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!:

devoir denme peur-erre d':mrant plus efe droit

a

la récompenfe ) que les parents ont moins

rempli leurs propresobligations; fans comp–

ter une aurre confidérarion qui me paro'it

mériter d'entrer en compre,

c'eíl:

q:..tun en–

faht

bien di.fpofé , ne tire pas moins d'avan–

tage des mauvaifes exemples que des bons

i

ce que je

crois

merveilleufement vérifié

,

dans tir Charles, par t:eux de·

fon

pere

&

de

fa

mere.

Miladi Grandiffon n'eut pas l'heureufe

fin qu•eUe mériroit par rant de venus. Un

jour Con mari ,

qui

n'avoit pris congé.

d'el!e ·que pour une abfence de quelques

fours, fut mpporré, une

heme ap

res, dange–

reufemenr bleffé dans un

duel.La

forprife

&

la

douleur dont elle

fut

fa

ifte a ce

ne vue, la

jererent dans ua état dont elle ne revint

ja–

.m:iis parfairement.

Sa

confüturion demeuraii

.tlrér2e par de conti1'luels év:inouiffemenrs,

&

par des alarmes qui durerendong-temps pour

Ja

vie de

iir

Thomas, qu'apres avoir langui

pn'::s d'un an , elle mourur

a

la Beur de

fon

age, regretrée

fon:

amérernent de

fon

mari,

<Jlii

fe

reprochoitd'avoir mis au tombeau la:

meilléure de routes les femmes,

&

cendre~

mene

pleurée de fes enfunrs, quoique trop

jeunes encore pour fenrir toure la grandeUF

de

letu pene.

On

m'a fait remarquer, en paíTant, que

ce

fouvenir n'a pas peu conrribué

a

fortifier

les

principes d'e religion

&

d'honneur,

qu

i

<mt

toujours donnf

a

fu

Charles m1e

iu.ll:

e