13.2:
H1S-TOTRE
'
· de bonté
&
de compaffio1i. , celui du doél:enr
ne vous -ait fait foutfrir encere plus. Ce_pen–
dant me perrnettrez-vous, Mademoifelle.
d'atouter aú rneme fojet quelques circonf–
tances dont
il
n'a pu vous iníl:ruire
~
A pré-
J
{ent que vous eres informée d'w1e
íi
grnnde
· . partie de mon hifloire, je fouhaiterois que,
. plus que toure aun:e femme du monde, vous _
n'ignora!Iiez rien de tout ce que j'en fais
· moi-merne.
ll
s'e!l: arreré. Je tremblois. Monfieur.....
Moníienr.... J'avoue que l'hiíl:oire eíl: extre–
. mement touchante. Que cette malheureufe
· perfonne eíl:
a
plaindre
!
Vous me ferezhon·
. l1eur, fi yous m'apprenez quelque chofe de
·fa
íituation.
Le doll:eur vous a dit, Mademoi"felle , que
. l'éveque de Nocera, fecond frere de Cl'é–
mentine, m'a écrit depuis peu,
&
qu'il
~ne
· preffe de faire encere tme fois le voyage de
-fümlogne.
J'
ai
fa
lettre. Vous en.rendez l'Ita-
lien, Madítmoifelle. Permettez-vous que je..
ou fouhaitez-vo'us de .prendre cette peine
.vons meme
?
:H
m'a préfenté}a lettre. Voici,
ma chere, ce qu'.elle conrient.
" L'éveque l'inforrne d.u trifte état de
fa
fomille.
la
fanré du pere
&
de
la:
mere
'~
di:cline fenfiblement. Celle du [eigneur
" Jeronimo eíl: pire qu'elle n'étoü
au départ
., de
fa
Charles. Sa freur ne
[e
por.tepas
.., mieux,
&
fouhaite toujours ar
demment
'' de voir fon· précepteur. Elle efr aél:
uelle–-;u
menta
Ncicera, maison fe _.¡iropofe
4e.la.