Table of Contents Table of Contents
Previous Page  250 / 392 Next Page
Information
Show Menu
Previous Page 250 / 392 Next Page
Page Background

~o

·

H

r s

T

a

r

n:.

!'

pardonnerois pas. Vous l'avez reconnue vouSt

meme. Je ne veux point

fa

panager.

Elle m'a lu deux ou trois lignes;

&

s'arre–

tant: continuerai-je, He111;iette? Le mot qui

fuit eíl: votre ncm.

Je me fois

mis

les aoigts dans les

oreilles~"'

Non, non, ai-je crié encare. Si vous J.'aviez

par des voies honneres, je n'aurois pas de plus

grande

iB1patienc~

.... mais vous ne me elites

pas de méme ....

Mifs

Grand.

(En m'inter-tompant ).Quoir

Qn'eíl:-ce

?

Ceux qui lailfent leur cabinet

ouvert ' n'ont

a íe

plaindre que

~·eux­

memes.

Mifi Byr.

Mais c'eíl: un Grnbli qui n'a

rie1~

'1e 'olonraire. Sei·iez-vous bien

aife

qu'oa

pnr a

liberté de Jire vos lettres?

Mifs Grand.

Eh bien , je vais la remettre–

a

fa

place. lrai-je?

(Ja

tenaBt

{u[~emdue

de–

Vant moi ). Irai-je , Henrierte? (Et deux ou

trois

fois

elle a marché vers la porte, elle eít

revenue vers moi , avec un regard. le plus

pr

opre

a

m'exciter ).

Mi.fs

Byron.

Dires-moi feulement, mifs

Gr

a11d

iífon, s'il

y

a quelque chofe dont vous

croyez que votre frere ne veuille pas que

nous foyons ínformées..... Mais je fois pref–

que fUre que l'obligeanr doéteur, qui nous

en a communiql'é d'aurres, auroit eu

la

honré

de n

ous

lire celle-ci.

M

i.fs

Grand,

Pour la moitié de ce que je

poíl

ede

, je ne voudrois pas ne l'avoir pas