AMP
" une
pe
ilc [alle de fpeaacJe , ronde
00
t¡o~rrú,
orr–
poféc au Ih<!2t.e,
a
fl! hauecur ,
&
renfermam les ban–
'lu :'cs p2I3lleles ,
&
plllcécs les uoes devam les aueres,
lt\Uqilcllcs on unve
pa,r
un tCpncc
00
une allée "uide
'lo:
ks
rraveríe
depai~
le h:rnr de
I'lfmphith/atre
juCqu'
en b.s; les banquenc da t'oad íom plus ¿Ievées que
ccHes de dcvant d'enviro:l un pié
&
demi, eo foppo–
fnnl
1ft
I>rofondcur d.! rout l'erpace de dix-huie piés. Les
premicres lo¡;-cs du t'ond
fOOt
uo
p~u
plus élevc!cs que
\"",phieh¿atr<; I'.mpb¡'¡h/atlre
domioe le parterre; I'or–
chdlre qui efl prcfque dc niveao avec le parterre, efl
domifté par le rhéalre ;
&
le
parterre qui eouche 1'0r–
theftre, fotme eotre
l'IIT11p'hirh/¡rpYe
&
le ehéatre, au–
dellous de I'un
&
de I'auere, un eCpace quarré pro–
fond, oa
CtUl:
'lui fi(tlent ou Clpplaudifi"em les picces
foot dcbout.
.
~
).l
P
li I
T H [ '", T R [ ,
e" Anl<to",ie ,
efl un lícu ou
foor des gradins, ou r"mgs de
fi~gés
élevés circulaire–
mcot les UDS au-defi"us des aurres. Ces gradins ou fié–
¡;c.
oc'cupés par les érodians en Anatomie, ne fonncot
qUClq\lCiois que la
demi-circon~rence;
daos ce cas I'mll–
¡hit6¡1"r,·,
ctl en fate du dtman'lltnteur: mais
ti
les
gradins
r~gnent
rOUt autour de la falle, l.
d~moo!tta¡CUr cn il.natomie occupe le milieu de I'arene,
&
res
éleves I'environoeot , rangés carome dans un coné
crtu~,
t'rOnqut!
&
renvér{(! .
A
M PHI T H E'A T RED E G A S
o
l<
ou
V
E R T U G A–
l, I );,
e;¡
J
r.rJ:""Kc,
ea une décoration degafoo pour
régulariCcr un cOreau ou un.c molltagne, <ju'on h'a
I'~s
del/ciD dc couper
& dI:
foo.tenir par des rerrafi"es.
00
y prntiquc dc; cflradcs , de gradins
&
des plain-piés.,
qui vous montent inlcnliblemcllt dans les parties les
plus dI \' es. O n
orn~
ces
amphirhlatres
de caitres,
d'if& , de pors, de vares dé fayence remplis d'arbrifi"caut
&.
de
Ileurs de faiCon , ainfi que de figures
&
c!e fan–
tnines .
(K )
1
P
1-1 1
T
H
O E ' , Dom d'une des cinquanre N
é–
réidc$ .
• AMPHITR I TE,
(-Mylh. )
filledel'Ocl!an&
de
D Ol'ls ,
qui conCcmit
:l
époufer Neprone
iI
la per–
Junlioll d'un dauphin, qui pour Ca récompeníe fut placE
pnfl11i lés al1re . Spanheitn die qu'on la réprl!'íelltait iboi–
li~
femmc
&
moitié poiflo n .
11 Y
i1voit auffi deul
Nf–
réide, du
me
me nom .
A 1I11''¡¡O
.B.
A;
( AjIH"o1Hl)
t:t
nom qui tfl
I~~in
fe donn qutllluet'oil
iI
la litlDlltllltloD do Vetlhu ,
P.
VER EAU.
(O)
A M P H O
R E,
inipbll,.a
I
dans
l'
Eel";tillre,
Ce prébll
CO\\Vcm dallS un fens appell\uif, pour une cruche ou
IIn
vaCe
a
mCUre
de~
liqucuts : par
t~emple
I
vous reti.
eonttcl.
UI1
homll1e qui pottera un vafe plein d'tau \
IfmpIJorlUlt
"'fUte
porta.s.
1.1It,
ír:i'j.
lO. Aillcurs
iI
fi–
gOltic
une crrtQine mefure : aiull
iI
en
dit dans Daoiel,
'lU'M
doMoit par jour
BU
dieu Belus
lit
amphdres de
"in,
'lJini .mphor.e
fe~.
,,,p.
xv .
t i .
2 .
mais
I'ampbor~
u'~toit
pas une melure héora\'tjuc . '
!I.
~
P H
o
RE ,
f.
f.
ehez les Gre<s
&
Id
R.maillS ,
étoit un "alfi"cau de terre Cervént de ntefure aux Ghores
i~nfdts .
I/oyez
M
E S U
RE.
E
lIe
en
appellée dans Homere
41'.;" /'.' (
en placé
dequoi on
t
dit aum par
fytlcop~
á ...,./", ),
ii
callfe des
dout aofes qui élOicnt praliquées
aUI
deux c6eés dt ce
valfi"cau pour le portcc plus facilelnénc ; e'ell la meme
chofe que
'1/1adrl11/tal. VOJez
Q
u
A D R A N T Alt. .
L'
(¡mpIJbr~
étoir la " il1gtiétne pattié du
<JIleu"
&
con–
tenoit
g~
Cepticrs, qui pouvoiellt fuire
l\
peu prcs 36
¡>illrc\ de Paris. Suéronc
parl~
d'uII certain
homnj~
qui
briguoir
I~
quellurc, qui but ul1e
fl",phore
de vin
a
un
feul rrpas
~\'cc
I'ompereur Tibere .
L e P . Calmet prélend que
1'lImphore
roma:ne con–
rcnoit
dcu~
mue ou 48 fep!iers romains, ou quatre–
viugts li"res de dou'Le onces chacuoe;
&
!lué
I'ampho–
r.
auiquc cOnténo:t Iro:s utnes o u
cent-vin~
livres .um
de dau1,e ouces , qui n'en font que quatre-vingts-dix
des n6trcs, poids de matc .
¡I>"pbore
Ít
difoit aum d'une mefurc de chofes .f¡!ches.
.'. t\
rerllroit
l
b
commoait~
&Ulli plai6r
en
méme
tcmps
des gen';
qui h.llJittroicnt
a coté
tles terrJlft:s. lis :1uroient
la
promen:tdt:
la.
r!Q,
~8f1!.ablc. ~..
Les fpe:tt;ucuu
2uroient
{Un licu
tre1.commode
ou fe 1neme
2 ¡'.lbri
en
C;'\j
dI! pluie.
&.
UD
amurement
2v.ant llheu
re dn . (;.w:ébcJc.
]0.
Un Ordrc fcut dI!
perfonlles
embclliroit
cet
Amrhlth~.lttc .
au lieu que
d~n,
le.
:lUtrcs
il
arrivoit
quelqadoit
que
11.:
"ulIJe
\~
fpe8.urur'
dlminaoit
1:1
pompe.
~
b. g3)'cre Jn
(pe'a~cI('
CCpenJant dans
les terr.efes
fafdites
l'on peunoit (..
ire
.:fn~olr
plul'iC\lt'S
t.lng~
J-:
rcrfonnes.
&.
::Iiut2nt
que
la •
.Dorn.
Am.
(lbnhéatrts
(Bits
l.
degth
poavoiCDt en
conterur .
AMP
3I9
Il'!¡uellc contenoie trois boifi"eauI,
&c.
O n en conlervoít
le modele au capirole, poor empecher le fuux mefura–
ge; elle éroit d'uo pié cubique.
A»1phorc
Ce dir chez les
V
énitieDs, d'une mefu re de
liquides bcaucoup plus graode que
I'amphore
greque ou
romaine.
EII~
contiene
'lustre
bi¡lors ,
[oixaDt~-fei'l.e
mu–
flachio ou deUI botLes ou muias.
(G)
• A
lvI P H
O
R I
T
E
S, elpece de combat poétique,
qui
f~
faifoit
d~ns
I'tle d'JEginc.
0 0
y accordoie uo
ba!uf, pour r4compcofe, !lu poete qui avoit le mieul:
célébré Dacchus en vers dithyrambiques .
AMPHOT IDES, f.
f.
plur.
( H ift.
ane. )
du
grec
':,"9"~,h"
firmes d/ft"ji'IJe1 ,
eh urage dans le Pugi–
lar; c'étoient éertaines calores
¡¡
oreilles, faites d'aimio,
&
doubl'ées de quelque éroffe , dont les arhleees cou–
vroiene les parties de· leur tete les plus expofées, pour
amortir la violeoce des coups.
(G)
• A M P
H R Y
S
E,
riviere de Thefi"alie, daos l:s
ptovince nommée
P qthiotide.
Il Y
eo a uae !lUtre du
melue nom eo Phrygic dans l'Afie mineure; enlin
-c'efl epeare une ville de la Phocide, firuée fur le Par–
naife .
• AMPlGiLIONE, ce fone les ruioes de I'ao–
cienne ville, appellée
EmpHlum;
elles Cont
:l
une lieu.
de Tivoli pres du bourg
e
"ftel/o
S.
A"gelo,
• A
M P
f.,
E
I
adj .
(Mar/chlfl.)
efr uoe
~pithele
qu'on
donne au jarree d'un cheval.
f/~ez.
]
A R R E T .
(V)
A
M
P L 1
A
TI F
adj ,
t.rm. de Ch(lnul/erie
Ro~
maine ;
iI
fe dir des Brefs ou loc!ults qui aJoutent quel–
que chofe nux conceffions
&
priviléges coutenus es In–
dulr.;
&
Brefs aot6ricurs,
Poyez á-d¡'./folll
A
M P '" 1 A-
TION.
(Jf)
.
l\
M P L 1A
TI
O N
f.
f.
terme de
Ct.abcél/eri~,
&:
fiogulieremenr
de ehanu llerie R.oma;,,':
"lJ
Eref
au
Bulle d'amplilltiQn,
efl la
me
me chofe qu'uo
Ere¡
"",pliatif. Vo:¡ez ci-de./fi<¡
A
M P L I
A
T I F .
Oh
~ppeHOIe
aucrefois
L~Urés
iI'
amplia't;on;
des bet–
tres 'lu'OO obtenoir en petite C haocellerie
a
I'effer ¡I'ar–
tieuler dI; nouveSUl:
mo~ns
omis dans des beltres de
requ~te
eivile
fn!'ctdemm~nt
impétrees: thais I'uflgl! de
ces Lereres el
¡¡
préf<nt abrogé;
& .
l'Ordonnahce
al
t667_
'lui
I~
:l
abrogee$, a ordonne que él:s moftn,
Ceroitm ifticulés par
\lhe
llmple tequlte .
A
M P
tIA
l'
I 0
!( ,
en
t~rm.s
de Finab1:e,
cfl un doú–
pie qu'on
~arde d'un~
quinál1\!il ou autre aae poriaof
décharge, a I'effee de le produire au befoin .
Amp1itttio"
1
figni6e
en~are
elo
tetnies
ti.
Fina"c",
I'ex–
pédirion len pnpier d'un noovelu cantrar de rente fur la
ville \ que le
N
otaire fourhit ave" la grofi"e en parche–
mio,
lit
qul! le rentiet
r~met
:\u payeut avee
ft
quie–
tance pour rectvoir .
A
M P L I A T I
o
l<
S
d~
eontratI, In ter"'n de Pr-a–
ti'lue,
fonr des copies de ces contraes, dont on dc!po–
fé
les grelfes
es
mains d'un
N
otaire, pour en délivrer
des
Ampliatio",
ou expéditior\s aUI parties ou
i
des crtb n–
ciers colloques utilemeot dans un ordre, ávec dEdi.
taeion
tic
I'intér~t
que ahaqui: eréaneier a dans ees con–
ttars relativemettt
¡¡
Ca collocalÍon dans I'ordre ,
(H)
AMPL{ER,
v.
aa.
t.yme
¡J.
Palais,
ufité dañr
quel<lues tribunaux, fignifie
dtjJl¡'e"
&
metere pl4s
iJu
large.
Ainfi,
Ifmplier le terme d'"n pay,me"e,
e'ell
¡j~~ner
du
~6ms
au débiteur;
amp!'er
ull
e~;rlIjHeI,
c'éll
dllterer ,le
Jug~ment
de
Con
.proces :
"mplier "n prlfon–
nltr- ,
ii
ea IUI relldre Ca pnfon plus fupponable, en lui
dbnol nt pll1s d'aifábcé
&
de liberté. (
H )
A M P b 1F 1G A T
ION,
C.
f.
en Rhl tor;#/t-e;
for–
me qüe I'ofateur doMe
a
fon diCcduts,
&
qui conlifle
a
faire paroltre
les
chofes plus graodes ou. m aiodres qu'
elles
llC
fOil! en effet . L'
amplifieation
trou ve Ca place
d3m
,tO~tes
les. parties d,u
~iCcour~!
elle ferf
:1
la pieH–
ve, a I expo(itlOD 4u falt, a cooclller la faveur de ceux
qui nous écoucel1t,
&
a
excieer leurs paffions . Par
el–
le I'orateur
aggrav~
un erime, exagere une loüange', é–
teud une narratibn par le d';veloppement de Ces circon–
llances , préCente
un~
peofée fous diverfes faces ,
&
pro–
duie des émotions relarives
¡¡
fon fujet .
Poyez.
O
R A l-
•
SON
Nc
voul~nt
pas &ire on
Ampbith~3tre
nouveaa avec
le.
terralfe.
f·~~trfurt~au':r~ rl~[~~~til~n
f.aJ;,e
;h~u~e~~~:r::r.rit~~: ::r3~o3re;i;
cne.ore
mit ux
les fpclbuun
de
I:l
pluie•
.t<
du
f~leil ~~ai.
en veut!
motns nombredes per(onnes on
peUt
y
falre aJfeolf : mom.
agr~able
(e
(ende
oi le voir
parce.que
moitU
s'lteod ,'c:il :
13c
(or_tout
De
peLR.
pou thvir
cn
meme
~m~s
a
plu"cors
habit:uio~s
!fet.comm.ode.
Corn–
me hlotre.
fi
CCttes ha.blt41tions . augmemant 1édl4ce
c~terleU1'emenl,
Oc
y
,!,ldjolltellt
p:u
tOUI
cz:prel .
( lJ ).
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