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.

D·u

CHEy. GRANDISSON.'

r't;

. .tefpeél: ;

&

nous le félicitons , lui

&

fes

fceurs, de l'.heureufe conclufion d'une affaire,

a

laquelle perfonne n'a

du

prendre tant d'in-

téret que nous.

'

Vous ne tarderez point

a

me faire fa,voir

<:e que vous penfez réellement des nouvelles .

pr6poíitions. Ne vous déterminez point lé–

gérement. Ne précipirez ri,en. Je crains de

vous avoir trop peu ménagée dans ma der–

-niere lertre. Votre onde prétend qu'il ne

r.econnoit pas roujours votre franchiíe ordi–

naire, dans l'aveu d'une pa!Iion dom l'objet

nous paroir digne de vous,

&

je le vois quel–

c¡uefois triompher de l'iclée

cu

il

eíl:, qu'il

découvre enfin dans

fa

chere ,üece quelque

.petit degré d'affeél:atio .. Nous remarquons

rous

fort

bien, dans plnfieur; endroits de vos

lettres , ce comb:lt dont

j'.ü

parlé, entre la

modeíl:ie &

l'

ouverrure

du

creur ; & nous

attribuons une partie de votre réforve

a

la

crainte qut;: voµs avez de

fon

badina~e.

Mais

~

::pres avoit déclaré qu'une heure ele conver–

fa

tion

par fema.ine .avec

Gr

Ch::irles

&

fes

fa

:u.rs

.(des freurs ne

fonr

pas

ínutil~s

dans un

co

mm

encemenr

d'

amour

)

' vous paroí:troit

préférable

a

bíen des avantages pour lefqnels .

vous n'avez pas toujours eu le meme dégout;

apres nous avoir écrit, ma chere , que

~out

humiliant qu'eíl: le terme de pitié, vous pré–

féreriez la íienne

a

l'amour de tour aua:e

.homme, en· vériré, je ne vois poinr d'ou

peut venir tant d'ernbarras

a

vous expliquer.

J>ardon

)

che1e niece.