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s
T
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I R E
a
fa
fanté.
Quel nouveau mente elle
tire
de
fa
patience
!
que fos fouftrances me la
rendent chere
!
Si je tombe jamais dans l'af–
flilhon, ci6l
!
donnez-moi fon aünable,
fa
vertueufe ré.Ggnation
a
vos plus douloureufei
épreuves.
Je fuis , ma chere cou.Gne , &e,
H.
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N R I
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T T E
B
y
R
o
N.
LE T T RE V.
Mifs BYRoN,
a
Mifs
SBLBT.
~s
Janvier.
Vous me réjoui.tfez beaucoup, ma chere;
par l'efpéra11ce que vos nouveaux médecins
vous donnent du rétabliifernent de notre
chere Nancy : que nos vreux pui.tTent erre
bienrot exaucés
!
Cn rn'a recornmandé trois chafes
a
rnon
départ; la premiere, d'écrire fouvent, tres–
fouvent, m'a-t-on répété. Cet ordre n'étoit
pas néce.tTaire ; mon creur eíl: avec vous ,
&
les heureufes nouvelles que vous me donnez
de tour ce qui m'eíl: cher au monde, le met–
tent dans unedélicieufe .Gtuation; la feconde,
devous nommerles perfonnesavec lefquelles
je fuis deíl:inée
a
vivre dans cette grande
wille ,
&
de vous faire la ,1;1einture de leuu
caraél:eres
i