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1 ll E
rayant:.confideré quelq_ue temps en íilence,
J.11
l~
h>aifa ave
e
un fennmem
fi
tendre , gu'il
fut
accempagné de quelques larmes.
Il
forrit
un
mement , pour
fe
remettre d'une
1i
vive
&motion : rnais
étan~
rentré avec w1 vifage
t>uvert, fes freurs lui rendirent compte de
ce
cqu'elles avoient trouvé dans les deux autte$
l:l0urfes , & l'ui offiil'ent
l'
or , en
fe
conten–
~nt
dtaccepter les diarnants
lle
les bijoux.
I1
prit les trois bourfes ; & les vuidant (ur une
table> il mela tout ce qu'el1es contenoienr.
El!es peuvent etre d'une valew· mégale,
dir–
il
a
fes freurs ; en les melant ainli >le partage
vous fera plus aifé. Ce_portrait, ajouta-t-il,
·en le mettant dans fon fein, eíl: plus précieux
pour moi que tout l'or
&
les diamants
qui
vous reíl:ent.
·
Je demande grace, chere Lucie, pour tous
·ces détails; mais quand je ne l'obtiendrois
point,
il
me feroit iiñpoffible de faire autre–
ment. Je trouve un délicieux plaiíir
a
pein·
dte les objets qui me plaifent. De grace , ne
me
t'
o
tez point. Peut-etre le paierai-je bien
cher.J'ai plusd'adrnirationpour cet homme–
fa,
que je-ne
puis
l'exprirner.
·
Il'
eft Carnedi foir ,
&
point de íir L.harles
Grandiífon. De rout mon creur.
Lor[que fir Charles
&
fes [reurs eurent
achevé de vifiter l'appartement de leur pere,
ils fuivirent Mad. Oldham dans le íien.
Char–
·rnante derneure aifurérnent: telle fut
Ja
pre–
'miere ob.fervacion
de
mifs
Charlotte. Com·