"102.
H
l
s
T
o
J
A
l!
efpece de tranfport? Mifs Charlotte n'a–
r-elle pas raifon de méprifer fes amams ,
lorfqu'elle les compare a
hú "?
Il eíl: dimanche : nous apprenons que
fir
Charles eíl: a
Lond~es,
&
qu'il
n'.J
eíl: ·gue
d'hier au foir. Oh
!
la-deífus
{es
fceurs
font
plus fichées que moi. Quel prétexte aurois–
je
pour !'erre? Mais je
dis
de lui, comme
miladi D .... ; il eíl:
fi
bon, qu'on fouhaite
d'etre de
{es
amis. Et
pu.is, vous favez qu'il
-dl:
mon frere.
LE T T
RE
XL
J.
Mifs
BYRON,
a
Mifs
SBLBY.
A
l'
R-E
s
avo.irachevé la ' vifite du cha–
teau '
&
mis l'ordre convenable achaque
partie
s.
fu:
Charles
fit
tranfporter par {es
~ens,
dans l'apparrement de Mad. Oldba!n,
tourcequi appartenoit
a
cettefemme.Enfwre,
lui ayant .remis la clef,
il
ordonna qu'
º!1
lui pretat toute
l'
aíliíl:ance qu'elle pourro1r
défirer pour le rranfport de fes effets, avec
autantd'égards
&
d'attentions que s'il n'é.roir
..point arrivé de changement dans la fam1lle.
Telles furenr fesexpreílions. Imaginez-vous
les remerdments
&
les }armes de cette pauvre
femme. Les cheres freurs lailferent échappei;