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qu au me;rne degre
?
Il t en courera fans
doute : mais defcends ,
&
fuis un effort pour
t'élever au deJfus de toi-meme.
Je
fuis
defcendue) affez contente de m'erre
trouvée capable de cetteréfolution. Ma cou–
íine eíl: fortis lorfqu'elle m'a vu rentrer. Sir
Charles eíl: venu au devant de
moi jufqu'a la
porte :jeme flarte qu'il a vu d
<J.nsma conte–
naríce de la dignité fans orgue
il.J'ai parlé la premiere , tandis que je me
Centois l'ame élevée ,
&
pour me foutenir
dans cette difpoíition. Mon creur faigne,
lui ai
-je dit , des malheurs de votre Clémen–
tine.
(O.ui, Lucie ,
j'
ai dit de votre Clémen–
tine )
. Jene vous ai quil'té, pendant quel-
. ques mome1Hs, queyourmelivrera l'admi–
ration qu'elle m'in4Jire. Que je plains
fa
firuation
!
Mais il n'y a rien de difficile
&
de grand , dont
fü
Grandilfon ne foit capa–
ble. Vous m'avez honorée , Monfieur , .du
titre de freur : dans toute la tendreffe de ce
nom , je ne puis vous déguifer mes craintes
du coté du général)
&
je fens prefq_u'autant
que vous,les nouvellespeines que le fpeétade
préfent des ma:ux d'autrui doit vous caufer.
Cependant je fois fúre que vous n'avez pas
héfité un moment
a
prendre la réfolution
d~
quitter tous vos amis d'Angleterre pour
repaffer en Italie,
&
pour alle.r tenter
d11
moins ce qu'on peut encore efpérer.
S'il m'avoit louée beaucoup de ce lan..;
.gage, il auro'it paru, dans les círconíl:ances ot\
!lous étions tous deux, qu'il regardoit
moa
Tqme'
V.
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