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H1STOilt"I!
Mais il déclare qu'il renonce plut6t
a
a
patrie, que
d'
expofer fon pere au moindre
chagrin , en
y
retournant fans l'aven d'une
femme ünperieufe, qui-
lni
en feroit poner
la peine,
&
dans fon incertimde, il
[e
pro–
pofe de quirrer Vienne, ou il eíl: aél:uelle-·
ment, pour venir attendre
a
Paris
que
fir
Charles, qu'il croit capable de réuffir d::ms
tout ce que l'amitié peut lui faire entrepren–
dre,
&
qui Cera [econdé par la nmdrelft de
fon
pere, obtienne le fücd:s qu'il déíire.
Il
me tarde be,aucoup de revoir cet excellent
jeune homme. Je fuis si1r que mifs
Byron
en particulier ne pourra lui refufer fon
eíl:im~.
Avec des fentiments
fi
nobles
&
des manie–
res
fi
délicates, je répete hardiment que c'eft
un
fecond chevalier Grandiifou.
Je me croirois
fon:
heureux, Mademoi–
{elle, de pouvoir vous obliger par toutes les
commtmications•pour lefquelles vous
m'
avez.
témoigné de la curiofité; mais qne miladi
L .....
&
mifs Grandi1fou me permetteno
de les exhorter
a
bannir toute réferve avec
1c
f>lus tendrc de tous les freres;
&
j'ofo
leur réfondre, qu'il n'en aura point
for.
tou~
ce qu'i croira capable de leur pbire. Si parnu
{es affaires il
y
en a quelqu'une dont il puiJfe
différer
l'
explic¡rcion,
e'
eíl: que le fucces en
l:fr
encore incertain.
Oue d'obfcurité, ma chere Lucie
!
Rap–
pellons que.lques
circonfl:ances de ce détail,.
für
Charles
a de¡
affair.esq_u'il ne peut
e~