APP
gl"é
cela
~!rTOW
n'en en pas moin!
Ittaeh<!
l
(on pTin–
cipe fUT le Feu
"pparel"
de I'objer, qui lui paro!t évi–
dellt
&
tres-limpie ;
&
il
croit que dans le (as parri–
euliee ou ce prillcipe fcmble oe pas avoir lIeu, 011
n'en
doit attrribuer la cau(e qu'au peu de lumiercs que nous
a VOIlS Jur la ví(ioo ,direéte .
A
I'égard de
M.
N ewtor. ,
<juoi4u'il Cuive le principe de Barrow (ur le lieu
appa–
rme
de I'image , il parolt regarder
I~
fo lutioD de ce
probli:me comme une des plus diffi ciles de l'O ptique ;
PUlllli
iJlillJ,
dit·il,
ac,!!rata dtterminatio problema
folttell dijliei¡¡imum prd!bebie , nifi bypoehefi alie"i f al–
~em
verijimi/i
, ji
non
accurate
verlC , nitatttr affertio .
L ec. ·opt . feho l. Prop.
l/iIl.
pago
80.
V oy ez
M
1
ROIR
&
D 10PTR 1QUE.
Quoi qu'il en Coit, voici des principes dont tous les
O plicieos conviellnent .
Si un objet en placé
:1
une diadnce d'un verre con–
v exe, moilldre que cclle de fon foyer, on pourra dé–
lermiller foo lieu
apparene;
s'il en placé au foyer, (on
lieu
"pparent
oe pourra t tre détermioé ; on le Yerra
1e ulement dans ce dernier cas extre mement éloigné ,
ou plutÓt on le yerra tres·confuCément.
L e lieu
"pparene
nc
pourr~
point encore
Ce
déter–
m iner ) ti I'objet en placé au-del a du foyer d'un ver–
ee convexe ; cependanl li I'objet
ell
plus éloigné du
verre convexe que le foyer,
&
que l'<l'il (oit placé
:lu-dela de la baCe diflioéte, (011 lieu
"pparene
fera daos
la ba(e dillinéte . On appelle
bafe dijii"ae
un plan qui
pail'e par le point de eoneours des rayons rompus .
Vo–
ya.
L
E
ti
T
1L LE .
De meme ti
Ull
objel ert placé
a
une dinance d'un
miroir concave moindre que eelle de (on foyer , on
peut déterminer fon lieu
appar"'t ;
s'il el! pincé au
ro–
yer, il parotera inti nimeot e:loigné ) ou placÓt il parol–
tra confu(émem
fon lieu
app arent
ne pouvant etre
détcrminé.
Si I'objet en plus t!loigné dll miroir que le foyer,
&
que l'reil foit placé au· dcla de la bate dillinéle, le
lieu
apparmt
fera dans la ba(e din inae .
V .y ez.
M
1-
1l0 1 R , C ON CAVE
&
(; ATO P T R 1QUE.
O n peut touJours détcrminer le lieu
apparent
de
]'obJ<t dans un miroir convexe.
L e lieu
apparmt
d'une ¿coile ,
&
e.
en un poi
n!
de
la lurface de la Iphere, dérerminé par une lignc tirée
de I'reil ao cel1trc de I'étoi!e,
& e. Voyez
L I
E ll .
L e lieu vrai ou réel fe détermine par ·une ligne rírée
du centre de la terre, au centre de la plallece, ou :\
l'étoilc,
&e.
( O )
.
i\
P P
1\
R IT
E
U R )
f.
m.
( H~If
...
"e.
&
mod. )
c'cO: le nom du bcdeau d'uoe
U
niver(jté , dOIH la fon–
ét:OJl en de pon er
J:¡
malfe deval1t les doéteurs de
F acultés .
I/oyez.
BE
D
E A
u ,
U
ti
1V
<.
R
SI TE' ,
MAS SE.
On appelle au m
appa, iemrs ,
ceux qui ont l'emploi
de citer quelqu'un devam un tribunal ecc\éliaflique .
(/0Je ~
S o
M M
E R , C I TA T I ON.
L es
¡¡ppar;tefIYS,
chez les R omains , éteieot la me–
m e cho'" que les lergeos ou les exempts panni nous;
ou pl ntÓt c'étoir un nom générique, exprimam tous les
m iniflres qui exécutoienr les ordres des juges ou des
m agillrats;
&
de-la leur en venu le nom
d'apparieeurJ,
formé d'
apparer< .
~tre
préCel1t .
Sous le nom
d'app"ritellrs )
étoient compris,
[erib""
1l((~lIfi ,
interp reteJ,
prtecorJeJ,
viaJores
,
liéloYeJ , fla–
t ora
,
&
m~me
earnific<s
,
les
exécute~r.s
. .
V oye:;:–
SCR I BE , L1CT EU R,
&e.
On les cholhffOlt ordl–
nairement ¡>armi les affranchis de magiflrats ; leur état
':toit méprifé
&
odicux , tellemel1t que le fénat impo–
foit comme une marque d' infamie a une ville qui s'é–
toit révoltée , le foin de lui fournir des
apparieeflN .
II
Y
avoit aum une (orte
d'alpariteurs
des cohortes ,
appell és
<ohoreales
&
condie,."al.s ,
comme érant ar–
tachés
a
une cohorte)
&
condamnés
ii
cette condi–
fÍon . L es
al pariteurJ
des prétOires ,
apparie.res pr",–
t oriani ,
étOlellf ceux qui (ervoient les préteurs
&
les
gouverneurs de provinees.; ordinairement le jour de la
naiffance de leurs maitres
0 0
les changcoit ,
&
on les
élcvoit
a
des meilleures plaees . Les pomifes avoient
3uffi leurs
af paritellrs,
comme
íl
paroit par une an–
cienne inCenption en marhre ) qui e!t dans la voie
lI¡pia:
A
p
P.A~.I TO·RJ
P
ON T1 F1 CV M
P.A ~MV l.
...
~IO.
•. A P PA R I
T ,
O N,
1'ifion, ( Gram. )
la vifion fe
l'allc au-dedans ,
&
n'e1l qu'un e{fel de I'imagination ;
A P P
1'
4
I p.,;ti••
(uppare un ob)et au-dehors . S. J oftph, dir
M.
I'abb¿ Girard, fut aveni par une vifion de palier
en Egypre : ce fu t une
apparuion
qui il,!truifi t
la Ma–
daltine de la réfimcétion de Jefus· e hrill. L es cer–
veaux écbauftés
&
vuides de nourflture fOOl fujets
a
des vitions . Les e(prils rimides
&
clédu\es prennent
tou t ce qui fe préCente pour des
apparilionJ . Synon.
Frallf-
A
r
PAR
1 T
IO N , fe dit )
en Ajirol1omie ,
d'un an re
ou d'une plallete qui devient vilible , de caché qu'il étoit
3uparavant .
Apparieion
en opporé dans ce fóns
a
o"uleation •
V .y ez
O.c
CU LT AT I a
ti •
L e levér du Soleil en plutÓt une
apparition
qu'un
vrai lever.
V oyez
S o L
E
1
L
&
L E V
E
R .
C ercle
d'app arition
per¡>éruelle.
I/oy ez
CE
R
CLE.
( O)
A
P PA R O
1
R ,
en
jiy le
d.
P alais,
en fynon yme
a paroh re ; faire
"pparoir,
c'ell mOUlrer ) prouver) con.
llater
( H )
• A P
PA R O N
N
E' ) adj. (
e omm.
)
on dit
3
Bor–
deau x qu'ulle barique , ou qu'un vailleau
a
été
apparo,,–
né ,
quand il
a
été laugé par les officiers commis
a
cer eftet .
A P PA R TE
i\1
E N T , (.
m. (
Arehit.a.)
Co
mot vient du latin
partimenemn,
fait du verbe
p arti–
ri,
divi(er ; aufii cntend·r-on par
appartemene
la
parti~
en entielle d'une mai(on royale , publiquc ou particu–
liere ) compolee , lorfq ue
i'appareemenl
ell complet.
d'une ou plu(ieurs alltichambres, de fall es d'alTemol ée,
chambres
a
coucher. cabinet ,'arriere·cablllet, toilette .
garde-robe ,
&,.
En général on diltillgue dcux
(orte~
d'"ppareemens;
I'u n que 1'00 appelle
de parade ,
I'au–
tre
de eommodieé ;
ce dernier
di
:l.
l'u Cage perfonnel
des maltres ,
&
en ordinairemenr expofé au midi
011
au nord, (elon qu'i l doit trre habité I'été ou l'hyver ;
les
pieces qu'it compo(e doivem elre d'une médiocre
gralldeur ,
&
d'nne moyenlle hauteur ; c'en pourquc»i
le plus fouvent ) lorrque I'erpace du terrein el! rellee–
ré, I'on pratique des entrefo lles au· delfus pour les gar–
de-robes , Cur-tour 10rCque ces
"ppareemem
de commo–
dice: (om contigus
a
de grands
appartemens)
do~1t ~e
diametre des pieces exi"e d'élever les ¡>Iallchers áepms
J8
j urqu'a 20 ou
22
p'i'és ; cet pelits
appare.mms
d~i
veur avoir des communrcations avec les grands , afí n
que Ics maírres puif1cn t palrer de ceux-ci dans les au–
tres pour recevoir leurs vilites , (ans riC'juer I'hyver de
prendrc I'air froid de dehors , ou des vettil:lules , anti–
chambres,
&
alltres lieux habités par la livréc ;
&
pour–
é viter la ¡>réfence des domelliques ou per(onnes ·étran–
geres al1xquels ces fortes de pieces (ont deliílJées .
JI
en
fi,r· tout important d'é loigner ces
nppartemem
des baf–
(es-cours ,
&
de la vac des domelfiques fllbalterues,
&
ulltant qu'il (e peut meme de la coar principale , :\ cau–
(e du bruit des voitures qui VOnt
&
viennem dans une
maifon de ql1elqu'imporrancc . L e nombre des pieces
de ces
appartemenJ
de commodiré n'exige pas I'appa–
reil d' un grand
appareement ;
le co mmode
&
le lal u–
bre (onr les choles ellcntielles; il fuffit qu'ils Coient
compo(és d'l1nc antichambre ) d'une deuxicmc anticham–
b,e ou cabinct , d'une chambre
a
coucher, d'un arrere–
cabi nct , d'unegarde-robe ,d'un cabiflet d'ai(;¡uce)
&
c.
mais
il
faur effel1tiellement 'Iue ccs garde-robes
&
anticham–
bres (oienl dégagées , de rr.aniere que les domelliques
puilTenr faire leur devoir fans troubler la tranquillité dl1
maltre .
II faut favoir que lorfque ces
appareemens
font de–
fl inés
a
l'uf.1ge des dames, ils exigem quelques pieces
de plus,
ii
caure du nombre de domeniques qui com–
mun¿ment
Conr
attachés
a
leur fervice; qu'il faut aug –
menter le no mble des garde robes )
&
y ptatiquer qucl–
ques cabioets particuliers de toilette,
&
e.
A I'égard dGS
appartemem
de parade , il faut qu'ils
foiem fpacieux
&
expoCés an levanr, autant <ju'il ell
pofiible , aum· bien que placés du cÓté des jardins ,
quand il peut y en avoir : il faur (ur-tOut que les en–
fil ades regnenr d'une extrémité du bariment
i
Cautre,
de maniere que
l'appareemem
de la droire
&
celui de
la gauche s'a lígnem par I'axe de leurs portes
&
croi–
fées,
&
s'uniOent avec fymmétrie avec 13 piece dl1
milieu ) pour ne comporer qu'ull tout (ans interruption,
qui annonce d'un leul coup d'reil la grandeur imérieu–
re de tour l'éJitice. Sous le nom
d'appareemt1u de
p arade ,
on en diftingue ordinairemem de deux e(peces ;
I'un qui porte ce nom , I'autre celui
d. f o, iltl .
Le,
pieces marquées
T
d:llls le plan de la on1.icme
Plan~
che