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H
I
s
T
o
I 1l '!'.
titude
&
de úle dans le récit de tout ce qui
regardeOlivia.Mais, apres l'avoir
aflli~ée
par
des images
{i
triíl:es, je demande que pour la
c:onfoler, elle n1epeumeqede luí faire lever
les yeux vers un aurre ordre de chofes, qui
eíl: la vraie fource de force
&
de confolation
· -pour une ame raifonnable.
LE T T RE L IX.
Meme jour.
L
E
chevalier Grandiífon ell: arrivé d'hier
au foir. Avec
fa
politeifeordinaire, il envoya
demander,
en
a1:rivant, des nouvelles de ma
fanré,
&
prier
M.
Reves de lui donner ce
matin
a
déjeuner. Eíl:-ce pour lui-m&rne,
eft-ée pour moi , qu'il pread cer air de céré–
monie
?
Pour rous deux peut-erre. Ainú, je
foís dans l'attente de voir bienrot le noble
objet des affeél:ions de Clémentine ,
fon
· furur.. .
Ah,
Lucie
!
,
Mais vous voyez que le ptincipal corn–
pliment eíl: adreífé
a
M. Reves? Garderai-je
rn:i.
chambre ? Attendrai-je qu'il demande
a
me
voir ?
Il
me .doir quelque chefe , pour
l'émotion qu'il m'a cau[ée dans la bibliothé–
que de milord
L ..
Je ne l'ai prefque pas
vu
·. .depµis.
L'honneuone défend
~
m'
a-t-il die