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cnri:evue
fut
non-fealement d'une froideur
extreme de
lá
partde l'oncle; mais accompa–
gnée d'explicarions
íi
offenfanres pour la mé–
moire du mort, que le jeune chevalier, dans
leparrage de fesfentiments, eutbefoinde toute
fa
motlérarion pour fe contenir. Mais il
fut
allier avec ta.ntde prudence
&
de gracela
fer–
meté q_u'il devoit
a
la défenfe de fon pere'
&
fon reipeét pour le frere de
fa
mere, qne
milord ne pouvant réfúter au
x channes de
l'efprit
&
de la vercu, le [erra
da.nsfes bras,
lt:
i promit toute
fa
tendreífe ,
& lui prédit
qu'il feroit un grand homme.
Vous a.vez
lu
dans une de mes letrres,
que
fu:
Charles
parta.nede Florence, pour
v~nir
attendre
a
1-'aris la permdilon de repaC–
fer en Anglerere, avoir laiJfé mifs Jervin
1
fa
pupille , en Ita.líe , fous
b
garde du doc–
teur Barlet.
11
ne tarda point
a
les
fai:rc
reve–
nir tous deU){. Mifs Jervin
fot
confiée aux
foins d'une prudente
&
vertueufe veuveT
qui a trois filles bien devées ,
&
quelquefois
elle obtiene la liberté de paffer quelque!Yjours
a
la campagne avec les freurs de
fu·
Charles,
qui ont concu pour elle une tres-vive affec–
tiop. Depuis quelques jours elle me folli–
cite de lui procurer
ce
qu'elle nornme lebon–
heur de
fa
vie, qui eíl: de demeurer conf.
tamment avec miís Charlotte GrandiÚon;
&
j'enrreprendrai volonriers de luí faire
un
tilaiíirpour lequel je ne vais d'éloignement
a
pedon
ne.Oucre l'efpér:mce de
(e
perfec·
~o~mer
~1.nsune école
fi
noble, eile a
beí~~J1;;