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4Y
lue.
O chere Henriette
!
Elle contient
des
dérails..... París, Floreoce, Boulogne?
.Mifs Byr.
Loin,
loin fyrenne. Une letrre
cíl: un objer facré. Reportez-la. N'avouez–
vous pas qu'elle ne vous eíl: pas venue hon–
J11etement ?
&
je
vois néanmoins....
( Ah
Lucie
!
J'étois prete
a
me lailfer
vaincre; mais, rappellant mes forces; loin,
ai-je répéré : emporrez cette lerrre.
Je
me
crains moi-meme ).
Mifs Grand.
Eh rrien , Henriette, un feul
endroir.
Il
y en a un que vous devez lire.
C'efl: !'affaire d'un iníl:ant.
Mifs
Byr.
Je n'écoure point
la
tentation.
Je ne lirai rien.
J'
attendrai qu'on me le com–
munique.
Mifs
Grand.
Mais vous pouvez erre fur–
prife alors,
&
ne pas favoir ce que vous au–
rez
a
répondre.
11
vaudroit autam profirer de
l'oceaúon. Prenez, lifez. On n'a jamais vu
de pareils
fcrupules. Il eíl:
qu~fl:ion
de vous
&d'Emilie.
Mifs
Byr.
De moi
&
d'Emilie
!
O mifa
Grandiffcn
l
&
que
peut-il y avoir de com–
mun entre Emilie
&
m.oi?lv!ifs Grand.
Quel
le dif!ere11ce mettez–
vous, chere HenriettC"' , entre lire la lcrrrc
&
n1e demander ce au.elle contiene Ue confens
né:unoins
a
vous
ie
dire.
Mifs
By
ron.
Non, non, vous ne me le
eirez poinr. Je ne veux point l'enrendre. Je
.ne vous le demanderai jam;tis.
N'y
a-t
-il que.•vorre
frere qui
foit
capable d'
un.e
aéb.on.