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13e

H

1 s T

o 1 R

!

. homme

'{~;énéreux.

Oh! puiífe mon meilleqr

génie, me préferver du befoin de la com–

pa.lli-011 d'un homme, fans excepter celle du

chevalier Grandiífon

!

Mais qu'a-t-il voulu dire , par

le

terme

d'intéret propi:e. Je ne le comprends poinr.

Clémentine a

re~u

en partage une tres-groífe

fortune. Celle d'Henriene eíl: inéd:iocre.

Il

ne

peut manquer ala jufüce

>

a

la généroíité

>de

ne confulter que l'intéret propre.... Les der–

niers mots me confondent dans la bouche

d'u11 homrne qui ne dit rien au hafard•

• Fort bien; rnais tandis que je raifom1e avec

rnoi-m. me, le temps du déjeuner s'approche.

Jeveux defcendre pour évirer toute affeél:a–

tion. Je vais m'eflorcer de voir avec indiffé–

rence celui que nous avons tous admiré,

que nous avons érudié depuis quinze jours,

fous tant de différenres faces

?

le cbrérien,

le héros,

l'

ami.... Ah , Lucie !

1'

amant de

Clémentine , le modeíl:e

&

généreúx bien–

faireur, le modele de la honré

&

de toures les

vertus. Mais il arrive

!

Pendanr que

j~

babille

avec ma plume ,

il eíl: arrivé." Pourquoi

rn'

avez-vous retenue, chere Lucie ?

11

faut

a

prefent que la fo'Iledefcende avec une efpece

de

précipitation. Cependantelle veut atten–

dre qu'on la faífe appeller. C'eíl: ce qu'on

vienr-faire

a

ce momenr.

O

Lucie

!

quelle converfation ·

j'

ai

a

vous

raconter

!

Mais

il

faut que

je

vous

y

conduife

par degrés.

Sir Charles

eft venu

a

~oi,

lorfqu'il

m'll