I
2.4
H
1 S. T
o
t
R
l!
Mad. Bemonr, quelle difgrace pour. moi;
li
.le
chevalier époufoit une femme .iudigne.
tle lui!
Dans cet intervalle _, M.
G~andiffoq~voit
f;ünous les préparatifs de fon déf:art..J étois .
arrivé du
L~vant&
de l'Archipe , ou j'avois
accompagné
a
fa
priere,
M.
de Beauchamp, .
narre ami cornmun.
11
n1'honora d' une autre
marque ele confiance 'en laiílant ama garde'
mifs J.ervins, fon agnhble pupi)le , fous les
yeux de Mad. Bemont , dont les foins , pen–
~ia:n(
fata
abf~qc.e , 0:nt1ipondupflrfait~3nent
a
(on arrente.
'
- ..
r
.f\lors
il
écrivit-al'4vequede No-cera, pour
luí offrir de
[e
renctre
~ncore
pne fois
a
Boulogne,
fi
fa
vifüen'éroir pas défagréa–
l:¡Je a .la :fa.mi.lle ;_
.ma.isce,tte. nou',:elle m-arque
d
e reconnoi!fap
ce &d
att;i:chet]lent
n.'
étant
P
?Í.Pt"ac.oép.tée , il p;irtir
.enfin_ po~r .
J?arís.
J3
¡entat
11
fllbtrapp~lltt~dans ,fa
parne 'Bflr la
mort \le fon pere;
~
<;¡_u¿lques f
emaines.a_¡;>r~s
fon retour,
il
me
fit
avenir <le repalfer en
.Angleterre avec
fa
pupille.
·
Peut-étre vQus. plaindrez-vaus _,
chere
mifs
Byron ,
de ne pas trouver ,
.a
la
fin
de ce
·r~cir,
aurant de 1mnieres que vous
~n
\iéfirez
fur
l'état rréfent de la malheu–
nufe ClérpeFltjne.
~; a)outerai,
en pea de
mots,
l!$s
~c\airciJT~rnenrs
qui
font venus
'1epuis.
,
Lqrfqu'
911
fut
a>ífuré
a
Boulogne quo
M-·
Granc!iífon ;woit
qui~té
l'Italie , la
famiUe..
~on1m~n~fl
trQp
~~Id :~ ~r~g_Een<;~ .e~~ ~·~~vo~