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H
r s
T
o r
ll
~
venue
a
Colnebroke. Comptez, Moníieur;
que je ne vous cacherai rien. A préfent que
je fuis rentrée
dansle bon chemin, il ne
·m:arrivera plus.
d.em'e1: écarrer'.
Mes_fa.uxp~
m ont aífez fin
t fouffnr ; qu01que
J
aie
fait
bien des efforts ,
&
fouvent avec
un
courage
affeél:é , pour réfiíter au poids qui me tenoit
la
poitrine oppreífée.
Sir Charles s'eíl: levé ici avec tranfport,
il
a
pr.isune des mains de mifs Charlocte,
&
l
a ferrant entre les fiennes : chere fcrur,
.fille digne de ma mere
!
apr~s
une franchifo
fi
noble, nous ne devons plus vous permercre
de vous accufer vous-meme. Une erreur
reconnue avec tant de graces eíl: une glo–
rieufe viél:oire. Si le capitaine Andedon vous
paroit digne de votre
c~ur
, je lui promers
une place dans le míen; & j'emploierai
rout
mon crédit auprt:s de milord& demiladiL...
pour leur faire agréer fon alliance.Mifs
Byron
&
le doél:eur Rarlet lu.i accorderont leur
amitié.
Il a repris
.fa
chaife , en
fa.if anc
éclarer
dans tous fes traits un méla
ngede joie
&
d'affeél:ion fraternelle.
Mift Grand.
O Monfieur
!
que
pu.is-je
répondre
?
Votre bonté redouhle m
on em–
barras. Je vous ai dit cornment je m'étoi5
laiífée comme enchainer. Les foins de
M,
.f1.11derfon ont commencé avecl'efpoir d'une
grande fortune, qu'il croyoit
tbt
ou raed
infuillihle pour une tille de
fü
Thomas Gran·
tiiffop
1
Jl¡ü
reco~pu,
P,ans mille occa.{ions •