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'roo.repour ne pas m'expofer aux tourmenrg
o'w; remord
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vif.
Ainíi,
comptez
de
voii
hient&t votre
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Janvjer.
N
º
u
s arrivons ;
a
n'
ª
rien manqué
ª
l'
agrément de'notre voyage. Vous vous ima-:
ginez bien que
M.
Greville
&
M.
Fenwich,
étoient
a
notre premiere paufe. Ils avoient
eu
fo
in de nous renir
w1
d1ner pret; mais ils.
vous rendronr corñpte eux-mémes de toures
leurs attenrions.
'
Ils o·nr renouvellé tous denx
la
menace
de _
me fuivre
a
Londres,
{i.
je rn'y arrere plus
d.'un rnois ;
e'
eíl: porter
fon
loin la bonté.
Vous voyez que leurs quinze jours ÍOXlt pro–
longés du double.
M.
Fenwich , ayant trouvé
l'
occaíion
de
m'entretenir feule pendant quelques minu–
tes, m'a conjurée de l'aimer.
M.
Greville
m'a preifée , avec les mémes iníl:ances , de
lui déclarer que je le hais; cette déclaration,
m'
a-t-il dit
>
efi: tout ce qu'il déíire
a
pré–
fent.
11
efi: bien étrange
,
a-t-il ajouté •