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nu Cu:sv.
G1tANnJ'SsoN.'
H
rnoins. cambien j'ai combattu contre
une
¡;>a!liot'l que je me reproche, & qui
conviene
ll peu
a
une fille de leur fang.
Je-
v.Usvous
ruettre en érar de les,iníl:tuire;.
Premiéremtmt,.comme vous le favez ,
il
a fauv.á.
l:i
..-ie au plus·cher de mes freres
.¡
&
ce; frere a reconnu que s'il avoit fuivi les
eon.feils d'un
G
fidele ami.,.i
lne feroit jamais
~-0mbé
dans le danger dont il
lui.al'obligation
.de l'avoii; ddivré;.Mon pere
& mamere me·
l'.ont-préfenté, avec ordre de le regarder com•
me unqµatrieme&ere; &.je n'ai pas reconnu
des lepremier moment,..que je n'en pouvois
avoir que trois..
n.
s'efi: rnouvé que le libé–
rateur
d~
mon frere étoit
le.
plus aimable
&
le plus doux, c;:omme le plus brave de tous
les hommes. Tous-mes-yarents-l'ont accablé
de carelfes. On a palfé im' les fonnalités do–
meíl:iques & fur celles de la.11ati011. Il s'efi:
vu parmi. nous
>
auíli libr.e , auffi familier,
~ue
s'il nous avoit appartenu. Mon frere
Jeronimo me·rémoignoit fans celfe, que tous
fes déGrs éroient de me voir
a
fon ami.Toute
autre récompenfe fembloit erre au-delfous
de M. Grandiíion;
&
mon frere, dans
l'
obli–
geante idée qu'il avoit de
~oi.,
me croyoit
íeule capable d'acquitter
fa;
reconnoilfance.r
Mon confelfeur, par fos cra.intes
&
fes in–
veébves ,.a-confirmé ·plutot que refi:oidi mon
eítime·l"our un homme qu'.elles me paro:f–
foienr injurier. D'ailleurs-,
fa
pFopre conduite,
fondéfmtéreffemenr & fon refpell:-, onr beau–
roup contribué
a
mon attachement.
11
m'a:
B-
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