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teftament : je ne le crois pas, lui répoüdit–
elle
?
on m'a dir qu'ils regardoienrles terres
d'Irlande. Hélas !ajouta-t-elle, en s'effuyam:
les yeux ,
je n'
ai
que rrop de raifons de
croire que le remps a manqué pour un tef–
tamenr.
Je fuppofe, Mad; Olclham, lui dit a.ffez
mali~nement
mifs Charlotee , que vous
a
vez
prellé pour en obrenir un.
Elle convint qu'elle en avoit parlépluíieurs
fo
is,
&
mifs Carolinedit qu'elle n'en douroic
point.
Sir Charles, intertompant ces ameres ob–
fervarions, décfara qu'w1 teíl:amentlui paroif–
foit une des plus prudentes aél:ions de la
vie,
&
que, dans cene idée,
i1
ne marchoit
jamais fans le íien.
C'eíl: ici,Moníieur, lu.i dir Mad. Oidham
>
en
ouvra.ntun riroir, qu'eíl: mon argent,
me
s billets,&
wu,t ce que
j'ai
pu rainatfer.
par des voies, Mon.íieur, le
c.iel
m'en
di:
témoin, qui ne me laiffenr craindre aucu11
reproche,
Puis-jede1uander, ínterrompir
mi[s
Caro- ·
line,
a
quelle
fo
mme cela monte? Sir Charles
feMta de répondre :Qu'importe, ma fa:ur,
Mad. Oldham vous alfure que tour efr honne–
tement acquis. Lesdeux fo:urs fe direnr l'une
a
1'
aurn~,
comme elles me
1'
ont confeffé; oh
t
nous n'en dourons pas. N'etes-vous pas fur·
p.rife,
Lll·.;ie,
del'obfünarion de leur haine
?
Je crains que rnon onde ne croie ici fon
.opinion b1enju,füfiée ,lorfqu'il a{Ilire qu'µ¡+e
'J:'om~
lll.
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