1000000032

AND

faucheur peut abattre d'hetbe d'un coup de

faulll.

Ainfi

0 11

dir,

;/1

a trente andams fur la largertr

ce prl.

Les meúl11ers prétendent avoir le droirl de faucher un

andain

tout le long du biel. de leurs moulills.

• ANDALOUSIE, f.f.

(Glog. mod.)

grande

province d:Efpagne partagée en deux pa. le Guadal.

quivir; Séville en en: la capitale.

L01Jg.

I1-¡6.

lat.

3 6 ' 38 .

1.:'

Andnloufie

en: la contrée la plus agréable

la plus

riche de tome l'E Cpagne .

• A ND A L o

U S lE, (

L A

o U v E L LE) contrée

ele l'Amérique méridionale en 'Terrc·ferme.

.. ANDl'lMANS

(ILl':

DES)

G/og. modo

1Ie

de I'lnde , dans le golfe de Bengale.

.. A N D A N A

A R; (

G/og. modo

)

ville de

I'a

preCqu'tle de I' lnde,

:lU-de~a

du Cange, dam le royau–

me de Decan.

A N D A N TE, adj. pris fuhn:.

Urme d. M íifi'l'te .

Ce mot écrit

ií

la tere d'un air d¿ligne,

d" 1m:

vj–

te;

c'en: le Ceeond des quatre principaux degrcs de mou–

vemem érablis dans

Mufique Iralienne.

Andante

en:

\lO

participe lralien qui fignifie

allan:,

'luí

va;

il cara–

élérile un mouvemem modéré, qui n'ell ni lent ni vi–

te,

qui répond

peu pres

celui que nous expri–

mom en

Fran~ois

par ce mots,

fam lenteur

Voya.

MOUVEMENT.

Le diminutif

andantino

indique un peu plus de gaieté

daos la mefure; ce qu'il faut bien remarquer, le dimi–

nurif

allegretto

tignifiant tout le contraire .

Voyo:.

A L–

l.EG

RO.

(S)

.. A N DAR G E, (

G/og . modo

)

riviere de France

'lui a fa foutce dans les vaIlées d'Unllan,

fe joint

pIes de Verneuil al'Arron .

.. A N DA TE,

(Myth.)

déeiTe de la viétoi–

re, que les anciens peuples de la grande Bretagoe ho–

noroient d'un eulte particulier.

.. A N DEL LE, (

G /og. mudo

)

riviere de France

en Norm:lOdie, qui a fa fource

pr~s

de la Ferté-en–

Bray, paiTe par le Vexin-Normand,

fe jette daos la

Seine a quatre lieues au-deiTus de Rouen.

ANDELLE, (Bols

D')

eommeree .

Ce bois arri–

ve a Paris au purt Saint-N icolas ou du Louvre: il en:

prefque tout charme,

commode pour la chambre, par–

ee qu'il s'aHume

facilemCfl~,

fair un feu-clair. 11 o'a

-que deux piés

demi.

Voyez

NE A

.. A N DEL Y ,

(G/og. mod.)

perite viUe de Franee

dans la N ormandie, coupée en deux par un chemin pa–

vé. L'une des parries de ce lieu s'appeUe

le grand

Andely;

I'autre,

le petit

/lnd.ly

Celui-ei en fur la

S eine ; l'autre fur le rui.lTeau de Gambon.

Long.

19.

Ipt.

~9-20.

C'en: la patrie du fameux Pouílin, fi célebre

dans l' Ecole. de Peinture

Fran~oife

.. ANDEOL (SAINT)

Géog. modo

petite ville

de France.t dans le Vivares.

L O?Jg.

2.7..

20.

lat.

44.

24.

• ANuERNACH,

(Glog .mod. )

ville d'Alle–

magne, dans le cercle du bas Rhin

dans l' archevé–

cM dI! Cologne, fur le Rhin.

L ong.

21'.

lat.

1'0-27.

.. ANDES (CORDELIERE DES),

Glog.mod.

cha7ne de hames monragnes dans l' Amérique méridio–

nale, qui s' érend du nord au fud dans le Pérou, le

Chili, jufqu'au détroit de Mage1l1lt1.

Voyez

C o R D

E–

LlE R E .

. • AN

V A LLO ('?AMPO n'),

Glog. modo

pe–

tite conrree d Efpagne dans

Andaloufie , fur les frontie–

res de Portugal

de l'En:ramadoure Efpagnole.

• AND l ATO RO QUE,

(G/og. mod. )

lae du

Canada ou nouveIle France

dans l' Amérique fepten–

triooole, du cOré de la nOllvelle Allgleterre.

.. ANDILLY, LA

BLANCHEn'ANDtLL~

Cubo f.

(]ardinage . )

ey,ece de peche qui

foiConn~

beaucoup; elle en: groiTe

ronde, un peu plate, poin!

l·o~ge.

au-dedans,

aiTel.

agré~ble

au gout,

on ne

IUI laliTe pas le tems de devemr pheufe ce qui lui

arrive quand eUe en: trop mure .

• ANDIRA ouANGELYN, G.Pjfon.

(Hifl.

Hat.

boto

)

en un arbre du Brefil dont le bois en: dur

propre pour les

b~rjn¡ens;

fon écorce en: eendróe

fa feuille femblable

celle du laurier, mais plus

p~ti

pouiTe des boutons noirAtres d'ou fortent beau–

eoup de lIeurs rama/Tées, odorantes , de belle couleur

purpurine

blanehe Son fmit a la figure

la grof–

(eur d'un ceuf; verd d'abord, mais noirciiTant peu-'–

peu, ayant comrne une future a un de fes catés

d' un gout tres-amer , Son éeor-ce en: dure,

~en

ferrne une am¡lIlde jaunatre, d'un mauvnis goút tirant

fur I'arner avec quelque an:riéHon .

On pulverife l!l noyau,

l' on fait prelldre de la

AND

l'ou~re

ptlUr les vers: mais

fau! que la dofe foil au–

dellous d'un fcrupule, autremellt elle tourneroit en

poifon.

L'écorce , le bois

le fruit , font amcrs comme

de l'aloes;

c'en: en quoi

differe d'un autre

andira

femblable en tout

celui-ci, eXGepté par le goút qu'il

infipide. Les betes fauvages mangcnt de lou fruir ,

elles s'en engraiiTent.

Lemery .

.. AND

A-G U A C U, (

Hift.

nato

)

chauve–

fourís de la grofTeur de nos pigeolls; elles om une ex–

croilf.1nce fur le nez, ce qui les fait appeller

chauve–

foftris eornue¡;

les ailes ceRdrée¡; longues d'un demi–

pié , les oreilles larges, les den'ts blanches,

cinq

doigts au pié armés d'ongles crochus. Elles pourfuivcnt

les animaux ,

les fucent quand elles peuvenr les ar–

traper.

11 Y

qui fe gliiTent dans les lits ,

peI–

cenr les veines des piés; la langue

le cceur de

an–

dira

paiTent pOllr un poifon.

A N DI R

N E,

(Myt'hol.)

fumom de Cybele

qui avoit une temple dans la ville

Andere.

.. ANDOKAN, ANDEKAN , ANDU–

GIAN,

FARGANAH,

(G/og. mod.)

ville

de la province de TranCoxane de la dépendance de

celle de

Farganah. Farganah

en: donc le nom d'une

ville ou d'une province. Ouelques-uns veulenr que

An- .

dokan

Farganah

foit aum

Akhfehiker.

• ANDONVILLE, (

G/og. mod.)

ville de

Fmnce, généraliré de Paris, éleétion d'Ellampes.

.. A N D O R

1A (

LA c

n')

LAG O

L\.

L S O ,

(Glog. mod.)

lac du royaume de Naples dans la Ca–

pitanare, enrre les rivieres Candaloro

CoropelIo,

proche le golfe de Venife

la ville de Manfredollia_

.. ANDOVER,

(G/og. mod.)

ville d'Allgleterre

dans le Sourhamptol1.

L ong.

16-1

1'.

lat.

p-lO.

AN D O U

L LE,

f. c'en:,

,hez

lel

Chaircui–

tierI,

un hachi de fraife de veau, de panne, de chair di

porc, entonné dans un boyau avec des épices, de fines

herbes,

~utres

allaifollnemens propres

rendre ces

viandes de haut gout.

Ando1,;/les de cochon.

Prenez de. gros boyaux de

cochon, coupez-cn le gros bout, faites-Ies trcmper un

jour ou deux, lavez-les, faites-Ies blanchir dans de

l'eau, ou vous aurel. mis de l'oignon

du vin blane

jettez-les dans d'autre eau fraiche, eoupel. les boyaux

de la longueur dont vous voulel. les

andolli/ln;

pre–

nez du venere de cochon , Orel.-en le gras, coupC1.-en

des lifieres de la longueur des boyaux; fourrel. de ces

liIieres dans les boyaux le plus que vous pourrel.,

vos

andolli/les

feront faites.

V ous les ferel. cuire dans un pO! bien bouché fur

un feu moderé ; quand elles commenceront

rendre

leur fue, vous y jerrerez Ull peR d'eau, de l'oignon,

du clou de girofle, deux verres de vin blanc, du fel,

du poivre,

les laiiTerel. achever de cauire dans cetre

fauee.

Ándouilln de

Vetut.

Les

andoui/les

de veau fonr

plus délicates. On en fait de deux fortes; de fraife de

veau cuite

fourrée dalls le boyau de cochon, ou de

la meme fraife fourrée dans le boyau de momon _

Dans I'un

l'au'rre cas, on prépare les boyaux com–

me ci-deiTus; on ajoilre feulemcnt

la fraife de veau

tous les ingrédiens capables d'eu relever le goúr.

.. A

D o U I L L

de taba,

prencl. des

feuille~

tabae pretes

torquer; choifillel. les plus larges

les

plus belles; étendel.-Ies fur une table bien unte; met–

te? fur ces feuilles ceUes qui feront moins grandes;

roulC7.-les les unes fur les autres,

vous aurez ulle

andoujlle de taba.

Cette

ando1,;lIe

fervira d'ame

:l.

d'autres feuilles qu'on érendra de(fus, fi on

veut

rcndre plus groiTe. Quand

l'ando1,;/le

aura pris la gro[–

feur

le poids que vous vORdrel. qu'elle ait, prenel.

un linge imbibé d'cau de mer, ou de quelqu'autre

liqueur; que ce linge foit fort

gros; envdoppez-en

fortement

l'andollille;

Hez ce linge par les deux bouts;

enfuite en commen\ant par un des bouts liés,

finif–

fant par I'autre, ficeUez-le ferme, de maniere que les

tours fe touchent touS. LaiiTel.

l'andouille

fieellée

juCqu'a ce que vous préfumiez que les feuilles s' alt:!.–

chant les unes aux autres, le tout ait pris de la eon–

filhnc~.

Alors otC7. la corde

le linge,

coupez

l'andouille

par les deux boms pour connoltre la qualité

du tabae . Les plus fortes

andQuill.s

ne pefen! pas

dlx livres,

les plus foibles n'en pefent pas moins de

cinq .

ANDOU lLLERS, f. m. plur.

termo d. V/.·

ncric;

ce font les chevilles ou premiers cors qui for–

tcm des perches ou du marrain du ccrf, du daim