Previous Page  46 / 408 Next Page
Information
Show Menu
Previous Page 46 / 408 Next Page
Page Background

.14

H

1

s

T

o

I R E

a

fa

fanté.

Quel nouveau mente elle

tire

de

fa

patience

!

que fos fouftrances me la

rendent chere

!

Si je tombe jamais dans l'af–

flilhon, ci6l

!

donnez-moi fon aünable,

fa

vertueufe ré.Ggnation

a

vos plus douloureufei

épreuves.

Je fuis , ma chere cou.Gne , &e,

H.

.E

N R I

.E

T T E

B

y

R

o

N.

LE T T RE V.

Mifs BYRoN,

a

Mifs

SBLBT.

~s

Janvier.

Vous me réjoui.tfez beaucoup, ma chere;

par l'efpéra11ce que vos nouveaux médecins

vous donnent du rétabliifernent de notre

chere Nancy : que nos vreux pui.tTent erre

bienrot exaucés

!

Cn rn'a recornmandé trois chafes

a

rnon

départ; la premiere, d'écrire fouvent, tres–

fouvent, m'a-t-on répété. Cet ordre n'étoit

pas néce.tTaire ; mon creur eíl: avec vous ,

&

les heureufes nouvelles que vous me donnez

de tour ce qui m'eíl: cher au monde, le met–

tent dans unedélicieufe .Gtuation; la feconde,

devous nommerles perfonnesavec lefquelles

je fuis deíl:inée

a

vivre dans cette grande

wille ,

&

de vous faire la ,1;1einture de leuu

caraél:eres

i