DU
CHEV.
GR.ANDTS
so
N.
rr
tecu
des príncipes d'ordre
&
d'économie
da~s
uneécole encare plus parfaite, tirereni:–
·un nouvel avantage de fes i11íl:rué\:ions; ma:is–
elles m'
0111:
appris, quoiqu'avec beaucoup de:
répugnance,
&
comme une chofe que je ne.
puis ignorer l6ng-remps, fije cor.itinue de fré:–
quenter leur Inaifon, que la reconnoilfance:
de íir Thomas s'exer<_¡:a , pour cene fem1:ne,
par des voies qui luí ont couté
fa
répuration..
En un mot , elle fe vit obligée de quitter la·_
province, poar
fe
réfugier
a
Londres , oú:
elle en fut quictepourquelques·femaines de·.
retraite.
Miladi
L........
étant alors agée d'environ::
dix-neuf ans,
&
fa
freur de feize , elles eu–
rent toutes d.eux affez de fermeté pour s'op–
pofer auretour d'une gouvernante quin'étoit:
plus néceffaire
a
leur age.. Elles
fe
char–
gerenr des foins domeíl:iques , dans la prin–
cipale terre de leur pere , qui efl: celle de
Hamp-Shire ; mais
[ir
Thomas·en avoit une
fort
belle en Effex, otl il conduifit Mad.
Oldham;
&
pendantquelque ternps, toutle
monde
[e
ped.uada qu'ils éroient mariés. Elle
avoit de la be:iuté
&
de la naiffance. Quoi–
qu'elle eut le malheurdes'etre laiffée féduire.
par les préfenrs &: les artifices de
íir
Thomas ,.
farépuration avoit étéfans tache avant gu'elle:
fe
fut chargée de
l'
éducation de fes filies.
n
fut vivement choqué du refus que fes filies
avoient fait de
la
rece,roir. Il s'étoit imaginé.
que les raifons de fon ab.fence écoient
fort:·
iecre.tes, parce q_u'il fouhaicoit q¡.1'elles le: