Table of Contents Table of Contents
Previous Page  114 / 392 Next Page
Information
Show Menu
Previous Page 114 / 392 Next Page
Page Background

·1

04

.

M

I

s

T

o

I

:rt

l!

'

arnitié. Ce qui regarde le creur , repliqua-t-11

~n

fourianr , fera trairé dans d'aurres Gir–

confrances. Je prierai Caroline de me dédarer

fe5inclinarions, & Charlottede m'apprendre

les

fiennes. Faites fonds , roures deux ,

fur

le défirqu·e

(ai

de vous voir heúreufes. Elles

.l'le m'ont pas dit qu'elles

fe

jeterent roures

deux

!\

fon cou; mais je me figure qu'elles

le fücnt avec' une égale tendreffo.

En quirrant Mad. Oldham, pour fe rendre

aHc

fes freurs au chateau de GrandiJfon ,

il

h1 i demanda quelles' éroient [es vues pour

elle-mérne.L'inforrune, lui dir-il, donne droit

~ux

bons offices de ceux qui font dans une

íiruation plus douc.e .Lorfque vous vous (erez

nxée , apprenez-moi dans quel lieµ :

&

ú

vous m'informez de l'tkat de vos affaires,

&

des mefures que vous voulez prendre en

faveur de cenx

a

qui vous devez vos premiers

f

oins, la confiance que vous

aur~z

p@ur moi

ne [era point inurile.

Et de grace, n'ai-je pu m'empecher d'inrer–

rompre ici , quelle fut la réponfe de Mad.

Oldham? Commenr req1t-elle ce difcours?

"Norre chere Henrieii:e, a répondu rnifs

Charlotre, prend un érrange inréret

a

l'hif–

toire de Mad. Oldham. Il faut fatisfaire fon

ern.preífemenr. Mais...elle pleura beaucoup,

comme vous n'en dourez pas. Elle joignir

~es

mains: elle

fe

mir mfane

a

genoux, pour pner

le ciel de-lebénir, lui &toutcequ.iluiappar–

tenoi.t:. Elle ne pouvoit faire autrement.

Voyez, Lucie

!

Mais je demande

a

cont