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42.

H

r s

T

o r

ll E

·

noble

?

Il faut , ma cbere amie , que

vou~

&

moi nous tirions quelque ·fruit de

fo11

exemple. Vous ne me lirez,

&

ne me direz

úen.

Mrfi

Gránd.

hmais on

n'

a loué une

femrne

dans ces termes! Ce font des louanges, Hen–

riette.... De rna vie. je n'ai rien entendu qui

leur reífemble.

Mifs Byr.

Des louanges , Charlotre !

De

la rnaín de votre frere

! .•.

O maudíte curio–

fité

!

Premiere faure de nos premiers peres

!

maís

f

aurai le eourage

d'y

r<Hifter. Si vous

m'excitez

a

faire des quefüons' riez-en:

j'y

donne les mains ; mais je vous demande

en

grace d

e n'y p

as répondre. Cbere mifs,

fi

vous m'

aim.ez

, ernportez cette lerrre,

&

ne

-cherchez point

a

me rabaiífer

a

mes propres

yeux.

Jltfifs

Grand.

Savez-vous ., Henriett'e ,. que

vos réRexions tom.bent

fur

moi? Mais

c'e!l:

moi-meme , qui veux vous faíre une quef–

tion.

Vous fenrez-vous difpofée , comme

une troifie1ne íreur ,

a

prendre Emilie en

garde ,

&

a

la conduire· avec vous en Nor–

thampton-Shire ! Répondez.

Mrfs

Byr.

Ah , mrts Grand'iífoa

!

Et vous

eroyez que la lettre conrie1111e une propoíi–

úon de certe nature

?

Mais ne me répondez

point, je vous en fuppli:e. Attendez qu'on

me

faife

l~s

propofüions,

de

quelque narure

qu'elles foient. Elles viendront toujours trop–

t8t,

fi elles font défagréables. ( J'avois les

!ar.mes

aux yeux ). Mais

je

vous

aífure·..