nu .CHE"V.
GRAN:rn~ so~
rg·f
Cuis
approché d'elle. Admirable Clémenrine.!..
lui ai-je
dit
av.e<1:
rranfpOl!r, foyez libre
t..
Quelle que puiífo erre ma deffinée, foyez
pour moi tout ce·que vous v0ul:ez
~re.
Si je·
vous vois heureufe , je mefforceraí, s'íl
éff
poilible,
de·
le devenir..
,
·
: Cher Grañdiífun, m'adir·fe·pt:éfar, en me·
faifüfant
.la·
main, que je vm1s.admiee
!
Ou,
prenez.-vous certe merveilleuflÍ'g<'.tndeur? ,).
r
Eh-l.
cornment un
li
grand exemple ne·
m'infPireroir-il pas de l'émulatio n?
11
n'eft
poin!: entréd'intéret cfans.les vues qui m'onr·
namené en Italie. Je me Cuis cru lié. par les
anciennes conditions; mais dans mes idées)
Clémentine
& .
Ca
fa1mlle · ont roujours été'
libres..J'ai concu des efpérances, lorfqu'on·
m'a
faid'honneur de les appr.ouver; je.rentre:
a11joqrd'bní,.quoiqu'.avec u11'profó1-1d regret,
dans ma premiere íiruation. Si Clémentine·
perfiffe dans
[es
idées, je ferai mes efforts.
pour
m~y
foumettre. Si fes difpofi.tions chan•
g.ent, je•me tien.&:ai predneoevoir
fa
main,
comme le plus grand'bonheur.auq..uel je puiíf
e.
afpirer.
·
La marquife , prenant
a
fa
fois
fa
mai11
de
fa
filie
&· la mienne , a fair de tendres
plainres
a.u
ciel,'de la dífficulté d' unir deme.>
creurs qui avoient rant de relfemblance. Ne
me rerenez point, Maman, lui a dit Clémen·
tine, en- rerirant aífez vivemen u
fa..
main•.
Laiíféz-moi remonrer
a
ma
chatl'lbre ; pour
y.
demander au ciel' qu'il conferve ma·force,
ªRres
la
P.eine
q_u•.iL~
m'en a oouté pour
l:.o~