces paroles que

p icu dit :\ An2nie en parlam de Saul converti.

Aa. cap.

JX.

ver!

16.

l/aJ deaioniJ e/I mihi ifle, ut porttt no–

m en mell.m cor am

gentilJ/tI

&

regibuJ ;

ce qui fait qu'il

eH appell é par exeeflence

I'ap ót"

del

Gent,",

a

fa con–

ver lion derquels il étOit fpécialemenr deltillé: mais ilefl

a

remarquer que malgré ce témoigllage

&

la vocation

cxprcllc du í¡lint- Efprit,

fegregaee mihi Saulttm

&

B ar–

lIabam in Opt" ad (I',od tiJ/¡tmpji eOI;

il ajouta encote

la mimoll ordiuaire

&

légitime qui vient de l'Eglife,

(1) Poor ce ql1i

reg:ude

1'-!rutli,ion

des

Ar6tres .

éL'\blir

qp'ib

étoien!

des ignorans •

qUI

m,'

(C.1\'Olcnt

p;tc rnému le

Grc:c.

&.

que (amI

l'aul

¡J.t

ceda de

(0 1

méme

J .lIlS

fa

p(t'mlere: l:.p1uc

Olnx

Corin–

thj,..n..¡

I

c'cfr ;l/Híter un

'0\

t .

done

plullcurll

perfonra-.!o

h, biks d. ns

de (t:mbI3blcs

m~l[Icre

.. nc f{'ont ricn pcrfuóldét:..

N.,I

¿/ú",

d,

",,..

d.ln5 (on

livre dc:

f..:numens

dc:s

Th<!o,oglcns de HOII.lnde:t éré

le pren:il!r

~Iui

a rC:l)an,lu cl!rw im:lgm;¡rion; celul

qUI

~ ;lppllqu~

le

pall:1.ge

de

r..

im l'aul

a

la

bngue

Gre:"IlIe,

3

été

{:aint

Jér6me.

qUt en rc!léve (el1lemt:nr qttC {aint 1'aul n'étoit POlOt éloqucnt en

Grec ;

c..:

qui

ne:

VCllt

1':1

d¡re qu'il l'lgnorolt ab(olllrnent,

(V)

(1)

L:l

¡iter,Hure

des Apotres c'cft une pawc d'érutlition

qui n'en

r3~

;07éj~li?t~i~ · d!~sYle: te~ti:~~;ed~lfsce~~,n~~~sét~blir~~~aqu~:lÍte ~~~:

'feor

aVOIf

choiCi pour

(es

Apotre!'>' Je"

hammcs

m~pfl{Olblcs,

vils.

&"

ignor.ln"

lis

~to¡cnt d'cxtr;H~llon

oblcures . des fimples

&:

gro{ ..

ricrs

péchcurs.

:Ill

dire de!>

AIIAun:n

de

Civil.

Dei

1.

:niiJ C.

1

L.

~('I.h

di.!cipu{O/ , 'JHU

&

...AfoP,/u

nomjfla~it,

IJkmi{ittr nAtos

;nJJ,no~

rArOJ

tX im¡t,.¡,ifFmiJ . t.'I( AbjtOi.JJimis

u:

pAHClJ;imil ,IIumfllaIJI Hr,

IJ.bi/ilall1ur

Un étOlt

·g~nl!r,:lIemenr

u'opiolon

qU'JI~

lulh m dt!, Ga–

liJéc.! :

&

1"

Galih!e

é tOlt

une I)rovince llue I'on

Cro)'Olt

inc"pabte

de

h~~~i~ ~;;iSd~CbOqnu~l~e~n~~j~a~~r~t,~~~s!u~~rl~ffiJ~~éI!Pl.u)L~nut;aie~:

t.rI!

mc

t?aunété tiroit

<ks

vil".

&:

mépri{ables

mc.tk

u ,

le

fi /T'ple

neCt:031re.

d~

quoi

vivre

du jour .\ la jouroée, Le::

{~ul

MAUhi'M

fut

a

(on

.::ti{e. mais

il

étoit

I'ublicaio.

&.

1',,1*'

poli.

&.

CIVil.

maí, il

ne

{m pas

d'cntre

('eux

qu'ils

connurc;:nt.

&:

fuivirent

J e–

ftl$-ChriO:

dans fa Prédicatloll , Lcur humble naillanct=. Icurs vils

mécier.s.

&:

leur

extréme mlfcre

fonc connoÍtrc qu'ih ne pOUVOlt:nt

' tre

que

des hommt:.s f.::t!ls Jeme.,

&

jgnor;¡n$: le méme l.hrrtl–

le

deel3ra

dalu

S,

M:uthlen

c. xj

( ,,,filtm' tib; PAr",

D O'f;rlt a l i .

rI7

,t" r. , ,/U;A Abftondij1;

luu

fAp¡~nt;~)I1

i7

pr1fJtnJi/¡uJ.

i7

"'~tl4j¡;

'A

pAr"".N{JS

,~

A.l1suCh!l

no~\ .le~

"h

J

XXI)

dc:'

( "'H

v d

C.

v.

l '!trut¡'tOl

.ltbt"~{"JlJ.

di[t1pl'IJIJ

.

b

omnin. 'J".ntum Ad ¡flMII'"

¡tr_

I l lIm

d.a.",nas tm!t",toJ , 1I0n ¡tl'lIO' I.r4mmalltA . n.n ArMA'OS dia!t .

Oiea .

"~"

rhllOrh fl "'fl..,OJ pir.tAtll'U

Ch,./jlNI

rum ra /buJ fidti

.4

'PIAre hU}UI

[uu/¡ pAu,iffimoJ

mijit

p. r1Jú .bfe-urú , miniT/.is , ,'n _

doaú

Ultl

(rtm ttJm ;neYldlbilrm)

f,

~idiirt

dietfl,/bHs ,

(;;-

[e-rd"n_

,¡buJ e-rd,'di, J,>[,mdH¡

E.t ,), ).!'an Chry{oftorne

dit

d~ ~.

Jean

qU'('n–

tre le

pécheurs

étoit del

"llIs

vi",

&.

pauvre~

,

&

que de

ceLa

me–

m e I'on

pent

comprcndre combie n il fllt ignorant .

&

fans le

rnolO-

dre principe

d'écude,

&:

d~

dolhlOc excéricUlc .

Malgré cel:l

iI

y

a

cu

d'ent~e

le.s

modnnes des

ceux

qui

ont

crn

que les

ApÓtrcs

eu(fent connol1f.1nce de quelqut: erudition I'hilo(o..

r.

hique.

qut:

particuh~remcnt

S.

Jean

fu t

Ihnrvit

F",r

le

doBe Phi_

00,

-&

:lInfi ont

prétcndu de rt:c:onnotrre

d~ns

les prec:epcc'l: Chréciens

qu' j( nous Ont Inilli!s, la doéhine du p::tgo101{me, Plu.s

pan iculiéte.

mcnt les {aureurs du (oc.iniani(me voulurent érabhr

~ue

tout

c:e

que nOllS :lvions de. Ap6rrcI rour 1 .. T tiniré . n'itoit qü

une

Jo6lri_

:te reCGonae

e.cere

par

Jet Pbilo(opbe¡

ancien s En il!,,"oJui(ant

APO

par la priere

&

I'impofit;on des mains des .prophetcs,&

deS ooa urs qui compofoient et!lIe d' Anuoehc .

/la.

.bapit.

xllj.

ver!

2.

{1

3

et)

(2)

On repréteme ordiu.irLtncnt les

dou~c

apótra

avec

leurs fymboles

OU

leur> a!trlbU!, fpécibque,;

&

c'cfl p<m[

chacun d'eux ,

a

l'cxccplion de

~ .

j La o

&

de

~.

Jac–

qu S le maJcur,

la

marque de

tcur

d gnné, ou l'inth u–

ment de leur martyre . Ainti

~ .

l-'ieHc a les cIé' pour

marque . de .fa prim.auté',;

~.

l' aul uo glaive; S. Andr':

une crorx eo fautO";

::í .

]aeqllcs

le

nlineur une perche

de foulon; S . Jean m,e coupe d'ue s'envole un íerpene

ailé ;

S.

Banhétemi un couteau;

5.

Philippc un long

bhon , dollt le bour d'eo·hallt fe termine en croix'

S.

Thomas une lance; S. M atthieu ulle hache a'armes :

s .

J

acques le maJeur un bouro, n de pélcrin

&

une gour–

de ; S. Simon uue fcie,

&

S. j ude ul.e maífue.

00

!3it par les uéles

de,

apótreJ,

par leurs éplrres

par les monumens de I'hifloite eceléfiaUique.

&

en6~

par des tr.lditions fondées, eo quel IiCUK les

apótr"

om

preché l'E,ant;ile. <'¿uelques 3utCUrS ont domé s'ils

n'avoient pas pénétré en Amérique; mais le témoi¡;na–

ge con flant de ceux qui

001

éerit l'hifloire

de

la dé–

couverte du nouveau monde, prouve qu'il n'y nvoit

dans ces vanes comrées nUlle tracé du C hrillianifme .

Poyez

ACTES

l)E~

A I'ÓTRES.

On donne eommunémcnt le nom

d'ap ntr.e

:l

celui

qui le premier a porté la foi dans un pays: e'eil ain íi

que S. Denys, premier

év~que

de Paris, qu'oll a long–

tcm! eoofondu avec S Dcnys I'aréopagite , efl appeir é

I'apótre

de la France(3) ; le moille S. Auguflin,

I'apó–

tre

de l' Angleterre; S : Bonitaee

I'apótre

de \' Allemagoe ;

5. ,.

ran~ois

Xavicr,

l'apót"

des lodes:

00

donDe atrili

le me me nom aux M.iffionnaires jéfuites , D ominicaills ,

&c.

répandus eo Amérique

&

dans les lodes oriema–

les .

Poye>:.

M

i

S S

t

o

N N A

IR

E.

JI Y

a eu des tems ou I'on appelloit

fpéci~lement

a–

pótre,

le Pape ,

:i

cauCe de fa Cur-émineoee en qualité

de fuccefrenr du prince des

apolr<J. Voye>:. Stdoine

.1-

p./lin . liv. P I . Ipit .

4.

Voye>:.

4uffi

P

A P E

&

ti.

P 0-

STOL IQ UE.

A

P

Ó

T RE, étoir encore un nom pour

dé~gner

des

minillr<s ordlllaires de I'Eglife, qui vOy3geOlenr pour

fes intér(!ts. C 'dl aioli que S . Paul dir dans to n épl–

tre aux R omaios,

.b.

XV].

ver!

7.

Sal"." A ndro"''''I

&

]1mia, meJ parenI

&

.0mpagnonJ de ma <aptivittf,

,!ui

~n~e~';~u~~iJ::¡~:lt~~~: ~e~~~~~tel!r~~t:~~i~:sl:ofl':i~~ic~h~~~~~n~~

perfonne dc

j e{lls- ChriCl: . Le:

m~~.doétc.

&.

c~h:bre

Je .•n

Laml

l'ro_

fclleur

d'Hiltolre eccléfiaftiqol! dans l' Univerhté de Florl'nrc ,,'op_

rOr.1

3

CC(

Innov

~teur~

par

(nn

duae

Commcnt:lirc

dt

",01$

eh",' ..

ft,altorum dI

SS

Tri";,,,,,

fnrln". ,

dans

Jequel

il

pr...,u\ '"

'iu,::

le.

AI'OH,"" OIH

eu

en hUCl cur touce: (orte de doelrint: prof,lne . ont

é,é

t...

u""

&

particuliérement S

le"n

I

groffieu.

&.

ig~or.ans,

&.

qu'ils R'om eu . ni .av,m t. ni :"Iprc,

le.:

don dl1 S. l:.(prit

aucune

con"

noilf., ncC' dt:

la philo(onhic

creque •

&.

pour

prouver encore

plus

p:uticultérement

(on

f(:nciml"nt ,

ce:

{..,vOlnt homrne:

publia

Jan~

1'3n_

. oéc 1738 ron livrt:

d~

uuditiMt oApoj/olll'um,

ola

CI!UX

qU'Jh voc_

dront :lpprofondit

ccn..:

m.,tll:r~

poulrolH ,¡voir n=cour.s

c.-Ion

done 1:\ vr...

ie croyance

dc ¡'1:gh{c. toute la

dotlrinc

des

Ap6cres . Icurs fut

cnfeigoéc

pnr

rehl\-ChnO:.

Be

:l.prcs les

~o

jouu

de

(00

A(cenCion infuféc.

&.

coofirméc par le

~.

E{ptit qui 3pparUt

{ur

Jellrs

tetes en

l:lIlgucs

de let! . AY,1nt .don

rCftl le

don J u

s.

Efprit.

ils

eurent,

comm:

l'

éerit S, Lucas , la

pUJllance

en s·t"x ...

primane ch:lcun J4Ins {a langue , de {e {aire

c:omprendrc

daos

le

me_

me tems

llar

tOU~

Ics

I'I: UplCS

d If.!rcnt .. entre eux Jc l<lngue ,

&

de

n;H:on

Er. nI Il,u tm in Hi",H[",ltm hAbi,anttJ ¡ud."

~if'¡

f'tlí'giofi tX

omn¡ mUIO'!t

9N.

[ub c.e/a tft FaO. Autt", hae "tIf(t

cO"~Cnt'

mui,i,u–

da.

&

mmtt

CM/Uf

A

~fl

'JuoIJi.m 4udi,Lat unuf'J"iJ9U'

I¡"!.u,,

{NA

illu

l.qutnUI ,

&c Ad Ap e II

Les

Aporres étou:m

com"fI~

iJar cha_

cun

comme

.s'irs ell

!lf.Qt

p!1r)~

dans

Icar

prnpre langue. poorunt

avec ces J ifpoCitio'l" .

&

m"nleres 'lui leur.s étoient

narurellcs,

puj(_

que par IJ! don du S. Efl'rir ils avolent

re~ue

loute la doéhine \ju;

leut.5 émit needf:\ire

~our

cn{eigner )'mnvctnce.

&

I~

{ó'lInrboE

des

mQ!uu, ét.:lblir

j'Egli(c.

&

répandre l'Ev:¡ngile. De s'¿tcnd:mc

qu'a

ceJ.:l

13

promcff~

de

Jc(lls.Chnfi

d.:lns

leur"!

premiert:

ob{curitc

I'0ur

ce

qu'il

rr.:s~rdoit

¡'crudition

prof:lne

..AliqUR

fH"' ,

ellt

le arJin .. l

ToJero,

in

101l"ntm

c. xvj v

xij.

dnot""da brtt,,'u r Primllm tft

¡l/lId

~trbum

dflubi,

"fIOI amniA rtf, rmdu11l tJTt Ad ..

lju~

a'd

myft"¡'A

ad~tnlul

Cb,¡"jlJ.

Ú

d.Ü-YII14m tjul

p,rrfltlnt .

C;

'Ju.c

. tl

li.ttltjiA ,'"jl rulli.llIm .

&

tl'1!lianlm ntUffAriA "'Ant

Voy'!.z

¿.mi

d.

rmdit ...Afoft

C.

xv.

(G)

(3)

L'cxemple que ¡'on "'pporce ieí de (;¡int

DmJl

nt Jojt €.trc reSó1.r...

d¿ que cornme un cxemple

&

p:u da"antagc:

~i

le De'lys ( ci..

d~~:~;a;~;~ ~~~~'I·~~~~U!1~t~;rr!n n~ep~nt:): Jco~)~r~~ I~:t ~~~~

en Fr:lOce, qllC

dans

le troifi,·me fiede L'epoque: dt: 101

Chréti

'ml!

G01Jllcane fixé'e

par

Sulpice !>cvére ell réhnive Les (.lile. de ,'égli{e

de

L'fon

(OOt

plus aneien, que

la

ve:nue

de

Den)'.

en France .

Cet–

te égh(e

étoit

.é:abJie

déj~

8c.

c.'n gr.lnde

réput~t~Ott

OlV3nt

que Pa..

ris

{fa

convertlt: . Les éghre'l rnc!:mcs de

J:a

l'hrIGU~

&.

de l'

Afie

lit

cOD{u!toicJlt {ur

les

cas difficib

¿se

Inlere{f;mu . S. l-'otin Jonc:

,,'it

en

\>r;¡y qu'jI

rnt

le premier evéque de Lyon . peur étre np ....el_

le

vérit.1blc

Ap6tre des Gaule.•

{yivallt

l'idée qu'on DODS

en

don ..

ae dan. ce parosrapbe.

(N)